Le pétrole montait fortement mardi 8 mars sans s'approcher pour l'instant du sommet atteint la veille dans un marché volatil, en réaction à un possible embargo américain sur le brut russe à cause de la crise ukrainienne.
La Russie a mis en garde contre des "conséquences catastrophiques" pour le marché mondial de la mise en place d'un embargo occidental sur le pétrole russe, discuté par Washington et l'Union européenne comme mesure de riposte au conflit militaire en Ukraine.
Le gouverneur de la Banque d’Algérie, Rostom Fadli, a indiqué que ce sont les banques qui sont réticentes à donner des crédits. Le secrétaire du Conseil de la monnaie et du crédit (CMC), Salah Eddine Taleb, a soutenu que la Banque centrale n’a pas envoyé de missives aux banques pour leur demander d’exiger des garanties.
Selon un exposé présenté à la commission des transports et des télécommunications de l’Assemblée populaire nationale (APN) par une cadre de la compagnie aérienne Air Algérie, la situation financière est «en chute libre», expliquant que la compagnie a subi une multitude de facteurs fragilisant sa santé financière, à l’instar des dettes courantes, des dépenses incompressibles cumulées au titre des années 2020 et 2021 (maintenance, redevances de stationnement, salaires, kérosène), des reliquats de compensation, des créances sur les organismes d’Etat et un déficit exceptionnel lié à la crise sanitaire.
Le prix du gaz naturel a atteint un nouveau record historique sur le marché européen, en raison des craintes de perturbations des approvisionnements. Le cours du gaz européen de référence, le TTF néerlandais, a bondi à un nouveau record, à 345 euros le mégawattheure (MWh).
La production des membres du Forum des pays exportateurs du gaz (GECF) devrait augmenter de plus de la moitié à l’horizon 2050, selon le dernier rapport du Forum.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni, a affirmé, dimanche dernier à Souk Ahras, que l’Algérie «dispose d’un stock de céréales suffisant jusqu’à la fin de l’année en cours et ne sera pas affectée par les changements survenus au niveau mondial».
Si des sanctions contre les exportations de pétrole de la Russie sont mises en œuvre, le pétrole pourrait grimper à 185 dollars le baril cette année, selon les analystes de JP Morgan, tandis que les analystes de Bank of America estiment que les prix du pétrole pourraient doubler, passant de 100 dollars le baril à 200 dollars le baril.
Malgré un cadre juridique non discriminant, les femmes ne représentent que 7,6% de la population des chefs d’entreprise à travers le pays, selon une étude.
En Algérie, à l’instar de la zone MENA, le rôle assigné aux femmes comme mères et responsables de foyer est un principe culturel fondamental. Cette réalité semble révéler que la priorité est donnée à la famille plutôt qu’à l’engagement dans la sphère publique et économique. Beaucoup de femmes entrepreneures en Algérie se lancent en premier lieu pour créer leur propre emploi.
Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, l'une des deux variétés de référence du marché, a frôlé dimanche 140 dollars, proche de son record absolu, dopé par le conflit en Ukraine et l'arrêt quasi-total des exportations de pétrole russe.
Le prix du gaz naturel a atteint un nouveau record historique sur le marché européen, alors que des sanctions sur l'énergie russe sont discutées par les États-Unis et l'Union européenne.
Akli Moussouni est directeur des programmes du cabinet de Conseil en ingénierie Expert (CIExpert). Pour cet expert agronome, autant les débats sur la baguette «du pauvre» ne font que cacher des pratiques frauduleuses à grande échelle, autant l’inflation mondiale des prix alimentaires est le nouveau le bouc émissaire du mal qui ronge l’économie nationale. Si des crises récurrentes dans certaines filières alimentaires arrivent tout de même à être surmontées, certains prédisent des lendemains sombres avec l’envolée de l’inflation mondiale, liée à la hausse de plusieurs matières premières, suite au conflit armé en Ukraine.
Le nombre de femmes diplômées est supérieur à celui des hommes, mais dans la sphère du travail, le nombre de femmes à accéder à des postes d’emploi est bien plus inférieur. Un tel paradoxe ne peut être expliqué que par des freins socioculturels donnant aux femmes, même diplômées, un rôle social bien déterminé et l’empêchant, parfois avec leur consentement, de faire émerger leurs compétences dans le monde du travail.
De plus en plus de pays ont décidé la réouverture totale des frontières pour permettre de voyager sans restriction. Cette décision a été prise après avoir constaté un net recul du nombre des cas Covid-19 et ayant pris conscience que le transport aérien sera un élément vital de la reprise économique mondiale après la crise sanitaire.
La parité hommes-femmes au travail reste virtuelle. Elle se limite aux textes de lois. Ce qui freine l’inclusion économique des femmes dont le chômage est en évolution ces dernières années.
Les prix alimentaires mondiaux ont atteint un record et les indices des prix à la consommation dans les principales économies sont en hausse. «C’est une mauvaise nouvelle pour les ménages du monde entier, car la croissance des salaires est largement inférieure à l’inflation», signale un analyste cité par Bloomberg.
Le ministère de l’Industrie pharmaceutique a annoncé, hier, que 70 mises en demeure ont été adressées à des établissements pharmaceutiques de distribution pour non-respect des dispositions des réquisitions visant à garantir l’approvisionnement continu en médicaments anti-Covid-19.
Le Salon international de l’industrie agroalimentaire (SIAG) revient avec sa huitième édition, du 23 au 26 mars 2022. Selon un communiqué des organisateurs, «sans la crise sanitaire qui a touché toute la planète et les restrictions de circulation du fait de la Covid-19, il aurait atteint une décennie d’existence cette année». «Le SIAG est un événement incontournable qui accompagne les professionnels et industriels de l’agroalimentaire, de l'emballage, des procédés de fabrication et de transformation».
La situation financière des filiales du groupe Transtev montre la continuité de l’endettement pour les sociétés de transport par bus, d’autant plus que leurs dettes se sont élevées, fin 2020, à quelque 7,284 milliards de dinars.