Le Collectif des défenseurs sahraouis des droits humains au Sahara occidental (CODESA) a dénoncé l'intensification de la politique répressive menée par l’occupant marocain à l’encontre des activistes sahraouis, en particulier après l'agression violente du journaliste Mohamed Mayara le 19 novembre.
Le représentant permanent de la République sahraouie auprès de l’Union africaine, Maa El Ainin Lakhal, a affirmé, dans une déclaration hier à l’APS, que le peuple sahraoui demeure fermement attaché à son droit inaliénable à l’autodétermination.
Près de 24 000 Palestiniens ont été tués dans la Bande de Ghaza, en cent jours d’une campagne militaire d’une incommensurable sauvagerie. 35% des infrastructures urbaines de l’enclave dévastée ont été rasés de la carte.
Le Parlement de transition, désigné par le pouvoir militaire au Tchad, a voté jeudi 23 novembre en faveur d'une amnistie générale, comme l'a annoncé un ministre à l'AFP.
Les balles meurtrières du bal du 14 juillet 1953 : un massacre d’Algériens connu, «non reconnu» par la France coloniale. Cette histoire tragique est quasiment peu connue des peuples des deux rives de la Méditerranée. Comment ce mensonge d’Etat a si bien fonctionné ? Un massacre occulté non du bal mais des «balles du 14 juillet 1953». Comme si une page d’histoire avait été déchirée et mise à la poubelle.
L’attitude du ministère de l’Intérieur suscite déjà des craintes et la colère chez les partis de l’opposition et des mouvements citoyens qui dénoncent «une énième attaque contre le multipartisme» et «une remise en cause de la liberté de réunion».
Le journaliste El Kadi Ihsane, directeur de Maghreb Emergent et Radio M, est accusé d’«appartenance à une organisation terroriste».
Pour Michel Rocard (1930-2005), «la lutte contre cette guerre d’Algérie est la cause initiale de la naissance du PSU. Elle demeure sa préoccupation dominante et son activité essentielle».
Le front contre la répression et pour les libertés est né. En préparation depuis des mois à l’initiative des forces du pacte pour l’alternative démocratique (PAD), cette structure a été proclamée, ce samedi 5 mars, lors d’une conférence organisée au siège du Mouvement démocratique et social (MDS), dont le coordinateur, Fethi Ghares, figure par les détenus politique et d’opinion.
L’audition sur le fond du journaliste et militant Abdelkrim Zeghileche, prévue hier devant le juge d’instruction près le tribunal d’El Ziadia, à Constantine, a été reportée. Elle aura lieu dimanche 6 mars, selon le Comité national pour la libération des détenus d’opinion (CNLD). La même source rappelle que Abdelkrim Zeghileche a été placé sous mandat de dépôt depuis le 24 janvier 2022.
Le défenseur des droits humains, Zaki Hannache, placé en garde à vue prolongée depuis son arrestation, vendredi dernier à Alger, sera présenté aujourd’hui devant le procureur du tribunal de Sidi M’hamed d’Alger, a annoncé, hier, le Comité national pour la libération des détenus. Le jeune activiste a été arrêté par les services de police chez lui après perquisition du domicile familial et confiscation de son téléphone portable. Deux avocats, Fethi Chemakhi et Zoubida Assoul, lui ont rendu visite.
«Jusqu’à présent, on ignore ce qui est reproché au défenseur des droits humains, Zakaria Hannache», a indiqué Saïd Salhi, vice-président de la LADDH.
L’ONG Amnesty International appelle les autorités algériennes à cesser «leur répression implacable contre toutes formes de dissidence». «Le droit international relatif aux droits humains et la Constitution algérienne garantissent les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique pour les partis politiques. Les autorités doivent cesser immédiatement leurs attaques contre les libertés fondamentales en Algérie», lance l’organisation dans un communiqué rendu public, hier, sous le titre de «Algérie : dans le cadre de la répression, les partis politiques se retrouvent dans le collimateur des autorités».
Les forces de sécurité soudanaises ont tiré lundi 7 février à Khartoum des grenades lacrymogènes pour disperser des milliers de manifestants réclamant justice pour les 79 morts de la répression lancée par le pouvoir militaire après son putsch en octobre, a constaté un journaliste de l'AFP.
Sous les tirs de grenades lacrymogènes, des milliers de Soudanais ont convergé une nouvelle fois hier vers le palais présidentiel de Khartoum pour dénoncer le putsch d’octobre et réclamer justice et démocratie, rapporte l’AFP.
La suspension du PST a été précédée par d’autres décisions ou mesures qui sont considérées comme des «atteintes» au libre exercice politique. Le Conseil d’Etat a débouté le ministère de l’Intérieur par rapport à son action en référé contre l’Union pour le changement et le progrès (UCP).
La rentrée sociale 2021 est en avance. Avec elle, ce sont les scénarios pessimistes qui commencent déjà à émettre les premiers signes de concrétisation. Le retour en force des émeutes est plus qu’une sonnette d’alarme. En fait, les cellules de veille d’un grand nombre de centres de décision au niveau central et local devraient déjà être en train de préparer les cellules de crise.