La section Snapap de l’Ecole dénonce un certain nombre d’«abus» et autres «décisions arbitraires» émanant de la direction de l’Ecole.
Dans cet article, il ne s’agit pas d’une autre recension du livre de Daho Djerbal, Lakhdar Bentobbal. Mémoires de l’Intérieur (éditions Chihab), après celle que nous lui avons consacrée (voir El Watan du 23 novembre 2021). Le propos ici est simplement de mentionner quelques passages, quelques confidences «croustillantes», quelques anecdotes qui méritent qu’on s’y attarde en ce que ces morceaux choisis révèlent le trait de caractère de tel ou tel dirigeant de la Révolution ou bien permettent d’éclairer d’un jour nouveau un événement particulier ou un épisode méconnu.
De façon cyclique, des tensions sur certains produits de large consommation sont observées sur le marché, donnant lieu à ces images récurrentes de queues interminables devant les magasins d’alimentation.
Décidément, cette 33e édition nous aura tenus en haleine jusqu’au bout, à voir toutes les pressions exercées sur la CAF pour faire annuler une nouvelle fois la fête continentale du foot africain, sachant que cette édition devait se tenir en janvier 2021 avant d’être reportée pour cause de Covid.
L’historien Daho Djerbal vient de publier aux éditions Chihab Lakhdar Bentobbal. Mémoires de l’intérieur. A l’évidence, il s’agit là d’un véritable événement éditorial, surtout quand on sait que cela fait 35 ans que l’on attend la sortie de ces Mémoires de l’ancien membre du CCE et ancien ministre de l’Intérieur du GPRA. Dans cet entretien, Daho Djerbal revient sur les conditions de sa rencontre avec Bentobbal et la genèse de ce travail de mémoire exceptionnel à partir du témoignage de «Si Abdellah» et le long entretien qui les a réunis pendant cinq ans. Il revient également sur le cheminement militant du successeur de Zighout Youcef à la tête de la Wilaya II en insistant sur l’importance de comprendre le terreau social et culturel et l’environnement politique dans lequel il a évolué et comment, à travers lui, le projet indépendantiste a pris racine dans le Nord Constantinois et les autres régions avant d’embraser les maquis de l’insurrection anticoloniale.