Lham mhamer est un des plats traditionnels algériens qui se prépare dans l’ouest du pays. C’est un tajine d’agneau mijoté dans une marmite accompagnée d’une sauce réduite parfumée à la cannelle, gingembre et au safran et servi avec des pommes de terre frites. Un savoureux mets qui se prête à toute occasion mariage, baptême et surtout pendant le mois sacré de ramadan pour le repas de la rupture du jeûne .
Changer un rythme alimentaire qu’on a l’habitude de suivre pendant l’année, de façon subite, n’est pas une chose facile ni pour le corps ni pour le moral.
HISTOIRE DU ROI SCHAHRIAR ET DE SON FRÈRE, LE ROI SCHAHZAMAN Il dit. Et lorsque Schahrazade, la fille du vizir, eut entendu ce récit de son père, elle dit : «Ô père, je veux tout de même que tu fasses ce que je te demande !» Alors, le vizir, sans plus insister, fit préparer le trousseau de sa fille Schahrazade, puis monta prévenir le roi Schahriar.
Il n’y a pas un phénomène à la peau aussi dure que celui des mauvaises habitudes d’une bonne partie des consommateurs algériens durant le Ramadhan. Des comportements qui font renaître de vieux réflexes, que ni le temps ni les efforts de l’Etat ne sont parvenus à faire disparaître. Le tout reste la marque désolante collant à cette période de l’année, dominée par «la bouffe à outrance».
HISTOIRE DU ROI SCHAHRIAR ET DE SON FRÈRE, LE ROI SCHAHZAMAN Le lendemain, le semeur vint et prit l’âne et le fit labourer jusqu’à la fin du jour. Et l’âne ne retourna que le cou écorché et exténué de fatigue. Et le bœuf, l’ayant vu dans cet état, se mit à le remercier avec effusion et à le glorifier de louanges. Alors l’âne lui dit : «J’étais bien tranquille auparavant : or, rien ne me nuisit que mes bienfaits.»
l Assurer la sécurité des consommateurs et faire respecter les normes sanitaires par les commerçants à travers la ville, -dont certains écoulent leurs produits dans des conditions douteuses-, est l’objectif affiché du bureau de la santé et de l’hygiène de la commune de Mascara qui s’en va en guerre contre ces pratiques frauduleuses.
Le tajine de poulet aux olives, très aromatique, légèrement épicé sans être piquant, fera l’unanimité, c’est sûr ! Très facile à réaliser, on le déguste traditionnellement avec du pain matlouh.
Le mtewen est un plat en sauce algérien bien relevé avec de l’ail qui est cuisiné lors de grandes occasions, pour les fêtes de famille comme pendant la période du ramadan. Ce mtewem à la viande hachée en sauce rouge est traditionnellement préparé avec des morceaux de viande entiers mitonnés en ragoût et des boulettes.
HISTOIRE DU ROI SCHAHRIARET DE SON FRÈRE, LE ROI SCHAHZAMAN A cette vue, le frère du Roi dit en son âme : «Par Allah ! ma calamité est bien plus légère que cette calamité-ci !» Et aussitôt, il laissa s’évanouir son affliction et son chagrin, en se disant : «En vérité, cela est plus énorme que tout ce qui m’advint !»
Le Ramadhan est là et, à entendre le ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, «toutes les dispositions ont été arrêtées afin d’éviter une quelconque perturbation dans l’approvisionnement du marché, notamment en ce qui concerne les produits de large consommation, à travers une approche participative et consultative regroupant les différentes divisions productives, les gestionnaires des marchés de gros des légumes et des fruits et les associations professionnelles de commerçants».
La grille des programmes qui seront diffusés durant ce Ramadhan sur les neuf chaînes de l’Etablissement public de télévision (EPTV) s’annonce riche et variée à la fois.