Selon un exposé présenté à la commission des transports et des télécommunications de l’Assemblée populaire nationale (APN) par une cadre de la compagnie aérienne Air Algérie, la situation financière est «en chute libre», expliquant que la compagnie a subi une multitude de facteurs fragilisant sa santé financière, à l’instar des dettes courantes, des dépenses incompressibles cumulées au titre des années 2020 et 2021 (maintenance, redevances de stationnement, salaires, kérosène), des reliquats de compensation, des créances sur les organismes d’Etat et un déficit exceptionnel lié à la crise sanitaire.
De plus en plus de pays ont décidé la réouverture totale des frontières pour permettre de voyager sans restriction. Cette décision a été prise après avoir constaté un net recul du nombre des cas Covid-19 et ayant pris conscience que le transport aérien sera un élément vital de la reprise économique mondiale après la crise sanitaire.
Dans le cadre du renforcement du travail consultatif et participatif et la promotion de l’activité touristique, une séance de travail a réuni, hier à Alger, Yacine Hamadi, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, et Aïssa Bekkaï, ministre des Transports, avec les différents partenaires sociaux affiliés au secteur du tourisme et de l’artisanat.
Lors du premier vol de rapatriement des ressortissants algériens, 76 Algériens résidant en Ukraine sont arrivés jeudi soir à Alger en provenance de Bucarest (Roumanie), tandis que 4 autres vols sont prévus dans les prochains jours.
L’année 2022 sera celle du décollage économique en Algérie. C’est du moins l’objectif affiché au plus haut sommet de l’Etat. Dans ce contexte et pour aller dans cette direction, une nouvelle organisation syndicale patronale a été créée. Elle aura comme priorité de rétablir le lien de confiance entre les entreprises, les investisseurs et les pouvoirs publics, susciter la concertation sur les réformes à mener avant l’élaboration des textes d’application, et lutter contre la paralysie de l’administration et sa résistance au changement. Dans cet entretien, Kamel Moula, président du Conseil du renouveau économique algérien (Crea), nous donne son éclairage.
Les Algériens consomment plus de 40 millions de baguettes par jour, selon les derniers chiffres du ministère du Commerce.
Le groupe AZ Hôtels a lancé, ce samedi 26 février à Oran, les opérations de location des locaux du centre commercial et de loisirs Grand Oran. Tenant compte des normes internationales dans sa conception, ce pôle commercial et de loisirs s’étend sur une superficie de 33 000 m2, regroupant 180 boutiques.
Le ministère des Transports a annoncé «l’exonération de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les billets du transport aérien des voyageurs, en provenance ou à destination de 10 aéroports du Grand Sud, dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions de l’article 90 de la loi de finances 2022».
Mouloud Youbi, président de la Fédération nationale des agences de voyages et du tourisme, a déclaré hier, lors de son passage dans l’émission «Echorouk Morning», que plus de 30 000 travailleurs ont perdu leur emploi en raison des effets de la pandémie de Covid-19.
L’année 2022 verra des réformes majeures dans le secteur des assurances», selon Hassan Khelifati, vice-président du Conseil du renouveau économique algérien (CREA), qui s’est exprimé hier à Echorouk News. Il est revenu sur les objectifs et la démarche du CREA qui, a-t-il dit, est «le premier syndicat qui regroupe les représentants des secteurs public et privé» et confirme que «les plus grandes entreprises publiques sont présentes au sein de ce Conseil» et 7 membres fondateurs sont des start-up. H. Khelifati a tenu à préciser que «2022 sera l’année du décollage économique du pays».
La nouvelle organisation veut mettre à la disposition de l’Etat l’expertise de nombreux opérateurs dans plusieurs secteurs, notamment la lutte contre la bureaucratie, l’économie informelle et la contrefaçon.
Une allocation chômage sera accordée sous forme de présalaire «afin de préserver la dignité des jeunes». Une décision présidentielle qui intervient dans un contexte de crise économique persistante. Elle est de 13 000 DA et sera accompagnée d’une couverture santé. Les dépenses étaient prévues par la loi de finances 2022, selon le président de la République.
Les objectifs à atteindre sont la satisfaction des besoins quotidiens des citoyens, la réduction de la facture d’importation et atteindre l’autosuffisance en la matière.
Il faut impérativement revoir à la baisse les taux de taxation actuels en droits et taxes appliqués aux ordinateurs personnels et d’autres équipements informatiques essentiels (switch et routeurs, serveurs…) qui se trouvent actuellement à un niveau excessif.
Un mouvement de protestation a été observé par tous les médecins de l’hôpital de Timimoun suite à l’agression, à la violence et à l’injure contre un médecin de garde du service des urgences par l’agent de sécurité de l’établissement, selon la page Fecebook «Timimoun news» du 6 février. Le site a accompagné cette information par des images prises sur le lieu de la protestation.
La conjoncture actuelle creuse les inégalités. Certains n’arrivent que difficilement à subvenir à leurs besoins essentiels, se retrouvant dans une situation de vulnérabilité.
La crise économique et la chute du pouvoir d’achat sont très perceptibles. Evidemment, quand il y a un problème avec le pouvoir d’achat, il y a automatiquement un décalage qui se crée entre les classes sociales. On est en train de voir qu’il y avait une classe dite moyenne qui se retrouve un cran en dessous de celle dite moyenne, qu’on pourrait qualifier de classe de nécessiteux.
Le métier d’influenceur tend à se professionnaliser dans le monde à l’heure de l’essor du marché d’influence marketing. Coup de projecteur sur un phénomène à réglementer. Il convient de s’interroger entre autres sur la nature contractuelle de la relation entre l’influenceur et la marque qu’il promeut.
L’Algérie continue d’enregistrer de fréquentes perturbations du réseau internet. Cette situation provoque régulièrement la colère des usagers. Le ras-le-bol est surtout perceptible dans les entreprises dont les activités dépendent en grande partie ou exclusivement d’un bon débit internet (administration, services financiers).
L’augmentation sur 1 kilogramme de bœuf a atteint 400 DA et celle de mouton 300 DA, tandis que de nombreux détaillants confirment que ces prix vont continuer à grimper durant le mois de février.