Les réformes structurelles sont incontournables en Algérie pour se doter d’un nouveau modèle de croissance économique et social inclusif et faire face aux nouvelles réalités géostratégiques.
Afin de canaliser le capital argent de la sphère informelle, le 23 septembre 2023, le Conseil monétaire et bancaire vient d’adopter un projet de règlement relatif aux conditions d’autorisation, de constitution, d’agrément et d’exercice des bureaux de change, une démarche qui vise à créer les conditions idoines à même de favoriser le déploiement d’un vaste réseau national de ces bureaux.
La Fédération algérienne de football (FAF) vient de connaître son troisième président, pour un même mandat olympique. Le nouveau responsable est élu pour une période de 18 mois, l’obligeant à des solutions d’urgence, pour permettre essentiellement à notre EN de préparer les prochaines joutes qualificatives, dans la sérénité et avec les moyens nécessaires, pour renforcer les chances d’une participation honorable, correspondant au statut de l’équipe. Dans son programme annoncé, le nouveau président de la FAF a rappelé que la formation était du ressort des clubs et non de l’instance fédérale.
Le décret présidentiel numéro 23-331 du 10 Rabie El Aouel 1445 correspondant au 26 septembre 2023, signé par le président de la République, a pour objet de réorganiser les services de la présidence de la République et d’en fixer les attributions, l’objectif étant d’éviter de naviguer à vue au moyen d’une vision stratégique face aux nouvelles mutations géostratégiques mondiales et d’une situation interne complexe.
Selon le site Forex, le marché de devises sur le marché parallèle est estimé entre 3/5 milliards d’euros/an, mais ce montant, fluctuant, est certainement sous-estimé. Afin de canaliser le capital argent de la sphère informelle, l’instruction 08-96 du 18 décembre 1996 avait déjà fixé les conditions de création et d’agrément des bureaux de change où l’article 1er stipulait que la présente instruction a pour objet de déterminer les conditions de création, d’agrément, d’organisation et de fonctionnement des bureaux de change, conformément aux dispositions du règlement n°95-07 du 23 décembre 1995 modifiant et remplaçant le règlement n°92-04 du 2 mars 1992 relatif au contrôle des changes notamment ses articles 10 à 15.
Ce jour du 30 août 1973, soit un demi-siècle que le «Soleil fraternel» de Jean Sénac est porté disparu. Un astre venait de s’éteindre. C’était une belle nuit d’été.
On sait que l’enseignement au sein de l’université dans tous les domaines est lié à la création de nouvelles connaissances. Par exemple, la recherche en sciences humaines et sociales concerne la philosophie, l’éthique et l’épistémologie de la science. Singulièrement, les recherches en économie sont utiles pour analyser et comprendre les performances en matière d’innovation.
La guerre en Ukraine continue de causer des pertes humaines considérables et d’endommager l’économie mondiale (dont celles des pays en conflit). Cette guerre, qui dure maintenant depuis février 2022 (et risque de s’enliser) a perturbé la reprise économique mondiale post-Covid 19 et déclenché un double choc énergétique et alimentaire ainsi qu’une crise du coût de la vie. Bien que d’autres chocs aient secoué l’économie mondiale, cet article va se focaliser sur les impacts macroéconomiques de la guerre en Ukraine.
Le Premier ministre algérien vient d’annoncer le 17 septembre 2023 une révision du calcul du PIB sans divulguer la méthode le faisant passer de 183 milliards de dollars (source FMI) à 220 milliards de dollars fin 2022 et en incluant, selon ses propres propos, la sphère informelle 240/245 milliards de dollars donnant donc 20 à 25 milliards de dollars le montant de la sphère informelle, alors que pour la Banque d’Algérie cette dernière représente plus de 6200 milliards de dollars fin 2021 (source APS), soit 45,25 milliards de dollars, une grande différence, montrant comme cela a été souligné par le président de la République l’effritement du système d’information. L’objet de cette présente contribution est d’analyser, objectivement, la méthode du calcul du PIB et ses limites lié au système d’information
Jijel étouffe sous son humidité. Cinq barrages d’eau y ont vu le jour, ils contribuent à approvisionner en eau potable Jijel et l’arrière-pays. Ces transferts «bénéficient plus à des zones urbaines ou à des acteurs économiques plus puissants» et favorisent un territoire au détriment d’un autre en créant un déséquilibre régional de développement.
