Le chef de la diplomatie turque Mevlüt Cavusoglu va tenir une réunion trilatérale samedi avec ses homologues russe et ukrainien à Antalya dans le sud de la Turquie, a-t-il annoncé lundi 7 mars.
La Russie a exigé lundi 7 mars la protection "adéquate" de ses représentations diplomatiques en France, après avoir signalé une "attaque" au cocktail molotov contre l'un de ses centres culturels à Paris, en pleine offensive russe contre l'Ukraine.
L'amitié entre Pékin et Moscou est "solide comme un roc" a assuré lundi 7 mars le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi.
Les autorités russes ont établi une liste de pays "hostiles" à la Russie, auxquels les particuliers et les entreprises russes pourront rembourser leurs dettes en roubles, monnaie dont la valeur a perdu 45% depuis janvier, a indiqué lundi 7 mars le gouvernement.
Kiev refuse les couloirs humanitaires vers le Bélarus et la Russie proposés par Moscou pour l'évacuation des civils de villes bombardées, a annoncé lundi 7 mars la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk.
Des frappes russes ont détruit dimanche6 mars l'aéroport de la ville de Vinnytsia, à quelque 200 kilomètres au sud-ouest de Kiev, a annoncé le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Des banques russes ont annoncé dimanche 6 mars travailler à l'émission de cartes bancaires du réseau chinois UnionPay pour répondre à la décision des géants Visa et Mastercard de suspendre leurs opérations avec la Russie après l'intervention militaire en Ukraine.
Mise en garde de Moscou et soutien de Washington aux Européens touchés par l’offensive russe en Ukraine, entrée hier dans son dixième jour. Une situation qui laisse inerte jusque-là la diplomatie quant à trouver une issue à un conflit qui fait de l’ex-République soviétique un terrain d’affrontement entre la Russie et l’Occident.
La Russie ne prévoit pas d'introduire la loi martiale, a indiqué samedi 5 mars le président Vladimir Poutine, en réponse à d'insistantes rumeurs en ce sens à cause du conflit en Ukraine.
Les Ukrainiens ont reporté samedi 5 mars l'évacuation des civils du port stratégique de Marioupol, invoquant des violations du cessez-le-feu par les forces russes qui assiègent cette ville et avancent ailleurs dans le pays.
Les membres de l’Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) ont rejeté hier la demande de Kiev de créer une zone d’exclusion aérienne en Ukraine, rapporte l’AFP. Décision prise pour éviter de se laisser entraîner dans le conflit, selon le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg. «La question a été évoquée et les alliés ont convenu que nous ne devrions pas avoir d’avions de l’OTAN opérant dans l’espace aérien ukrainien ou des troupes de l’OTAN au sol, car nous pourrions nous retrouver avec une guerre totale en Europe», a-t-il expliqué au terme d’une réunion d’urgence des ministres des Affaires étrangères de l’Alliance à Bruxelles.
L a courbe des prix du pétrole continuait hier sa progression, lors de la séance de clôture de la semaine qui a connu la plus forte hausse en une décennie dans le sillage de la crise ukrainienne.
L'Ukraine table sur un troisième round des négociations avec la Russie ce weekend, a déclaré vendredi 4 mars l'un des négociateurs ukrainiens, Mykhaïlo Podoliak, conseiller du chef de l'administration présidentielle.
Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a condamné vendredi 4 mars les bombardements jugés "irresponsables" des forces russes qui ont touché la centrale nucléaire de Zaporojie, dans le sud de l'Ukraine, et appelé à mettre fin à la guerre.
La Russie, qui est le deuxième plus grand exportateur de pétrole brut au monde, représente plus de 40% des importations annuelles de gaz naturel de l’Union européenne.
Alors que l’armée russe poursuit son offensive sur l’Ukraine, les délégations des deux pays sont attendues aujourd’hui au Bélarus pour discuter d’une possibilité de cessez-le-feu.
Trop souvent oublié lors des conflits armés, l’environnement est également une victime de guerre. Pollution de l’air, érosion des sols, destruction de forêts, pollution des mers… Tant de conséquences environnementales qui, à long terme, deviennent, elles aussi, un fléau.
Pour Francis Perrin, chercheur à IRIS, qui s’exprimait hier sur les ondes de la radio française RTL, «les autorités russes n’iront pas jusqu’à fermer délibérément le robinet, parce qu’elles savent qu’économiquement ce ne serait pas bon pour elles (...)».
Les prix du pétrole continuaient leur flambée mercredi 2 mars, le baril de Brent dépassant les 110 dollars pour la première fois depuis 2014, poussés par la guerre en Ukraine et les craintes pour l'approvisionnement mondial.
L'armée russe a affirmé mercredi 2 mars s'être emparé de la ville portuaire ukrainienne de Kherson, située au sud du pays, près de la péninsule de Crimée.