Avec l’augmentation du nombre de stations de dessalement de l’eau de mer, l’Algérie a définitivement retenu cette stratégie pour assurer sa sécurité hydrique. Anticiper les aléas dus aux changements climatiques, devenus réalité aujourd’hui, relève du bon sens en matière de gouvernance. Il n’est nullement concevable actuellement de se contenter de mesures conjoncturelles. L’eau se raréfie, et sans ce précieux liquide, la vie va en déclinant.
Lors du principal forum numérique du continent Transform Africa Summit (TAS) 2023, l’Algérie, par le biais de son ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yassine Oualid, a appelé à la mise en œuvre de la Déclaration d’Alger pour le développement des start-up en Afrique.
A travers la Semaine mondiale de la vaccination, qui sera clôturée aujourd'hui, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et ses partenaires ont tenté de combler le retard accusé dans les programmes de vaccination de routine auquel la pandémie de Covid-19 n’est pas étrangère.
C’est l’un des pivots de la réforme du système de santé. La numérisation, amorcée depuis plusieurs mois, n’est ni une lubie ni une vue de l’esprit.
Dans une instruction datant du début du mois en cours, le ministère de la Santé a saisi l’ensemble des responsables du secteur sur le territoire national, les sommant de relancer les activités dans les salles de soins. «L’amélioration de la qualité des soins de proximité constitue l’une des priorités du secteur, dont la salle de soins représente le premier niveau.
Le chapitre de l’évaluation des effets de la pandémie de Covid-19 sur les populations et les systèmes de santé n’est pas encore clôturé. Lors de sa 5e édition, le Forum mondial sur les ressources humaines pour la santé, organisé la semaine dernière à Genève (Suisse), sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a dressé un constat alarmant : la moitié des personnels soignants a développé un syndrome du burn out ou épuisement professionnel.
A quelques jours de la célébration de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, l’Institut national de santé publique (INSP) annonce la mise en service prochaine d’un observatoire régional de la santé et des maladies tropicales, situé dans la wilaya de Tamanrasset.
A quelques jours de la célébration de la Journée mondiale de la santé, le 7 avril, coïncidant avec le 75e anniversaire de la fondation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), un plan de santé de haute facture vient d’être lancé pour répondre aux menaces sanitaires touchant les êtres humains, les animaux, les végétaux et l’environnement, rapporte l’agence onusienne.
On en parle de moins en moins, mais ce qui pourrait devenir un simple souvenir ne l’est pas encore. La Covid-19, même si elle ne fait plus les gros titres, reste toutefois une menace de santé publique, assène l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Avec le lancement prochain du réseau national de la transparence par la Haute autorité de transparence, de prévision et de lutte contre la corruption (HAPTPLC), le dispositif de lutte anticorruption prend davantage forme, se renforce et acquiert une visibilité à même de redonner confiance aux citoyens dans les institutions de l’Etat.
Le ministère de la Santé a annoncé récemment la mise en service d’une plateforme numérique de formation destinée aux étudiants et aux professionnels de santé à l’effet d’une meilleure prise en charge de l’hygiène en milieu hospitalier. L’hygiène est au cœur du fonctionnement quotidien des hôpitaux.
Comment transformer le savoir en savoir- faire ? Cette interface qui a longtemps fait défaut en milieu universitaire semble se dessiner progressivement à la faveur du mécanisme «un diplôme, une start-up», «un diplôme, un brevet». Ainsi, l’arrêté ministériel n° 1275 du 27 septembre 2022 est venu consolider cette voie, destinée à la valorisation des cursus universitaires.
Le bilan effarant des accidents de la circulation, survenus durant l’été 2022, est venu rappeler les limites de la stratégie de la sécurité routière jusqu’alors de mise. L’arithmétique macabre, comme à chaque fois, interpelle les pouvoirs publics afin d’agir efficacement contre ce fléau.
La variole du singe est une maladie virale qui se transmet à l’homme par contact avec une personne, un animal ou un objet porteur du virus. Elle peut être contractée par contact direct avec le sang, les fluides corporels ou les lésions cutanées d’un animal infecté. Parmi les animaux qui la transmettent, on trouve différents rongeurs et des primates.
Quelques heures seulement après la publication des résultats, les nouveaux bacheliers sont déjà appelés à entreprendre les démarches administratives et pédagogiques nécessaires à leur inscription universitaire. Pour ce faire, il faudra au préalable se renseigner sur les formations disponibles, voire souhaitées, d’où les journées portes ouvertes organisées depuis hier, et ce, pendant trois jours par l’ensemble des établissements du supérieur.
Les établissements du secteur du supérieur ont rivalisé en matière de technologie et d’innovation lors du Salon de l’enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et des produits de la recherche, qui s’est tenu à l’USTHB.
Même en période de pandémie, les migrations internationales sont restées omniprésentes.
Il faut au moins 2 mois à un an pour se remettre d’un Covid long, estime l’OMS qui plaide pour un effort unifié à l’échelle planétaire. L’Algérie, qui enregistre 0 décès et moins de dix cas depuis plus de deux mois, a élaboré un guide pour une meilleure prise en charge.
C’est depuis Nairobi, capitale du Kenya, que l’Initiative de recherche africaine pour l’excellence scientifique programme- pilote (ARISE-PP) a été lancée, samedi dernier, par l’Académie africaine des sciences (AAS). Pour la première fois, un chercheur algérien est bénéficiaire de cette prestigieuse bourse.
Pour l’année universitaire 2022-2023, quatre nouvelles formations d’apprentissage ont été créées dans le domaine des sciences et technologies dédiés aux bacheliers de la filière math technique, informe le département d’Abdelbaki Benziane.