Trois semaines après le dernier mouvement dans le corps des walis, il est déjà possible de percevoir les signes d’une évolution dans la gestion des collectivités locales, dans le sens d’une gouvernance rénovée et en rupture avec l’ancien mode de fonctionnement ayant largement montré ses limites.
Presque la moitié (46%) des Africains déclare que «la plupart» ou «tous» les fonctionnaires de police sont corrompus, la pire appréciation des 11 institutions et leaders sur lesquels portait l’enquête.
Les tensions entre les Etats-Unis et la Chine, la guerre en Ukraine et l’affirmation croissante d’un certain nombre de puissances moyennes sont en train de façonner un nouveau monde et de conduire à terme à un partage éventuel de la gouvernance mondiale.
La réforme du système de santé, dans ses différents volets, se met progressivement en place. Elle est palpable grâce à la numérisation qui a touché l’ensemble des services des hôpitaux et structures sanitaires, ainsi qu’avec l’introduction du dossier électronique médical.
Par un discours de vérité, il est nécessaire d’avoir une vision positive de l’avenir de l’Algérie, en évitant tant l’euphorie déconnectée des réalités internes et mondiales que les positions et comportements défaitistes.
On ne peut raisonnablement améliorer la gouvernance économique sans le politique.
Dans El Watan du 23 mars 2022, le lecteur a pu lire la contribution intéressante d’Ahmed Kebaili, intitulée «Sonatrach, la nécessaire transformation».