L’officine algérienne a une histoire qui mérite d’être connue afin de pouvoir apprécier la longue et laborieuse trajectoire de son évolution avant d’être ce qu’elle est aujourd’hui. Ce serait un travail fort intéressant qui pourrait faire l’objet d’une étude suivie d’une publication. Par cette contribution, je n’ai pas la prétention d’écrire cette histoire mais juste rendre un hommage à l’officine algérienne au lendemain du 5 Juillet, date anniversaire de notre indépendance et point de départ de tout le système de santé algérien.
La prochaine crise économique mondiale va frapper un monde sous pression et sa capacité de réponse reste douteuse. Cette pression est le résultat d’une succession de chocs violents, y compris la grande crise financière de 2008, les chocs pétroliers de 2014, 2020 et 2022, la pandémie qui a paralysé le monde entre 2020-2022, la crise du coût de la vie depuis la mi-2021, la guerre en Ukraine et les désastres naturels en série liés à la crise climatique que nous vivons désormais et qui se manifeste à échéance régulière, y compris avec intensité au cours de cet été 2023.
Le numérique constitue un vecteur déterminant dans le développement économique et social de tout pays. C’est un levier essentiel de démultiplication des gains de productivité et d’accroissement de la compétitivité voire même un enjeu de souveraineté, un impératif d’ordre stratégique.
Le récent élargissement des BRICS à six nouveaux membres est une victoire pour la Chine qui lui permet de continuer son combat pour la remise en question de l’hégémonie du G7 et l’ordre international dominé par l’Occident.
L’Algérie produit plus de 98% de son électricité, dite conventionnelle, à partir du gaz naturel. Sa production gazière et ses exportations accusent, depuis un certain temps, un déclin continu à cause de la déplétion des gisements et d’une consommation nationale en rapide progression. Un besoin pressant s’impose donc pour économiser le gaz consommé localement. A cette fin, un programme national de développement des énergies renouvelable (EnR) a été adopté dans le cadre de la transition énergétique avec pour objectif principal de remplacer progressivement l’électricité conventionnelle et donc d’économiser progressivement le gaz.
Le réchauffement climatique correspond à un phénomène de l’augmentation de la température globale de la surface de la Terre liée à l’activité industrielle et notamment à l’effet de serre. De ce fait, les causes du réchauffement climatique ne sont pas naturelles, mais économiques et industrielles. C’est pour cette raison qu’on parle généralement du réchauffement climatique dit «d’origine anthropique» ou «d’origine humaine».
Le groupe des BRICS vient de décider son élargissement, ce qui pose désormais la question de son influence réelle à venir du fait des divergences majeures entre les pays membres.
Les tensions entre les Etats-Unis et la Chine, la guerre en Ukraine et l’affirmation croissante d’un certain nombre de puissances moyennes sont en train de façonner un nouveau monde et de conduire à terme à un partage éventuel de la gouvernance mondiale.
Dans un monde où chaque clic, chaque partage et chaque inscription en ligne devient une trace numérique, l’Algérie prend une initiative audacieuse.Avec la mise en place de l’ANPDP, le pays s’affirme sur la scène internationale des données personnelles. Mais de quoi s’agit-il réellement et qu’est-ce que cela signifie pour le simple citoyen ?
A l’approche du prochain sommet des BRICS, du 22 au 24 août 2023, en Afrique du Sud, les supputations vont bon train sur deux sujets principaux : l’élargissement de cette organisation à de nouveaux membres et l’adoption éventuelle d’une monnaie commune, pour s’affranchir de l’hégémonie du dollar, synonyme d’un ordre international inique, qui s’exerce au détriment des pays du «Sud global». Cette courte étude va tenter de caractériser au mieux cette hégémonie et de montrer qu’une riposte de type monétaire est absolument pertinente.