Le plastique est omniprésent dans notre environnement. Ce qui n’est pas sans conséquences sur l’environnement ainsi que sur la santé. En effet, ce produit, qui est en continuelle interaction avec l’environnement des individus, finit par s’infiltrer dans le corps humain, et cela, soit par ingestion, inhalation ou contact direct. D’ailleurs, de plus en plus de microparticules plastiques sont retrouvées dans le corps humain. Et les effets sur la santé peuvent être divers. L’environnement n’est pas épargné non plus. Il subit les conséquences de la croissance exponentielle de la production mondiale du plastique de plein fouet. Sachant que la production mondiale de plastique a explosé passant de 2 millions de tonnes en 1950 à plus de 400 millions aujourd’hui. Plus loin encore, les experts ont même estimé que cette production devrait doubler en 2040 et tripler en 2060. Dans ce dossier, El Watan revient sur les principales études réalisées au sujet de l’impact du plastique sur la santé et l’environnement qui a fait réagir des experts, chacun dans sa spécialité. Explications !
Selon Karim Ouamane, la migration des additifs des emballages vers les aliments est un phénomène complexe, influencé par une multitude de facteurs.
Le Groupe Télécom Algérie (GTA) a organisé, jeudi dernier à Alger, une journée de formation et d'information au profit des journalistes à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse au cours de laquelle experts et responsables ont donné des conférences sur les dangers liés aux médias sociaux et faisant suite à la campagne nationale lancée par le ministère de la Poste et des Télécommunications il y a quelques jours.
En 2023, la Gendarmerie nationale a traité 375 affaires. Selon un bilan du premier trimestre de l'année en cours, il a été procédé au traitement de pas moins de 202 affaires.
Les cigarettes proposées sur le marché noir ne répondent pas aux normes de production des usines agréées. Elles constituent donc une menace directe pour la santé publique.
Ghaza est le lieu «le plus dangereux au monde» pour un enfant, a dénoncé hier un porte-parole de l’Unicef, exprimant sa rage après son retour du territoire palestinien.
Où aller ? Quoi manger ? Dans quel abri se protéger ? Ce sont les trois interrogations existentielles qui taraudent quotidiennement les esprits des Palestiniens dans la Bande de Ghaza. Sous le déluge de feu de l’occupant israélien qui intensifie ses attaques destructrices depuis la fin de la trêve humanitaire, des centaines de milliers de civils ghazaouis fuient la mort qui a déjà fauché 16 000 personnes, majoritairement des enfants et des femmes.
Pour l’instant, l’IA n’a ni conscience des enjeux ni de conscience tout court, mais Londres organise mercredi et jeudi un sommet sur sa régulation, la Maison-Blanche vient de signer un décret pour l’encadrer et l’Union européenne veut se doter avant la fin de l’année d’un nouveau règlement. Tour d’horizon des risques liés à cette révolution technologique.
Les participants au congrès international sur la sécurité numérique en Algérie entre conscience de la société et vulnérabilité de l’utilisateur, organisé depuis mardi à l’université Chahid Ahmed Zabana de Relizane, ont mis l’accent sur la nécessité d’une sensibilisation continue des enfants et des jeunes sur les risques du mauvais usage des supports de réseaux sociaux.
La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), en coordination avec le commandement de la Gendarmerie nationale, a lancé hier une campagne nationale conjointe de sensibilisation aux dangers de la mauvaise utilisation d’internet par les enfants, indique un communiqué de la DGSN.