le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, les coupables sont les plus grands pollueurs du monde, «qui mettent le feu à la seule maison que nous ayons».
Tenu du 7 au 9 février 2022 à l’université de Ouargla, le premier Séminaire international sur la synthèse des matériaux et la surveillance environnementale (ISMSEM 2022) s’est voulu un espace d’échanges scientifiques que les dernières avancées technologiques et applications des nanostructures et nanomatériaux synthétisés et de partage d’expériences des résultats de recherche, des tendances et préoccupations les plus récentes ainsi que les solutions adoptées dans les domaines de la synthèse, de la caractérisation et du traitement des matériaux. Il a également offert une opportunité aux entrepreneurs et investisseurs pour découvrir et discuter autour de thèmes de recherche liés à leurs activités industrielles. Parmi les jeunes chercheurs en génie des procédés chargés de la coordination des travaux, le Dr Fethi Achi. Entretien.
Le Dénombrement international des oiseaux d’eau (DIOE) est une opération qui se répète chaque année durant des périodes bien précises. Les dates varient légèrement d’une région à l’autre. En Algérie, cette période se déroule en janvier. Le DIOE a commencé dans de nombreuses zones humides du pays. Zoom sur la région de Bouira.
L’association OXY-Jeunes Darguina a tenu, cette semaine, un sit-in au niveau du Oued Agrioune, situé dans la commune de Darguina à Béjaïa, pour dénoncer «l’exploitation arbitraire du «tout-venant» et matériaux alluvionnaires d’Oued Agrioune».
Neuf mille deux cent quarante (9240) tonnes de déchets ont été ramassées en 10 jours dans 38 wilayas. C’est le premier bilan établi hier par le ministère de l’Environnement, qui vient d’entamer une campagne nationale de sensibilisation à la propreté de l’environnement.
Les observateurs remarquent que le glacier Thwaites, en Antarctique, surnommé le «glacier de l’apocalypse», se fissure de plus en plus rapidement.
De plus en plus d’entreprises sont sensibles à la cause environnementale et au développement durable. Conscientes qu’elles ont un rôle à jouer en tant qu’acteurs, elles se sont engagées à limiter au maximum les impacts sur la nature à travers plusieurs axes majeurs. Parmi les initiatives, figure la collecte des emballages des produits afin qu’ils ne finissent pas comme des déchets sauvages ou dans les mers.
La récupération des eaux de pluie demeure, depuis la nuit de temps, un rempart contre les inondations. La conservation des eaux permet une économie très importante de la ressource qui pourra être utilisée dans le cadre de l’alimentation artificielle des nappes d’eau, d’où un gain très important en matière d’eau. Larbi Djabri, professeur en hydrogéologie et environnement à l’université de Annaba, insiste, dans cet entretien, sur la nécessité de se lancer d’avantage dans les formations des métiers de l’eau.
Des robinets secs dans une zone désertique qui cultivait un écosystème oasien ou chacun trouvait son compte avec une économie d’eau érigée en règle du groupe, la sonnette d’alarme a été lancée par le mouvement associatif local depuis quelques années, avec une prise de conscience remarquable des enjeux de la rareté de l’eau et de l’indispensable mise en place d’un système d’économie.
La 3e édition de la formation des ambassadeurs de l’environnement au profit de 20 jeunes acteurs associatifs à la responsabilité citoyenne en matière de l’environnement s’est clôturée le 31 décembre 2021.
Les avis des spécialistes divergent sur l’impact négatif du dessalement de l’eau de mer. On manque encore de recul et d’étude, mais les premières recherches révèlent d’ores et déjà des conséquences sur le sol et le milieu marin.
«A quelque chose malheur est bon», dit-on. C’est le cas du tri sélectif qui a trouvé dans l’informel la raison d’exister, faute d’une véritable mise en place d’une récupération intelligente des déchets.
La force d’attraction touristique de certains sites naturels peut devenir une menace pour les écosystèmes. Et bien souvent, le tourisme de masse a des répercussions négatives sur la population locale et l’environnement. A titre d’exemple : Taghit fait face chaque année à l’incivisme de certains touristes, venus passer le réveillon. Des sites naturels et préhistoriques sont alors défigurés.
La qualité de l’air à Pékin s’est nettement améliorée ces dernières années, selon des chiffres officiels, même si le niveau de pollution reste supérieur aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).