A 22 ans, l’actrice franco-algérienne Inès Boukhelifa vient de crever l’écran en montrant toute l’étendue de son talent dans le rôle que lui a offert Les Segpa, la web-série créée en 2016 par les frères Hakim et Ali Bougheraba et qui porte sur les aventures de collégiens en grandes difficultés scolaires.
Si un jour vous avez traversé les Bibans par l’autoroute Est-Ouest, vous avez sûrement dû remarquer ces montagnes aux crêtes dentelées et aux pics bizarres qui rappellent vaguement le dos d’un stégosaure du jurassique.
Treize villages répartis sur 195 km de montagnes pour une population qui avoisine les 11 000 âmes. C’est Ighil-Ali chef-lieu de commune et de daïra à la pointe sud de la wilaya de Bejaia. Cette cité médiévale fondée il y a plusieurs siècles a longtemps été une place commerciale réputée pour le travail de ses orfèvres et de ses armuriers.
Si vous entreprenez une petite marche à pied ou roulez en voiture à travers les rues de Béjaïa, Akbou, Amizour ou Sidi Aich, pour ne citer que ces localités là, vous êtes déjà sûrement déjà tombés sur le spectacle d’une immense foule agglutinée devant un magasin et vous vous êtes probablement demandés ce qui attirait autant de monde devant une boutique quelconque qui n’a rien de spécial.
Deux journalistes, un chauffeur et un autre employé du journal ont payé le prix le plus cher, celui de la vie dans ce combat pour une Algérie démocratique. «Leur sacrifice ne sera jamais vain. Nous n’avons pas le droit au désespoir, même si ce journal disparaît dans des conditions incompréhensibles et injustifiables».
Animée par des médecins bénévoles et de jeunes étudiants en médecine, l’association médico-humanitaire Santé Proxy d’Akbou est à but non lucratif et œuvre pour la promotion de la santé publique dans la vallée de la Soummam.
Pour freiner l’écoulement superficiel des eaux, des spécialistes recommandent la création de barrages-digues sur les cours d’eau, avec un bassin d’approche en amont et un autre de dissipation en aval.
A l’occasion de la Journée internationale des forêts, Général Emballage SPA parraine une grande opération de reboisement au Col de Tizi N’Chrea, dans la commune d’Ouzellaguen, aux limites des wilayas de Béjaia et Tizi Ouzou, non loin du village historique d’Ifri qui avait abrité le Congrès de la Soummam, apprend-t-on du responsable de la communication de GE.
Adossée à un flanc de montagne boisé face à l’immensité de la mer, une jolie ferme avec des vaches, des poules, des canards et surtout des chevaux. Une dizaine de magnifiques chevaux et pouliches de toute beauté. L’une des juments d’ailleurs vient tout juste de mettre bas.
Située dans la zone industrielle de Hassi Ben Okba, à une vingtaine de kilomètres de la ville d’Oran, la nouvelle usine de Général Emballage est entrée en exploitation le 2 janvier 2022.
La principale place publique de Boudjellil, chef-lieu de commune au sud de la wilaya de Béjaïa, s’est offert un beau lifting tout aussi artistique qu’écologique ces dernières semaines grâce aux initiatives d’embellissement et de nettoyage entreprises par les bénévoles de l’association de protection de la nature Agraw n Tawennat n Vujlil.
«La condition principale pour réguler le marché de la viande est que l’importation des bêtes d’engraissement doit revenir à l’État qui doit ensuite les dispatcher sur les éleveurs et agriculteurs afin d’éliminer les intermédiaires», pense un opérateur dans la filière de la viande fraîche.
Il est l’un des derniers maîtres à pratiquer la sculpture berbère sur bois à l’ancienne. Fils et petit-fils de sculpteurs renommés dans la région d’Ighil Ali, et bien au-delà, Hilal Belkacem est le dernier maillon d’une longue chaîne d’artisans qui ont tenté de maintenir en vie un art symbole d’histoire, de culture et d’identité millénaires.
Une situation inédite due au fait que, dans ces communes, il n’y a eu aucune liste de candidats aux dernières élections communales anticipées qui se sont tenues le 27 octobre passé.
Né le 16 avril 1941 dans la ville d’Akbou, le bon docteur Ahcene Rekis se dévoue corps et âme pour soulager ses patients et tous ceux qui se pointent à son cabinet depuis plus d’un demi-siècle. L’aide qu’il apporte en particulier aux plus démunis lui a valu d’être surnommé «le médecin des pauvres».
Cette crise est tombée au pire moment, c’est-à-dire dans une conjoncture d’indisponibilité de la matière première et d’une explosion de ses prix sur le marché international.
L’association des Chasseurs Tala d’Akbou a rendu un vibrant hommage à Dda Lhocine Keffous, le fondateur du parc zoologique de Tifrit, ce vendredi 14 janvier. Ses amis et compagnons ont été nombreux à se presser dans le petit zoo pour assister à la cérémonie, marquée de témoignages, des offrandes de présents et cadeaux symboliques, organisée en son honneur.
Avec ses 400 huileries, son parc oléicole de plus 5 millions d’oliviers et une production annuelle moyenne de 20 millions de litres d’huile d’olive, Béjaïa reste la principale place forte de l’oléiculture en Algérie. Cependant, elle risque d’être détrônée par les zones steppiques des Hauts-Plateaux, comme Djelfa où la culture de l’olivier connaît de très beaux succès. Pourtant, malgré son immense potentiel, l’oléiculture algérienne peine à tenir toutes ses promesses. L’absence d’accompagnement de la part de l’Etat des principaux acteurs de la filière et le poids de traditions dans ce secteur retardent le décollage.
L’huile d’olive est un aliment dont les bienfaits sur la santé sont innombrables. Elle contribue à la prévention des maladies cardiovasculaires, du cancer, s’utilise également en cosmétique et dans divers usages.
Des hommes qui ont fait le pari de tout miser sur l’huile d’olive, il y en a beaucoup et Seddik Zouaghi en fait partie. Après avoir pris sa retraite de salarié des secteurs public et privé, Seddik Zouaghi s’est reconverti dans l’huile d’olive en reprenant la ferme familiale sise à El Kseur.