Durant le mois sacré du Ramadhan, la ville d’Alger a pour habitude de garder une place en soirée aux musiques citadines qui y ont un ancrage, cette année les soirées de la capitale sont rythmées par le son de la mandole et du banjo, ou du qanoun et du oud avec un programmation sensiblement plus dense de la chanson chaâbie et de l’andalou.
L a Foire du livre du Ramadhan a ouvert ses portes en début de semaine à Alger avec la participation de 23 maisons d’édition nationales. Cette foire, qui se poursuivra jusqu’au 15 avril, est organisée par le ministère de la Culture et des Arts à Riadh El Feth, où plus de 4000 titres ont été exposés.
La direction de distribution de l’électricité et du gaz d’El Harrach, relevant de la Société algérienne de distribution de l’électricité et du gaz (Sadeg), a mis en place un programme exceptionnel pour assurer la qualité et la continuité du service pendant le mois de Ramadhan, permettant d’intervenir immédiatement en cas d’urgence durant la rupture du jeûne, a indiqué un communiqué de la direction.
Les habitants de la capitale sortent de plus en plus la nuit. Les nouvelles réalisations dédiées à la villégiature et à la détente favorisent cette tendance, notamment durant le mois sacré du Ramadhan. Dès la rupture du jeûne, les familles se ruent sur les jardins publics, les esplanades et les lieux de concerts. A Rouïba, c’est le jardin botanique récemment ouvert au public qui est chaque soir pris d’assaut par les familles.
Le problème revient chaque année à Chabet El Ameur. Signe du manque de transparence dans la gestion, la distribution de la prime de solidarité (10 000 DA) au profit des nécessiteux de la localité vire souvent à la polémique.
Durant le mois sacré de Ramadhan, les acteurs de la société civile redoublent d’efforts pour organiser, avec tous les moyens, les opérations de solidarité notamment les restaurants de la Rahma dédiés aux nécessiteux, en consécration des valeurs de solidarité de la société algérienne.
Les structures chargées de la collecte de sang dans la capitale connaissent une baisse significative du nombre de donneurs durant le mois sacré de Ramadhan.
Le mouvement associatif et la société civile, comme de coutume, viennent en ce mois de Ramadan à la rescousse des familles dans le besoin.
C’est devenu une tradition : avant la rupture du jeûne, une véritable frénésie rythme le pouls des rues, souks et autres supérettes, notamment lorsque l’astre flamboyant commence à décliner de son point de zénith avant de laisser place à la lumière vespérale du coucher.
Une série de films algériens seront projetés, à partir de ce samedi, au niveau des places publiques de quatre communes de la wilaya de Chlef, à l’initiative de la Direction locale de la culture et des arts, dans la cadre de l’animation de la scène culturelle à l’occasion du mois de Ramadhan, a-t-on appris, samedi, auprès de cette institution.
Objet de tensions récurrentes, notamment en période de forte demande comme c’est le cas actuellement, la distribution de la farine et de la semoule est en phase de connaître des améliorations, et ce, suite aux orientations du ministre du Commerce et de la Promotion des exportations, Tayeb Zitouni.
Le programme des activités du Croissant-Rouge algérien (CRA) à Guelma dédiée au mois du ramadan cible d’emblée les familles nécessiteuses à modeste revenu et une couverture sociale quasi inexistante.
Lors des travaux de la session ordinaire de l’APW d’Alger, qui se sont tenus jeudi dernier au siège de la wilaya, le wali d’Alger, Mohamed Abdennour Rabehi, a mis en avant les préparatifs entrepris par la wilaya d’Alger, en amont du mois sacré, devant permettre un déroulement sans difficulté du mois de Ramadhan.
La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaoutar Krikou, a souligné l’importance d’accompagner la femme au foyer productrice pour renforcer sa contribution à la production nationale.
A l’occasion du mois de Ramadhan, le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) a annoncé, dans un communiqué, la mise en place de points de vente directe pour les produits agricoles de large consommation, au niveau des établissements et des offices relevant du secteur à travers le territoire national.
Le mois de Ramadhan 2023 risque de ruiner les ménages algériens. Malgré les préparatifs entamés, plusieurs mois avant le début de cette période de jeûne, le marché reste perturbé et les prix des biens de consommation sont trop élevés, voire inaccessibles pour les petites et les moyennes bourses.
Une caravane de solidarité, chargée de colis alimentaires, a pris le départ hier, à partir d’Alger, vers 20 wilayas du pays au profit des familles nécessiteuses.Une caravane de solidarité, chargée de colis alimentaires, a pris le départ hier, à partir d’Alger, vers 20 wilayas du pays au profit des familles nécessiteuses.
La direction du Théâtre régional de Béjaïa est sortie enfin de sa léthargie, à la faveur de ce mois sacré pour proposer sa part d’animation nocturne. Malgré la fermeture de l’établissement pour cause d’interminables travaux de réhabilitation de la structure du TRB, suite aux dégâts occasionnés par le séisme du 18 mars 2021, l’établissement a trouvé la solution pour présenter ses pièces théâtrales en optant pour un programme de proximité. Ainsi, les spectacles sont délocalisés vers les structures culturelles de cinq communes, à savoir Amizour, qui abritera quatre spectacles à partir du 30 mars, à Darguina, Taskeriout, Tazmalt et Akbou.
Les marchés de proximité, dits «marché de la Rahma», qui sont au nombre de 26 dans la capitale, soit deux marchés par communes, sont littéralement pris d’assaut par les citoyens.
En dépit de la cherté de la vie et de l’érosion du pouvoir d’achat des citoyens, le gaspillage du pain durant le Ramadhan est devenu un comportement inhérent à ce mois sacré. Les chiffres de Netcom pour les 6 premiers jours du mois sont sans appel. «Quelque 2 000 kg de pain ont été collectés dans les 26 communes couvertes par l’Epic», a-t-on appris auprès de la chargée de communication de Netcom.