Renault s'apprête à conclure le dernier volet de son plan de redressement, baptisé Renaulution, en réalisant d'importantes coupes dans ses coûts industriels. Le constructeur a récemment annoncé son objectif de réduire les coûts de production et de logistique par véhicule de 30% pour les motorisations thermiques et de 50% pour les véhicules électriques d'ici 2027.
Le gouvernement panaméen a annoncé mercredi 6 décembre qu'un nombre record de plus d'un demi-million de migrants avait traversé la jungle périlleuse du Darien, reliant la Colombie au Panama, depuis le début de l'année.
Les médias japonais ont rapporté jeudi 7 décembre que la peine de mort avait été demandée à l'encontre de l'homme accusé d'avoir délibérément déclenché un incendie criminel dans un studio d'animation à Kyoto en 2019, entraînant la mort de 36 personnes.
Mercredi 6 décembre, l'armée américaine a pris la décision d'interdire les vols de ses aéronefs Osprey «par mesure de précaution», suite à plusieurs accidents mortels, le dernier en date ayant entraîné la mort de huit militaires américains au Japon fin novembre.
L'ancien président péruvien Alberto Fujimori, qui a dirigé le pays de 1990 à 2000, a été libéré de prison le mercredi 6 décembre à l'âge de 85 ans. Il était en détention depuis 2009, purgeant une peine de 25 ans pour des crimes contre l'humanité.
Une opération pour la réalisation, en urgence, de quatre forages va être entreprise au champ captant de la Mina situé en amont de la station de pompage de Sidi Ouadah relevant de la commune de Mellakou, à Tiaret. L’objectif est «de renforcer l’alimentation en eau potable de 19 quartiers de la ville», dont les populations ont connu de grandes difficultés d’approvisionnement durant l’été 2023.
Une bonne nouvelle pour les habitants de Mamounia. Le 4 décembre, le wali de Mascara, Farid Mohammedi, a donné son accord pour prendre en charge le dossier du Collège d’enseignement moyen (CEM) de la cité de Aïn Kahla, situé dans la commune de Mamounia, à 2 km de Mascara.
Les services de police relevant de la sûreté de wilaya de Chlef poursuivent la lutte contre les parkings illégaux dans les centres urbains, dans le cadre de l’accompagnement de l’amendement de la loi relative au délit d’exploitation de la voie publique à titre de parkings sans autorisation de l’autorité compétente.
Dans le but de faire face au stress hydrique et préserver les eaux souterraines, celles des barrages et des oueds, quatre stations d’épuration, à savoir Mostaganem, Sidi Ali, Sidi Lakhdar et Khadra seront dotées, à moyen terme, de dispositifs de traitement tertiaire qui permettent une augmentation du potentiel hydrique de réutilisation pour l’irrigation agricole et l’arrosage des espaces verts.
Du 9 au 11 décembre, l’Ecole supérieure d’économie d’Oran, en partenariat avec les laboratoires de recherche Lareem et Lamape, organise un colloque international dont la thématique est «L’intelligence économique à l’aune de l’intelligence artificielle : les enjeux pour la compétitivité.»
Dans son ouvrage La Convergence des consciences, l’auteur Pierre Rabehi aborde avec un sens philosophique les dérives de l’homme, son lucre sans limite et son avidité toujours inassouvie des ressources qu’il puise de la terre sans se sourciller le moindre du monde de sa préservation. Altermondialiste, l’enfant de Kenadsa, qui prône, lors de ses rencontres, un nouveau mode de société, appelle à une insurrection des consciences.
La guerre pour la mainmise sur l’arbitrage s’est de nouveau enflammée. Le court répit observé après la nomination d’Abid Charef, ancien arbitre international à la tête de la Commission fédérale des arbitres (CFA) en remplacement de l’ex-mondialiste, Djamel Haimoudi, a laissé la place à une guerre larvée entre de multiples acteurs gravitant autour de l’arbitrage. L’opinion sportive ne se demande plus pourquoi tant d’agitation sur le sujet de l’arbitrage. Elle sait, depuis longtemps, que c’est les gros intérêts en jeu qui bercent l’actualité des hommes en noir.
Les ventes importantes de SUV thermiques de Hyundai-Kia, Volkswagen et Toyota annulent complètement les gains climatiques provenant des véhicules électriques de ces mêmes constructeurs, selon un rapport de Greenpeace publié, hier, soit la veille de l’ouverture de la COP28.
La visite de Karim Khan, procureur de la Cour pénale internationale (CPI), à Tel-Aviv, à l’invitation des représentants des familles de rescapés de l’attaque du 7 octobre, et sa déclaration à l’issue des rencontres avec ces derniers ont suscité de vives réactions de nombreux militants des droits de l’homme palestiniens. Après l’avoir accusé de «partialité» et d’avoir «trahi son serment professionnel de défense des victimes», ils ont boycotté sa visite en Cisjordanie.
Qui arrêtera la folie meurtrière de l’armée israélienne contre les populations palestiniennes de l’enclave de Ghaza soumises, depuis près de deux mois, à un plan diabolique d’extermination et de terre brûlée élargi aux Territoires palestiniens occupés de la Cisjordanie ?
A travers le cas de deux opérations militaires exécutées par l’armée sioniste, en octobre dernier, à Deir El Balah, qui ont fait 43 morts au total, et que l’ONG a minutieusement documentées, Amnesty International accuse ouvertement Israël de «crimes de guerre» à Ghaza. L’organisation basée à Londres évoque également la complicité des Etats-Unis dans ces crimes.
Où aller ? Quoi manger ? Dans quel abri se protéger ? Ce sont les trois interrogations existentielles qui taraudent quotidiennement les esprits des Palestiniens dans la Bande de Ghaza. Sous le déluge de feu de l’occupant israélien qui intensifie ses attaques destructrices depuis la fin de la trêve humanitaire, des centaines de milliers de civils ghazaouis fuient la mort qui a déjà fauché 16 000 personnes, majoritairement des enfants et des femmes.
L’appui de plusieurs grandes puissances aux bombardements intensifs décidés par Israël, visant ostensiblement des populations civiles, ravivent l’accusation qui leur est adressée depuis longtemps, selon laquelle leurs politiques internationales se caractérisent par «deux poids deux mesures» ou «double standard».
Les investissements publics consentis en faveur des wilayas affichant des retards en matière de développement, notamment en ce qui concerne les infrastructures de base, viennent, faut-il le souligner, en appui des programmes destinés précédemment aux zones dites d’ombre et aux autres plans de développement des régions frontalières.
Le général d’armée Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a reçu en audience, hier au siège de l’état-major de l’Armée nationale populaire, le général de corps d’armée Mohammed Elghoul, chef d’état-major de l’Armée de terre des forces armées tunisiennes.