L’intégration de l’Ethiopie et de l’Egypte au sein des BRICS n’est pas du tout une surprise. Loin s’en faut. L'expansion du bloc de pays émergents à six nouveaux membres, décidée lors du 15e sommet des BRICS, qui vient de se tenir en Afrique du Sud, est pleine d’enseignements. Sur la quarantaine de nations qui ont demandé leur adhésion ou manifesté leur intérêt pour rejoindre le bloc, seuls six pays ont été invités à y adhérer à compter de janvier 2024.
Le peuple nigérien continue de résister héroïquement aux ingérences et dénonce les préparatifs pour perpétrer une agression contre son pays. Les Nigériens qui refusent de servir de chair à canon ont massivement manifesté dimanche dernier, à Niamey, pour rejeter toute ingérence étrangère.
A quelques jours de la tenue du très attendu sommet des BRICS, prévu du 22 au 24 août en Afrique du Sud, le monde assiste à une ruée vers cette alliance de puissances émergentes.
La situation est explosive au Niger, où l’imminence d’une guerre menée par des Etats étrangers à ce pays se précise après le coup d’Etat qui a écarté le président Mohamed Bazoum. Au moment où les bruits de bottes se font entendre, il faut dire «non» à la guerre au Niger.
A un mois de la tenue du très attendu rassemblement des BRICS à Johannesburg en août prochain, le deuxième sommet Afrique-Russie qu’a abrité Saint-Pétersbourg, les 27 et 28 juillet, illustre la volonté de l’Afrique d’opérer avec la Russie un rapprochement étroit à la fois économique, sécuritaire et surtout géopolitique.
L’actuelle intensification de la coopération sino-algérienne intervient dans une conjoncture historique.
De nombreux pays à travers les quatre coins du monde cherchent à s’inspirer des fondamentaux à l’origine du succès du modèle économique allemand. Alger a abrité récemment une intéressante conférence sur l'écosystème des start-up en Allemagne et en Algérie, organisée par la Fondation Konrad Adenauer, en partenariat avec le Cercle d’action et de réflexion pour l’entreprise (CARE).
L’annonce par le président sénégalais, Macky Sall, de ne pas se présenter pour un troisième mandat à l’élection présidentielle du 25 février 2024 est un fait historique sur le continent africain.
La conjoncture géopolitique internationale, marquée par des besoins de plus en plus accrus en matières premières, place le secteur des minerais et des métaux dans une position névralgique. Les ressources minières dont dispose l’Algérie sont ipso facto un atout et un levier hyper-stratégique.
Censées être un des piliers de l’ordre institutionnel, les communes se voient actuellement confrontées à de nombreux défis en Algérie. L’importance des critères d’efficacité de gestion et la complexité croissante des politiques publiques placent ces collectivités territoriales face à des enjeux de gouvernance multiniveaux.
Avec l’inquiétant dérèglement climatique, le risque d’inondations gagne en intensité en Algérie comme partout à travers la planète.
Sommes- nous à l’aube d’une nouvelle ère où de multiples facteurs géopolitiques et économiques pourraient remettre en cause l'ordre mondial jusque-là hyper-centré autour de la suprématie du pétrodollar ? Il y a vingt ans, le dollar représentait 70% des réserves de change des banques centrales à travers la planète.
Dans un contexte marqué par un accueil favorable de la Chine à l'adhésion de l'Algérie au groupe des BRICS, la coopération entre les deux pays connaît une nouvelle dynamique et une dimension inédite.
Si la nécessité de placer la qualité de l’enseignement supérieur au centre des défis fait l’unanimité en Algérie, il reste la question cruciale de savoir comment y parvenir.
Au vu des défis prévalant dans le secteur de la santé algérien, la question centrale reste la performance de la gouvernance du monde hospitalier.
Une réforme structurelle des retraites s’impose comme une urgence. L’actuel projet d’amendement de la loi relative à la retraite, qui vise à rehausser le seuil minimum des pensions et des allocations de retraite, est certes nécessaire, mais peut être amélioré.
L'intelligence artificielle (IA) est déjà présente dans nos téléphones. L’IA, sous ses diverses déclinaisons, ne laisse personne indifférent. Notre société est touchée de plein fouet par un déferlement inédit de nouvelles technologies.
La Société Somiz, une filiale de Sonatrach basée à Arzew, spécialisée dans l’ingénierie de la maintenance et la rénovation des installations industrielles, est un illustre exemple de réussite en matière de transfert de technologie au profit des entreprises algériennes.
Mettre immédiatement fin à l’effusion de sang au Soudan est une urgence absolue pour la diplomatie africaine et la communauté internationale. La situation fait courir à ce pays un risque majeur d’un embrasement comparable au funeste scénario qui déchire le Yémen et la Libye. Le spectre du chaos demeure le maître ultime. L’exacerbation aiguë des violences, qui étaient déjà chroniques avec des conséquences tragiques, martyrise les Soudanais.
La ressource en eau douce se tarit. En cause, des épisodes de sécheresse croissants couplés à une augmentation démographique. En guise de solution, Oran place de grands espoirs sur l’entrée en service de la station de dessalement d’eau de mer de Cap Blanc, attendue en 2024.