Une solution écologique aux déchets plastiques qui ne peuvent être recyclés. De nombreuses expériences d’intégration de déchets dans les matériaux de construction ont déjà été tentées. Rencontre avec Oum Keltoum Haddad qui a tenté cette expérience.
De simples gestes, quotidiens, ininterrompus qui font de leur cité un bijou en plein quartier caractérisé par un manque d’urbanisme, l’anarchie et l’incivisme. Un exemple de l’amour de la nature et de civisme à suivre.
Il y a quelques jours, des photos montrant le massacre d’un loup doré font le tour des réseaux sociaux. S’il est difficile de déterminer la date exacte ainsi que le lieu du drame, les chercheurs assurent tout de même que les faits sont réels et les massacres récurrents.
Comme c’est le cas de nombreux pays exerçant la pêche en Méditerranée, l’Algérie n’a pas été épargnée par le fléau de la pêche illicite non déclarée et non réglementée. D’ailleurs, les représentants des pays de la Méditerranée et de la mer Noire, dont l’Algérie, ont adopté, lors de la dernière session annuelle de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), plusieurs mesures contraignantes visant à renforcer les efforts en faveur de la conservation des ressources halieutiques et contrer la pêche illicite.
La révision de la loi relative à la pêche et à l’aquaculture s’impose au regard de plusieurs paramètres internes (nationaux) et externes «imposés» par l’évolution de la législation internationale, notamment des décisions adoptées par la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM)
A l’occasion de la Journée internationale de la forêt, l’association Afus-Afud organise du 18 au 21 mars, en collaboration avec l’APC d’Adekar, la direction de la jeunesse et des sports ainsi que le centre de recherche national d’innovation agroalimentaire, la première édition de « Forêtever » ou « La forêt pour toujours », un événement au riche programme dédié à la protection de la forêt d’Akfadou.
Alors que la pollution atmosphérique est considérée comme risque majeur, il n’existe cependant aucun réseau opérationnel de surveillance en continu de ce risque en Algérie. APOMOS (Air Pollution Monitoring System) vient pour changer les choses. Un projet mis en œuvre par l’équipe mixte issue de l’USTO-MB et Sonatrach DC-RD, et qui propose une alternative concrète et opérationnelle afin de combler l’absence de réseaux de mesure de la qualité de l’air en Algérie.
Trop souvent oublié lors des conflits armés, l’environnement est également une victime de guerre. Pollution de l’air, érosion des sols, destruction de forêts, pollution des mers… Tant de conséquences environnementales qui, à long terme, deviennent, elles aussi, un fléau.
C’est lors d’un Conseil des ministres, tenu il y a quelques semaines, que le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a donné des instructions pour obliger toutes les communes du pays à utiliser l’énergie solaire dans l’éclairage public.
Il s’agit d’une initiative louable, et ce, même si le nombre de plants est, de son avis, modeste», assure M. Djamel Belaid, ingénieur agronome, auteur de L’Agriculture en Algérie, qui estime tout de même que l’arganier «revient de loin».
L’association OXY-Jeunes Darguina a tenu, cette semaine, un sit-in au niveau du Oued Agrioune, situé dans la commune de Darguina à Béjaïa, pour dénoncer «l’exploitation arbitraire du «tout-venant» et matériaux alluvionnaires d’Oued Agrioune».
Exploiter les lits d’oued pour extraire les agrégats n’est pas une particularité de l’Algérie.
Dans le but de contrer la hausse des prix des produits de large consommation, nous avons proposé d’appliquer une nouvelle taxe de 5% sur l’ensemble des produits au lieu de la 19% appliquée jusqu’à présent, afin d’essayer d’amortir toutes ces différentes augmentations que nous sommes en train de subir, notamment sur les matières premières, le transport ou encore à la suite de la dévaluation du dinar», suggère Ali Hamani, le président de l’Association des producteurs algériens de boissons (APAB).
«Hayii Yafriz », un projet qui vise à reconsidérer les déchets comme ressource économique à valoriser, a reçu, lors du Forum National des Clubs Verts organisé par la wilaya de Boumerdès, le second prix national du meilleur projet environnemental.
Les syndicats représentent une force de suggestion, d'accompagnement et de participation pour résoudre tous les problèmes et difficultés qui se posent dans le secteur de l'éducation nationale.»
La 3e édition de la formation des ambassadeurs de l’environnement au profit de 20 jeunes acteurs associatifs à la responsabilité citoyenne en matière de l’environnement s’est clôturée le 31 décembre 2021.
La force d’attraction touristique de certains sites naturels peut devenir une menace pour les écosystèmes. Et bien souvent, le tourisme de masse a des répercussions négatives sur la population locale et l’environnement. A titre d’exemple : Taghit fait face chaque année à l’incivisme de certains touristes, venus passer le réveillon. Des sites naturels et préhistoriques sont alors défigurés.