Pendant la visite du président nord-coréen en Russie, aucune signature d'accord n'a eu lieu, a annoncé vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Il a précisé qu'il n'était pas prévu de conclure un accord pendant cette visite.
La semaine dernière, elle a mis en garde Pyongyang contre toute vente d’armes à la Russie, en soutien de sa guerre en Ukraine. Cela n’améliorera pas «l’image» de la Corée du Nord et «ils en paieront le prix au sein de la communauté internationale», a déclaré le conseiller à la Sécurité nationale, Jake Sullivan.
La Maison Blanche a affirmé que Kim Jong Un a l’intention de se rendre en Russie pour discuter de ventes d’armes avec Vladimir Poutine. Elle a également dénoncé la visite, fin juillet, de S. Choïgou, en Corée du Nord pour «tenter de convaincre Pyongyang de vendre à la Russie des munitions d’artillerie».
«La nouvelle simulation d’attaque nucléaire» effectuée par le Nord constitue une réponse aux exercices militaires annuels Ulchi Freedom Shield, menés conjointement pendant onze jours par la Corée du Sud et les Etats-Unis jusqu’au 31 août, qu’il a qualifiés d’«hystérie de la confrontation».
Avant le début des exercices militaires conjoints entre la Corée du Sud et les États-Unis, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a supervisé un test de missiles de croisière stratégiques lors d'une visite à une unité de la marine, ont rapporté les médias d'État aujourd'hui.
Suite à la suspension due à la pandémie de Covid-19, les vols commerciaux entre Pékin et Pyongyang ont obtenu l'autorisation de reprendre.
Des hackeurs nord-coréens présumés ont visé des personnels sud-coréens travaillant sur les manœuvres militaires conjointes entre la Corée du Sud et les États-Unis.
Pyongyang s’en est pris hier à l’ONU, après avoir été accusé devant le Conseil de sécurité de «violations atroces» des droits humains contre sa population, et a qualifié les transfuges nord-coréens de «racailles», selon l’agence officielle KCNA, relayée par l’AFP.
Le jeudi 17 août, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, la Corée du Nord a été accusée de commettre des violations "atroces" et "inimaginables" des droits humains envers sa population dans le but de soutenir le développement de ses programmes d'armements nucléaires et balistiques, malgré les sanctions internationales.
Alors que Séoul et Washington se préparent à des manœuvres militaires conjointes, le dirigeant nord-coréen a effectué une nouvelle démonstration de force en visitant une usine d'armes militaires.
Alors que la tempête tropicale Khanun a touché la Corée du Nord ce vendredi 11 août, le journal officiel du pays, le Rodong Sinmum, a exhorté les Nord-Coréens à accorder une «priorité majeure» à la préservation des effigies de la dynastie Kim, afin de garantir leur sécurité.
La Corée du Nord a effectué deux tirs de missiles balistiques dans la nuit de lundi à mardi. Selon l'armée sud-coréenne, ces missiles ont été détectés après avoir été tirés depuis des zones proches de Pyongyang vers la mer de l'Est (également appelée mer du Japon), avec des distances parcourues d'environ 400 km avant de tomber en mer.
Des «discussions» ont débuté entre l’ONU et Pyongyang concernant le soldat américain Travis King, qui serait détenu en Corée du Nord après y être entré illégalement le 18 juillet, a déclaré hier le chef adjoint du commandement de l’ONU, cité par l’AFP.
Le chef adjoint du commandement de l'ONU, le général Andrew Harrison, a annoncé aujourd'hui lundi 24 juillet que des «discussions» ont été entamées avec la Corée du Nord concernant le soldat américain Travis King, qui aurait été détenu après être entré illégalement dans le pays. L'armée populaire coréenne aurait été contactée via le mécanisme de l'accord d'armistice, qui mettait fin aux hostilités après la guerre de Corée en 1953.
La Corée du Nord a émis une mise en garde envers Washington concernant ses activités d'espionnage, en précisant qu'elles ne resteraient pas sans conséquence.
Le satellite nord-coréen dont le lancement a échoué le 31 mai, s'abîmant en mer, n'avait «aucune utilité militaire», a affirmé ce mercredi 5 juillet la Corée du Sud après en avoir analysé des débris.
La présidente du groupe Hyundai, Hyun Jeong-eun, espérait pouvoir se rendre dans cette région nord-coréenne, lieu où repose son mari décédé il y a près de 20 ans, afin de marquer cet anniversaire avec un service.
Les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud ont annoncé, hier, qu’ils partageraient des informations sur des tirs de missiles nord-coréens d’ici la fin de l’année, à l’issue d’une réunion de leurs ministres de la Défense à Singapour, selon l’AFP citant un communiqué. Cet accord survient au terme d’une année 2022 marquée par un nombre record de tirs de missiles balistiques nord-coréens. Il fait suite, également, au lancement avorté d’un satellite militaire mercredi par Pyongyang, le dernier d’une série d’essais pourtant interdits menés par la Corée du Nord.
La Corée du Nord a fustigé hier l’accord conclu entre la Corée du Sud et les Etats-Unis pour renforcer la dissuasion nucléaire, affirmant qu’il ne peut conduire qu’à «un plus grave danger».
Le président chinois Xi Jinping a fait part au leader nord-coréen Kim Jong Un de son désir de faire passer à «l’étape supérieure» la coopération entre les deux pays, ont affirmé hier les médias d’Etat de Pyongyang.