L’Algérie a appelé, hier, à la mise en place d’une commission d’enquête internationale pour mettre la lumière sur tous les crimes commis par l’entité sioniste dans les territoires palestiniens, précisant que les responsables de ces crimes devraient rendre des comptes.
C’est via un tweet posté sur son compte X officiel que Salah Goudjil, président du Conseil de la nation, a rappelé jeudi, à l’occasion du 65e anniversaire de la catastrophe des explosions nucléaires menées par le colonialisme français dans le désert algérien, que celles-ci constituent l’un des crimes d’extermination les plus atroces, car elles ont non seulement empoisonné la terre, mais aussi coûté des vies.
Présenté devant un public intéressé, le film documentaire Les témoins de la mémoire, produit en 2004, avait réussi à réhabiliter la mémoire des anciens déportés algériens en Nouvelle-Calédonie.
La responsabilité historique, judiciaire et morale des crimes perpétrés par le colonisateur français en Algérie continuera de le poursuivre et ne sera pas prescrite, a affirmé, hier à Oran, le professeur Mohamed Bendjebbour, directeur du laboratoire de recherche historique «Sources et biographies» de l’université d’Oran 1 Ahmed Ben Bella.
En menant une guerre barbare contre Ghaza, Israël donne l’impression de vouloir vider l’enclave de ses habitants, montrant ainsi le visage hideux de l’Etat sioniste.
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a déclaré hier que les crimes contre les journalistes étaient inclus dans son enquête sur des crimes de guerre à Ghaza, où plusieurs dizaines de journalistes sont tombés en martyrs.
Après sept jours de trêve humanitaire, que la communauté internationale voulait voir prolongée, l’armée israélienne a violemment relancé les hostilités sur la population de la Bande de Ghaza, faisant plusieurs dizaines de victimes.