Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a fait état, hier à Alger, d'un décret exécutif en cours de préparation, relatif aux modalités d'utilisation du portail électronique dédié aux marchés publics.
La première réunion de la Commission nationale de supervision du recensement général de l’agriculture (RGA) a eu lieu, hier, sous la présidence du ministre de l’Agriculture et du Développement rural (MADR), Youcef Cherfa, et la Haut-commissaire à la numérisation avec rang de ministre, Meriem Benmouloud.
La groupe italien SIGIT et le holding ASC ont signé un accord stratégique pour dynamiser le secteur de l'industrie automobile. La nouvelle entreprise commune se chargera de fournir le marché en structures en plastique et en caoutchouc.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, a appelé les directeurs des services agricoles (DSA) à «assumer leurs responsabilités et à travailler sur le terrain» avec l’objectif d’élargir à 3 millions d’hectares les superficies dédiées à la culture des blés dur et tendre et de l’orge.
En prévision du mois de Ramadhan, les capacités de production des unités de lait et de semoule seront augmentées au même titre que l’importation des viandes. «L’importation restera de mise jusqu’à la relance de cette filière, d’autant que les autorisations ont été accordées aux intéressés», a précisé le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, lors de la réunion de travail avec les cadres du secteur.
L’Algérie continue d’être le principal pays fournisseur de gaz à l’Espagne, avec 28,7% du total, (106 275 GWh) devant les Etats-Unis et la Russie, en dépit d’un recul des exportations algériennes enregistré au mois de novembre, au profit des Etats-Unis qui continuent leur offensive pour placer leur GNL en Europe, en profitant des sanctions imposées à la Russie.
Le directeur de la division du commerce et de l’environnement de l’OMC, Aik Hoe Lim, a estimé, lors des travaux de la COP28, que «le commerce mondial de l’hydrogène vert et de ses dérivés sera essentiel pour relier les lieux où les coûts de production sont faibles et ceux où la demande est forte».
Une trentaine d’exposants de différentes wilayas du pays ont pris part à l’ouverture, hier à Boumerdès, à la 8e édition de la Foire nationale du miel et des produits de la ruche.
Le terminal à Bois du port de Béjaïa a réalisé une croissance de 48% durant les dix premiers mois de l’année en cours, confortant ainsi sa position de leader national dans le créneau du traitement de bois, indique un bilan de l’Entreprise portuaire de Béjaïa (EPB), n’excluant pas l’éventualité de conclure l’exercice sur une performance record.
Le taux d’avancement des travaux de réalisation des deux postes frontaliers terrestres algéro-mauritaniens est de 99,6%.
La récolte de blé devrait, selon un rapport mensuel de l’USDA, s’élever à 783,01 millions de tonnes pour la campagne agricole de 2023/24, soit plus d’un million de tonnes supplémentaires par rapport à la précédente estimation.
L’impact des changements climatiques se fait de plus en plus ressentir sur la filière oléicole comme c’est le cas pour d’autres cultures. Selon les prévisions du Conseil international oléicole (COI) publiées le 8 décembre, la production mondiale d’huile d’olive 2023/2024 devrait chuter à 2,4 millions de tonnes (Mt), soit une baisse de 8% par rapport à la campagne précédente.
L’exercice 2022 a été marqué par l’entame des travaux de la première phase du projet de modernisation de la centrale des impayés, a affirmé la Banque d’Algérie dans son dernier rapport relatif à l’évolution économique et monétaire.
L’année 2024 ne sera pas celle de la transition énergétique, c’est en tout cas ce que dit une analyse de Standard&Poor’s. Cette dernière souligne que même si «le changement climatique reste reconnu comme un risque mondial majeur, toute accélération de la décarbonation pourrait se heurter à des défis- liés à des coûts plus élevés, des perturbations géopolitiques et des réactions négatives en matière de politique environnementale - qui détourneraient les priorités d’atténuation du changement climatique».
Cinq accords de partenariat ont été signés entre des opérateurs algériens et sénégalais au cours de la 2e édition du Salon Sipsa Africa Food tenue du 30 novembre au 2 décembre derniers à Dakar (Sénégal), a indiqué, hier, dans un communiqué, le président du Groupe de réflexion Filaha Innov (GRFI) et du Salon Sipsa Filaha, Amine Bensemmane.
Les pays de l’alliance Opep+, dont l’Algérie, envisagent une reconduction de leur décision de réductions volontaires au-delà du mois de mars prochain, si les conditions du marché l’exigent, indique le ministre de l’Energie et des Mines. «Le ministre Mohamed Arkab a informé que l’OPEP et ses partenaires de la Déclaration de Coopération demeurent extrêmement vigilants et attentifs à l’évolution des fondamentaux du marché pétrolier à court terme.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture FAO a revu à la hausse ses prévisions relatives aux récoltes de la campagne en cours dans son Bulletin sur l’offre et la demande de céréales publié hier.
Considéré comme un rendez-vous incontournable pour les chercheurs universitaires, la 2e conférence nationale de la mécanique et des matériaux s’est tenue les 6 et 7 décembre à la Faculté de la technologie de l’université de Boumerdès.
Début octobre dernier, notre rédaction, s’appuyant sur les affirmations d’experts agricoles, indiquait que le marché irlandais pouvait être une option pour diversifier les sources d’approvisionnement en viandes bovines mais aussi et surtout parer à la difficulté de satisfaire les besoins nationaux, et parvenir à en baisser les prix, sans cesse croissants, et ce, suite, notamment, au déficit provoqué par l’interdiction, depuis le 25 septembre des importations de bovins en provenance du traditionnel principal fournisseur sur le marché international, la France, confrontée, à l’instar d’autres pays européens, à la maladie hémorragique épizootique (MHE), une pathologie virale, considérée par l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA) comme «potentiellement mortelle pour le bétail».
L’ancien ministre de l’Energie, Sadek Boussena, estime que les questions pétrolières et gazières nationales ne relèvent pas uniquement d’équations économiques et techniques, car selon lui, «les bonnes réponses ne peuvent émaner que d’un débat politique en vue d’asseoir le plus large consensus possible autour de mesures et de réformes dont certaines sont certes complexes et difficiles à entreprendre mais urgentes à traiter».