L’Algérie prend part du 24 au 26 mars à la 10e édition du Salon international du tourisme «Place 2 GO» à Zagreb (Croatie), pour promouvoir la destination touristique Algérie et faire connaître ses potentialités touristiques et culturelles, a indiqué jeudi un communiqué de l’Office national du tourisme (ONAT).
L’Etat compte beaucoup sur ce secteur au regard des énormes potentialités susceptibles de transformer l’Algérie en une des destinations les plus attractives et les plus visitées.
Le Salon mondial du tourisme ouvre ses portes au public aujourd’hui à Paris. Une réouverture par laquelle le tourisme mondial aspire retrouver ses niveaux d’avant la pandémie de Covid-19 avant la fin de 2023.
Le développement du tourisme local nécessite la mise en place d’une stratégie globale permettant d’exploiter les potentialités existantes du secteur et de préserver la nature.
Une application numérique dénommée «Visit Guelma» dédiée au secteur du tourisme dans la wilaya de Guelma est mise en ligne, depuis quelques heures, par la direction du secteur.
Les grottes de Beni Add, dans la commune de Aïn Fezza, à 12 km du chef-lieu de wilaya. Une cavité forée il y a 65 000 ans dans la roche calcaire du massif de Tlemcen. Une merveille de plus de 700 mètres de profondeur, avec une température constante de 13 degrés toute l’année.
De l’avis de tous, du moins la majorité, notre tourisme n’arrive pas depuis longtemps, malgré ses atouts indéniables, à exprimer pleinement ses capacités. Quelles en sont les causes profondes et systémiques ?
25 nouvelles ZET ont été classées, principalement orientées vers des projets environnementaux et écologiques, en particulier au niveau des régions montagneuses et des Hauts Plateaux.
Un regain d’activités touristiques a été enregistré dans la Saoura, notamment à Taghit en ce début de saison du tourisme saharien, préfigurant le retour en force de la destination Saoura, ont souligné hier des professionnels et des responsables locaux du secteur.
Lorsque l’on voit ces milliers de baigneurs agglutinés sur nos plages, parasol voilé contre parasol voilé et table contre table, on est en droit de se demander si on peut les appeler touristes...
Profitant de la tenue des Jeux méditerranéens, le magazine Tourisme et Voyages a consacré sa dernière édition à la destination Oran, et mis en valeur toutes les facettes du tourisme dans cette ville accueillante.
Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Yacine Hamadi a mis l’accent, vendredi à Alger, sur la nécessité de mettre en œuvre le programme de numérisation du secteur et de concrétiser les premiers pas de la coopération avec l’Organisation mondiale du tourisme (OMT).
De nombreux opérateurs étrangers s’accordent à dire que la difficulté d’obtenir un visa pour l’Algérie est un véritable problème pour établir des partenariats dans le secteur.
Historiquement conservateur et fermé, le royaume a mis en place des visas touristiques en septembre 2019, quelques mois avant que la pandémie de coronavirus ne donne un coup d’arrêt au secteur à l’échelle mondiale.
Yacine Hammadi a souligné la détermination de l’Etat à garantir le succès de la saison estivale 2022 à travers la prise des mesures nécessaires.
Le Salon international du tourisme, des voyages et des transports (Siaha), dans sa 12e édition organisée à Oran, a permis de déceler plusieurs tendances. La première est celle d’un retour vers l’authentique, le patrimoine et les racines.
Brahim Djelouadji, professionnel du tourisme et des voyages, apporte dans cet entretien un éclairage sur les effets néfastes de la baisse de la fréquence des voyages vers l’Algérie du fait de la pandémie. Il indique que des compagnies low cost ont profité de la situation pour engranger des bénéfices sur le dos des ressortissants algériens désirant se rendre en Algérie. Le professionnel des voyages plaide, entre autres, pour l’augmentation de l’offre de transport de manière significative et l’autorisation pour les agences d’organiser des vols charters et plus de fréquences pour le maritime afin d’absorber la pression du grand rush de l’été.
Lors de la visite qu’il a effectuée mardi 26 avril 2022 dans la wilaya de Chlef, le ministre du tourisme et de l’artisanat, Yacine Hamadi, s’est rendu notamment dans les communes côtières de Sidi Abderrahmane et Beni Haoua où il a visité quatre projets touristiques.
Le tourisme alternatif a la cote. Cette offre touristique se développe pour s’adapter à tous les budgets et à toutes les envies. Ce type de voyage a été bouleversé notamment par le numérique (Internet) et un besoin d’expériences fortes. C’est une occasion unique de se ressourcer et se donner au rythme du désert par exemple avec ses lumières magiques. Le temps s’écoule lentement loin du monde. Les touristes profitent de la nature.
Comment peut-on définir le tourisme alternatif ? Est-il une mode passagère ou une tendance lourde ? A mon avis, et cela ne m’engage que moi, ni l’un ni l’autre. Si l’on dit que c’est une mode passagère, cela veut dire que le besoin de mettre en valeur les ressources naturelles, sociales et culturelles des destinations ainsi que celui de découvrir et de préserver la nature, ou encore de veiller que les recettes touristiques participent au développement des économies locales n’a pas d’ancrage socio-économique et culturel. Or, ce besoin, y compris celui de payer les prestataires et salariés locaux au juste prix de leurs efforts répond à une mutation socio-économique et culturelle aussi bien chez le touriste que chez les populations des territoires visités.