L'archipel de Taïwan, situé près de la Chine continentale, a récemment rénové d'anciennes installations militaires pour les transformer en un lieu d'exposition lors de la biennale d'art contemporain.
L’historien Amar Mohand Amer est revenu, lors d’un débat organisé à la salle Tassili, au Palais des expositions des Pins maritimes et modéré par Hassan Arab, sur l’écriture de l’Histoire du mouvement national.
L’historien Amar Mohand-Amer vient de publier aux éditions Frantz Fanon, à Boumerdès, «La crise du FLN de l’été 1962, indépendance nationale et enjeux de pouvoirs(s)». Un ouvrage préfacé et postfacé par les historiens Omar Carlier et Mohammed Harbi.
Lilian Thuram, ex-star du football, était, mardi 31 octobre, au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) où il a animé un débat à l’Espace Afrique, au pavillon central du Palais des expositions des Pins maritimes, et signé deux de ses ouvrages.
Le racisme, les inégalités sociales et la condition féminine constituent les principaux thèmes de la littérature «engagée» en Afrique, ont souligné mardi à Alger des écrivains réunis en marge du 26e Salon international du livre d’Alger (SILA). S’exprimant lors d’une rencontre sur l’engagement dans les littératures africaines, les participants ont relevé que les réalités sociales et politiques du continent alimentent principalement les littératures africaines, exprimées en langue française.
C’est l’histoire de destins individuels et d’un idéal commun : celui de la libération nationale. Les écrits d’acteurs de la Guerre de Libération foisonnent. Des personnalités, souvent connues mais parfois de parfaits anonymes, publient leurs mémoires.
Un débat sur «le livre papier et le livre numérique et leur circulation en Afrique» a été organisé, lundi 30 octobre, à la faveur du 26e Salon international du livre d›Alger (SILA), qui se poursuit jusqu’au 4 novembre. L’écrivain sénégalais Mamadou Samb, qui a modéré le débat à l’Espace Afrique au niveau du pavillon central du Palais des expositions, a estimé que les éditeurs et libraires s’accordent à exprimer leur frustration sur le manque de circulation du livre africain en Afrique. «Nous devons aborder cette question essentielle et régler les problèmes technologiques et économiques qui se posent à certains pays africains», a-t-il dit.
Il est l’un des auteurs les plus promoteurs de sa génération. Jeune trentenaire, Saïd Khatibi, qui a tôt fréquenté les rédactions algéroises, s’est intéressé aux arts. Auteur de deux essais sur l’histoire socioculturelle de la musique raï, il publie quatre romans, qui ont reçu un accueil formidable.
L’Office national des droits d’auteur et droits voisins (ONDA) a enregistré 433 affaires d’atteinte aux droits d’auteur ces dernières années, a déclaré lundi à Alger un responsable de cet organisme public de gestion collective des droits d’auteur.
Le 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) se poursuit au Palais des expositions des Pins maritimes, à l’ouest de la capitale, avec l’organisation de plusieurs rencontres, débats et vente-dédicaces.
L’écrivain français Albert Camus a vu ses textes traduits en plusieurs langues et dialectes du monde. Jean-yves Guérin, qui en est l’un des meilleurs spécialistes, parle de 75 traductions du texte le plus lu de l’auteur de l’absurde, L’Etranger (1942). «Il existe aujourd’hui 75 traductions de ce roman dans le monde. Il est traduit au Népal, aux îles Féroé, en javanais, en neuf idiomes indiens...», précise à L’Express le professeur émérite de littérature française à l’université de la Sorbonne nouvelle.
Jugurtha Abbou est spécialiste en psychologie sociale. Il est écrivain et militant politique. Il a été membre du Conseil national puis Secrétaire national à la communication du FFS, ce qui lui a permis de s’imprégner de la pensée de Hocine Aït Ahmed. Il revient dans cet entretien sur son ouvrage intitulé «La pensée de Hocine Aït Ahmed». A travers cette œuvre, Jugurtha Abbou se fixe le but de représenter de façon succincte la vision de Hocine Aït Ahmed et sa pensée politique, économique et identitaire.
L'humoriste Pierre Palmade s'est enfin confié sur l'accident qu'il a provoqué et sur son addiction à la drogue. Lors d'une audition devant une juge d'instruction au tribunal judiciaire de Melun en septembre, l'humoriste a révélé sa prise de conscience quant à la gravité de l'accident.
Excellente nouvelle pour ses nombreux fans qui attendent du nouveau, avec impatience ; la star du pop-rock kabyle, Ali Amran, nous revient avec un album inédit de 12 reprises (et quelles reprises !) du grand maître de chaâbi, l’incomparable Cheikh El Hasnaoui, fondateur de la chanson kabyle «moderne».
L’écrivain guinéen Tierno Monénembo a dialogué avec la romancière camerounaise Calixthe Beyala dans l’espace africain au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) sur l’Afrique, la littérature et l’avenir. Le débat a débuté avec une question provocante : «Qui est l’homme Tierno Monénembo ?»
Le gala de clôture de la 38e édition de la Mostra de València-Cinema del Mediterrani s’est déroulé dans le lieu même où Paolo Sorrentino a reçu la palme d´honneur il y a quelques jours, la Sale Iturbi du Palau de la Música rénovée, avec plusieurs clins d’œil à l’univers du cinéaste italien.
La 10e édition du Forum international sur la vie et l’œuvre de l’écrivain et dramaturge algérien d’expression française, Kateb Yacine (1929-1989), s’est ouverte, le 28 octobre, au centre culturel islamique Boulouh Mbarek de la ville de Guelma.
La pensée africaine ou l’affirmation de soi aux XXIe siècle» était le thème d’une rencontre qui a rassemblé l’écrivain et universitaire béninois Mahougnon Kakpo, la romancière camerounaise Calixthe Beyala, la sociologue sénégalaise Aoua Bocar Ly-Tall, l’éditeur guinéen Sansy Kaba Diakité et l’universitaire algérien Benaouda Lebdai. Le débat a été modéré par l’écrivain camerounais, Jean-Célestin Edjangué.
Que faire ? D’abord des films, des documentaires, ou faire la guerre ou manifester ou encore prier, se mettre en colère ou prendre des cachets. Surtout ne pas regarder la télévision, mais voir des films peut-être.
Le coup d’envoi du 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) a été donné, mercredi soir, au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex), à l’ouest d’Alger. Le SILA durera jusqu’au 4 novembre avec la participation de 61 pays. «L’Afrique écrit son avenir» est le slogan choisi cette année pour le salon.