Le Salon international du livre (SILA), qui se tient actuellement à Alger, est une occasion pour nous rappeler la nécessité vitale de développer une politique d’incitation à la lecture.
l 1007 exposants de 40 pays, dont 290 d’Algérie, sont attendus à la 27e édition du Salon international du livre d’Alger.
Les étudiants des Beaux-Arts d’Alger pourront désormais consulter la riche documentation offerte par le fils du célèbre artiste libanais, Gebran Tarazi.
Bien des choses ont été dites sur la relation qu’entretiennent les Algériens avec le livre, et la lecture en général. Un sujet qui continue de susciter les débats. Durant des décennies, on s’est posé la question, devenue lancinante : «Les Algériens lisent-ils ?» Est-ce qu’ils le font souvent ou seulement durant le Salon international du livre d’Alger ? Le SILA est-il un baromètre pour mesurer l’importance et l’impact de cet intérêt ?
Une opération d’échange de livres entre lecteurs a été lancée mardi par la direction de la culture et des arts, dans le but d’encourager la lecture et ancrer une tradition au sein de la société, a-t-on appris auprès de cette institution.
Le Salon du livre amazigh (SLAO) a été clôturé, samedi, à la maison de jeunes des Frères martyrs Houacine Mohand Amokrane et Boukhalfa, de la ville des Ouacifs, et ce, après trois jours d’intenses activités au chef-lieu de la commune et au village Atit Akad, marqués, notamment, par des ventes-dédicace, des conférences et des ateliers de lecture et d’écriture.
Pas moins de 6387 ouvrages ont été mis à la disposition de la bibliothèque mobile qui vient de lancer ses activités éducatives et de loisirs à Constantine, dans le cadre de la promotion de la lecture au profit des enfants des zones d’ombre en particulier, a-t-on appris dimanche auprès de la bibliothèque principale de lecture publique Mustapha Nettour, initiatrice de l’opération.