Stations” est le nouveau recueil de poèmes de Samira Negrouche paru aux Editions Chèvre-feuille étoilée. Les textes regoupés dans ce livre se déploient sur vingt deux ans.
En 2005, les autorités ont pris la décision d’exiger, au niveau du carrefour 35 (axe Maghnia-Tlemcen-Oran), un passavant aux commerçants transportant leurs marchandises vers l’extrême ouest du pays (Maghnia, Marsat Ben M’hidi, Beni Boussaïd, Ghazaouet, Nedroma, Bab El Assa).
Habituellement, Tlemcen et ses communes surélevées retrouvent leur habit blanc au mois de février.
Beni Snous, à une trentaine de kilomètres de Tlemcen, dans le sud de la wilaya, célèbre depuis la nuit des temps Yennayer, avec ce plus : le carnaval d'Ayred.
Une étude s’inscrivant dans le cadre du projet «Maghreb Action On Dis-placement and Rights» (Madar), visant l’amélioration de la protection humanitaire des personnes déplacées vulnérables en contexte de conflit dans la région du Maghreb, a été publiée, avant-hier, par l’association marocaine Racines en collaboration avec le média du même pays Enass.ma.
L’espoir renaît chez les entreprises et les industriels de Maghnia : la zone industrielle d’Ouled Bendamou, à l’est de la ville, est prête à les accueillir. S’étendant sur une superficie de 103 hectares et comprenant 48 lots, cette infrastructure a suscité l’intérêt d’investisseurs hors wilaya, au vu de sa situation géographique et de sa démographie (240 000 habitants).
Le drame des harraga algériens continue de faire la Une de la presse ibérique.
Dans un communiqué, signé de son président Rachid Malaoui, le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap-Cgata) plaide pour «la régularisation des travailleurs migrants en situation administrative irrégulière, qui désirent résider et exercer les métiers en Algérie, ainsi que de lutter contre tous les préjugés et stéréotypes dont sont victimes les migrants subsahariens et les membres de leur famille».
Un nouveau drame vient d’endeuiller des familles algériennes, après celui de Fouka, dans la wilaya de Tipasa, où au mois de mai dernier, 11 jeunes avaient trouvé la mort en Méditerranée. Mardi, 15 harraga, dont deux femmes et sept mineurs, sortis du point dit «Guelta» des côtes de Chlef en début de semaine dernière, sont décédés dans un naufrage dans les eaux espagnoles du côté de Valence.
«Les travailleurs marocains gagneraient des salaires plus élevés en Israël qu’au Maroc», informe le quotidien L’Opinion.
Vendredi 24 juin 2022. 23 personnes sont décédées, après que 2000 migrants d’origine subsaharienne aient tenté de franchir la clôture de l’enclave espagnole de Melilla, à partir de Nador, dans le Rif marocain.
Fermée depuis 2003, la mine d’El Abed (sud de Tlemcen) considérée comme la plus grande réserve de mine et de plomb à l’échelle africaine, incite la population et des personnalités dont la militante des droits de l’homme, l’avocate Latifa Dib à interpeler le président de la république pour la remise en service de ce grand gisement.«Estimées à millions de tonnes de plomb et de zinc, les réserves de cette mine suffisent pour les 90 ans à venir et sa réexploitation permettra, non seulement à l’Algérie de se repositionner dans le domaine de l’exploitation minière mais également un développement et prospérité pour toute la région», dit avec conviction Mme Dib.
Pour étouffer le scandale qui a coûté la vie à 27 migrants subsahariens aux portes de Melilla, les autorités marocaines se sont empressées d’enterrer 21 corps en catimini.
Douze associations et mouvements de défense des droits humains, marocains et européens, ont publié un communiqué commun pour dénoncer l’accord entre l’Espagne et le Maroc sur l’immigration et réclament une enquête approfondie et indépendante pour identifier les responsables de la mort tragique de 27 migrants subsahariens et deux gendarmes marocains aux portes de Melilla.
La principale organisation marocaine de défense des droits humains a réclamé une enquête hier, au lendemain de la tentative d’entrée de près de 2000 migrants subsahariens dans l’enclave espagnole de Melilla, au cours de laquelle 18 personnes ont péri, une «tragédie» sans précédent au Maroc. «Nous appelons à l’ouverture d’une enquête rapide et transparente», a déclaré à la presse Mohamed Amine Abidar, le président de la section de l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) à Nador, dans le nord du Maroc. Une association espagnole a évoqué le chiffre de 60 morts parmi les migrants, 4 décès chez les gendarmes marocains et plus de 700 blessés jugés dans un état grave.
Dans une lettre adressée au président de la république, l’association Amel El Hayet des cancéreux de Ghazaouet exprime son angoisse et sa consternation quant à la «fermeture, depuis septembre 2021, du service de radiothérapie du centre de lutte contre le cancer de Chetouane (Tlemcen). Une structure devant accueillir les patients de plusieurs wilayas de l’Ouest, dont Aïn Témouchent, Saïda, Naâma, Tissemsilt, Relizane, Mostaganem, El Bayadh».
Dans un communiqué, qui nous a été transmis, signé hier, lundi 13 juin 2022, les «journalistes marocains contre la normalisation» accablent l’Etat marocain et attirent l’attention de l’opinion publique nationale et internationale sur les dangereuses dérives du makhzen et sa «profanation de (notre) pays».
Tout en dévoilant les noms des plages autorisées à la baignade dans les communes côtières de Tlemcen, la Protection civile avertit que la baignade dans les autres plages, notamment Makhled, Ouerdania, Anabra, Maarouf, Boukenais, Bekhata et Barbadjani, sont, elles, formellement interdites.
34 œuvres sur 38 candidatures en arabe, 8 sur 9 en tamazight et 38 sur 42 en français ont été retenues pour cette huitième édition dont les lauréats seront connus le 22 octobre prochain.
L’infrastructure, «pensée» à l’époque de la «îssaba», a coûté pas moins de 500 milliards de centimes, les équipements autant. Sauf que ce centre de lutte contre le cancer, deux ans après son inauguration, est loin d’offrir les services attendus par les décideurs et la population de sept wilayas de l’ouest du pays.