Les entreprises ayant le statut de start-up ou incubateur ouvrent droit, au terme de ce projet de loi de finances, «à un abattement pour la détermination du bénéfice imposable».
Les dépenses d’investissement représentent respectivement 13,9% en autorisations d’engagements (AE) et 18,6% en crédits de paiements (CP) du budget total. Les crédits proposés au titre de ces dépenses pour l’exercice 2025 s’élèvent à 2 206,32 mrds DA en AE et 3 128,32 mrds DA en CP.
La mobilisation des ressources financières et l’optimisation de leur affectation ont été au centre d'une réunion de coordination regroupant l'ensemble des cadres du ministère des Finances, sous la présidence du ministre du secteur, Laaziz Faid.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a réaffirmé la priorité accordée au développement du secteur bancaire numérique dans le plan d’action du gouvernement.
Quatre ans après l’apparition de la Covid-19, les déficits budgétaires et les niveaux d’endettement sont plus élevés que ceux prévus avant la pandémie et devraient le rester à moyen terme. Si des mesures décisives ne sont pas prises, la dette publique mondiale devrait dépasser 100% du PIB d’ici à 2029.
La Banque mondiale vient de rendre publique la première édition du rapport Business Ready, une nouvelle publication qui évalue le climat des affaires dans 50 économies. D’emblée, ce nouveau rapport du groupe de la BM révèle qu’«en matière d’environnement des affaires, les économies affichent de meilleures performances dans leurs efforts de réglementation qu’en ce qui concerne la fourniture des services publics nécessaires pour réaliser de véritables progrès».
Les crédits à l'économie algérienne ont connu une progression sensible de 5,8% en 2023, dont la part du secteur privé représente 58% du volume global» et ces «crédits n'ont pas eu un impact négatif sur la stabilité financière, et ce, compte tenu de leur nature en contexte de forte résilience du système bancaire algérien, qui enregistre des performances importantes».
Le cauchemar de l’inflation, qui a plongé dans la crise, depuis l’épidémie de Covid-19, nombre d’économies parmi les plus robustes, dont les Etats-Unis, la Chine et l’Europe, semble n’être qu’un mauvais souvenir aujourd’hui.
Le projet de loi de finances 2025 est en préparation, et il devra certainement atterrir bientôt à l’APN après son adoption bien sûr en Conseil des ministres.
Quid du commerce électronique en Algérie ? Quelques années seulement après son lancement, cette activité semble avoir le vent en poupe et commence déjà à s’enraciner.
La croissance de la production mondiale est restée résiliente et l’inflation a poursuivi son repli. La croissance a été relativement robuste dans de nombreux pays du G20, notamment aux Etats-Unis, au Brésil, en Inde, en Indonésie et au Royaume-Uni.
Les cours du pétrole se sont redressés, hier, après les mesures de soutien à l’économie annoncées en Chine, la baisse des taux de la Fed et la persistance des tensions au Proche-Orient.
La politique d’encouragement des exportations hors hydrocarbures semble avoir besoin de quelques ajustements à l’effet de ne pas déboucher sur des résultats contraires à ceux poursuivis.
Le chef de l'Etat a, selon le site de la Présidence, présidé jeudi dernier une réunion préparatoire consacrée aux grandes orientations relatives au projet de loi de finances 2025. Il s’agit ainsi de mettre au point les derniers préparatifs pour ce projet de texte, qui devrait atterrir dans les prochaines semaines à l’APN.
En réduisant les coûts, on maîtrise l’inflation», avait déclaré en juin dernier le ministre des Finances, Laaziz Faid, dans les colonnes d’El Watan en réponse à la question de savoir pourquoi l’Algérie a choisi de prendre une direction totalement opposée à celle recommandée par le FMI pour lutter contre l’inflation.
Le GIE monétique compte lancer de nouveaux chantiers en 2025 pour le développement et la promotion du secteur de l’e-paiement en Algérie. De nouvelles solutions seront offertes aux clients et aux commerçants.
Le Fonds monétaire international (FMI) vient de s’intéresser, en quelque sorte, au sujet des rivalités économiques entre la Chine et les Etats-Unis.
Le représentant de la Banque mondiale a confirmé la possibilité pour l’Algérie, évoquée par le président Tebboune, d’atteindre un niveau de PIB de l’ordre de 400 milliards de dollars en 2027.
Un rapport de la Banque mondiale intitulé en anglais Finance and Prosperity 2024, analyse les évolutions et les vulnérabilités du secteur financier dans les pays à revenu faible et intermédiaire. Il met ainsi en évidence «des divergences dans la résilience et la stabilité des secteurs financiers».
Hors dépôts de l’entreprise nationale des hydrocarbures, la masse monétaire M2 a augmenté de 7,2% en 2023, contre une croissance de 11,0% en 2022, passant ainsi de 21 103,45 milliards de dinars à fin 2022 à 22 620,97 milliards à fin 2023.