L’actuel avant-projet de réforme de la loi relative à l’investissement prône «la liberté d’initiative» et promet surtout de «débureaucratiser» l’investissement.
La pandémie de Covid-19 a-t-elle pris fin ? «Non, la pandémie n’est pas finie. La quatrième vague qu’on a vécue est certes finie, car nous n’avons quasiment pas eu de cas Covid-19 depuis deux mois, mais ce ne sera qu’à partir du moment où l’OMS déclare la fin de la pandémie, qu’on pourra dire que cette dernière est terminée, car les variants du virus circulent toujours. Nous sommes sur la bonne voie, mais il faut être vigilant.»
Dans cet entretien accordé à El Watan en marge du congrès qui se tient à Oran, le Dr Mohamed Yousfi, président de la Société algérienne d’infectiologie, préfère rester prudent quant à la fin de la pandémie de Covid-19. «La pandémie n’est pas finie», a-t-il alerté tout en appelant à tirer les leçons de la dure épreuve liée à la Covid-19.
Les ruptures de stocks de médicaments vitaux sont, certes, un vieux problème récurrent qui dure depuis plusieurs décennies en Algérie, mais ces dernières années, ce fléau a pris des proportions alarmantes.
En tournée en Algérie, organisée par l’ONCI (Office national de l’information et de la culture), Lounis Aït Menguellet, éternel poète et chanteur compositeur engagé, a fait un triomphe, jeudi soir, dans une salle archicomble à Oran.
Les relations entre l’Algérie et l’Italie n’ont jamais été aussi excellentes qu’en ce moment. Les deux pays ont signé, récemment à Alger, deux accords dans le secteur de l’énergie. Alger est désormais le premier fournisseur de l’Italie en gaz natur
Le monde entier assiste impuissant à l’envolée spectaculaire des prix des produits de consommation. Si la situation est particulièrement difficile en Afrique, l’Europe est également sous l’emprise de la plus dure inflation depuis une quarantaine d’années. Le cas le plus spectaculaire est observé en Turquie, où l’inflation vient d’atteindre un nouveau sommet à 61,14% sur un an. Même l’Allemagne n’a pas été épargnée par la flambée des matières premières, le taux d’inflation n’ayant jamais été aussi élevé depuis 40 ans !
Secteur traditionnel par excellence, la sidérurgie algérienne émerge en pleine forme à l’export. Une bonne forme qui s’explique d’abord par le rebond très fort de la demande d’acier sur le marché mondial sur fond de conflit en Ukraine qui bouleverse de nombreux secteurs économiques à travers le monde.
Revigoré par les excellents résultats réalisés en 2021, notamment à l’export, le complexe sidérurgique Tosyali Algérie, basé à Oran, se fixe «comme objectif de dépasser un milliard de dollars d’exportations en 2022». C’est ce qu’a annoncé, dans un entretien accordé à El Watan, Alp Topcuoglu, membre du conseil d’administration de ce complexe sidérurgique, qui exporte vers 25 pays situés en Afrique, en Europe, en Amérique et en Asie. L’heure est désormais au renforcement des capacités de production en projetant de lourds investissements car la demande est vigoureuse.
Un choc pétrolier» pour les uns et «euphorie pétrolière» pour les autres. Le conflit armé en Ukraine modifie le paysage géopolitique avec de profondes conséquences pour l’économie mondiale.
A cause des tensions qui affectent le marché mondial des céréales, conséquence du conflit armé en Ukraine, l’Algérie se retrouve une nouvelle fois face au défi de développer sa production céréalière pour assurer son autosuffisance.
Le service pédagogique de l’établissement hospitalo-universitaire 1er novembre d’Oran porte désormais le nom du défunt Pr Mohamed Mansouri, figure marquante de la gestion hospitalière, décédé en juillet dernier à l’âge de 64 ans, des suites de complications de la Covid.
Il y a de quoi être dubitatif, après le sommet qui a réuni la semaine dernière, à Bruxelles, les dirigeants de l’Union européenne (UE) et de l’Union africaine (UA). Ce fut un rendez-vous intercontinental qui n’a pas tenu sa promesse de «poser les fondations d’un partenariat rénové sur des bases équitables».
Que faire face à la sécheresse qui met particulièrement sous pression l’agriculture algérienne ? Faut-il céder à la facilité en recourant aux extractions effrénées des eaux souterraines, ou faut-il au contraire opter pour une solution durable en favorisant les systèmes d’irrigation agricole économes en eau ?
Le match entre dans le cadre de la 12e journée du championnat national Une dames seniors. Les deux équipes évoluent dans le groupe centre-Ouest. L’USPA a raflé la mise par 3 sets à 0 arrachant ainsi les trois précieux points lui permettant de figurer parmi les premiers au classement.
L’actualité est rythmée par l’accélération de l’érosion du pouvoir d’achat des Algériennes et des Algériens. Face à cette situation intenable, il est certes nécessaire de prendre des mesures sociales pour soutenir conjoncturellement le segment alimentaire, mais il est tout aussi urgent de régler structurellement la question de l’explosion des dépenses de santé, qui ne cessent de saigner les ménages à revenus modestes.
La pénurie d’eau constitue un problème majeur en Algérie. Le pays endure, ces dernières années, un sévère stress hydrique imputable à un sérieux manque de précipitations. Les climatologues ne cessent d’alerter que le nord de l’Algérie, au même titre que le littoral méditerranéen, est fragilisé par le réchauffement, qui entraînera des périodes de sécheresse plus longues et des épisodes climatiques extrêmes.
Une refondation équitable et équilibrée du partenariat entre l’Europe et l’Afrique est-elle possible ? Cette question aura-t-elle une réponse lors du sommet qui réunira, les 17 et 18 février courant à Bruxelles, les dirigeants de l’Union européenne et de l’Union africaine ? Parmi les principaux points prévus à l’ordre du jour de ce sommet, figurent «le financement de la croissance, les systèmes de santé et production de vaccins, l’agriculture et développement durable, l’éducation, la migration, la mobilité, la gouvernance, le soutien au secteur privé, le changement climatique et la transition énergétique».
Les prix du gaz se sont envolés de plus de 170%, depuis une année, sur le marché international. Selon les analystes, les cours du pétrole et du gaz devraient se maintenir à des prix élevés, dans les 5 années à venir. Au moment où l’Europe occidentale fait face à des pénuries de gaz, ce renchérissement des prix constitue une très bonne nouvelle pour l’Algérie qui doit profiter de cet âge d’or du gaz.
L’actualité est rythmée par l’hyperinflation qui a gagné les prix des produits de consommation de base, accentuant les difficultés des catégories sociales vulnérables.