Les deux dernières années ont été caractérisées par d’importants feux de forêt, qui ont occasionné des pertes importantes en couvert végétal mais aussi en vies humaines. Pour éviter un tel scénario, les pouvoirs publics ont pris des mesures d’anticipation.
Les travaux de réalisation d’une aire de pose pour hélicoptères à Chréa, dans la commune d’El Adjiba, vont bon train. Décidé dans le cadre du dispositif de lutte contre les feux de forêt, le projet a été lancé au début du mois de mars dernier.
Plusieurs communes, dont celle du chef-lieu de wilaya de Bouira, connaissent, depuis lundi dernier, d’importantes perturbations dans l’alimentation en eau potable.
A l’initiative de l’association Kenza, activant dans la protection de l’environnement dans la commune d’Ath Laâziz, une cérémonie en l’honneur des enseignants du cycle primaire à la retraite a eu lieu mardi dernier à la bibliothèque communale du village Malla.
La maison de jeunes du village Ath Mendès, dans la commune de Boghni, au sud de Tizi Ouzou, a organisé du 4 au 6 mai derniers la première édition du jeune randonneur.
Le secteur de l’habitat de la wilaya de Bouira a connu ces derniers mois une relance de la distribution de logements sociaux. En effet, la liste préliminaire des 562 bénéficiaires du chef-lieu de wilaya a été rendue publique mercredi denier.
Une enveloppe de près de 300 millions de dinars a été mobilisée pour ce programme visant le renforcement des capacités de distribution de l’eau potable.
Les créances de l’Algérienne des eaux (ADE) de la wilaya de Bouira auprès de ses 152 856 clients s’élèvent à 68 milliards de centimes, a-t-on appris auprès de l’entreprise qui traverse une grave crise financière. Les choses risquent d’empirer.
Pas de doute. La planète se réchauffe. En cause, les activités humaines. Canicules, incendies, sécheresse et inondations, ces phénomènes et catastrophes inquiètent de plus en plus les scientifiques. Les initiatives à travers des contributions émanant des universitaires et chercheurs tirant la sonnette d’alarme quant aux effets irréversibles non seulement du réchauffement climatique mais aussi de la dégradation des bioressources s’intensifient à travers le monde. La valorisation des bioressources est une urgence.
C’est l’histoire d’une section autoroutière aux surnoms effrayants. On l’appelle «La route de la mort» ou «La pente de la mort».
Vingt cinq familles occupant des bidonvilles et des habitations menaçant ruine au niveau de la cité dite Knatlia de la ville de Sour El Ghozlane au sud de Bouira, ont été relogées jeudi dernier au niveau de la cité Djebsa, a-t-on précisé auprès de la wilaya.
Des fonctionnaires de la direction des services agricoles (DSA) de la wilaya de Bouira ont organisé ce jeudi un rassemblement de protestation devant le site de la direction, exigeant le départ « pur et simple » de la directrice.
Livrés pour la plupart dans la précipitation, plusieurs sites abritant différents types de logements ne sont pas dotés d’équipements publics. Dans la wilaya de Bouira, les exemples sont légion.
Quand la nature n’est pas détruite par l’avancée du béton et l’activité industrielle, c’est le tourisme de masse qui prend le relais. La situation de crise dans laquelle se trouve le Parc national du Djurdjura (PND), doublement classé comme Parc national en 1983 et inscrit par l’Unesco en 1997 comme étant une réserve mondiale de biosphère, est un parfait exemple des atteintes aux milieux naturels. La pollution a envahi les lieux.
La surexploitation des ressources naturelles, due principalement au surpâturage bovin, ovin et caprin, représente une réelle menace pour les pelouses alpines du parc.
Un accident dramatique. Deux personnes ont trouvé la mort hier, en début d’après-midi, après un affaissement de terrain survenu dans un chantier à la ville de Sour El Ghozlane, à 35 km au sud de Bouira, a déploré la Protection civile.
L’approvisionnement des populations en eau potable est désormais l’une des premières préoccupations des pouvoirs publics.
Neuf individus dont un policier suspectés impliqués dans hold-up d’un bureau de poste ont été arrêtés par la gendarmerie nationale de la wilaya de Bouira.
Dans la commune de Guerrouma, au sud-ouest du chef-lieu de wilaya, les unités de soins des villages Abdenour et Diour traduisent l’insuffisance de la couverture sanitaire.
La gestion de la collecte et du tri des déchets ménagers sont parmi les difficultés que les collectivités locales peinent à surmonter. La situation de la ville de Bouira, dont certains quartiers croulent encore sous les ordures, en est une parfaite illustration.