Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a adressé, hier, un message à la veille de la commémoration du 63e anniversaire des manifestations du 11 Décembre 1960. «Nous commémorons le 63e anniversaire des manifestations du 11 Décembre 1960 dans une phase aux défis multiples, auxquels notre pays fait face avec une volonté sincère et forte, après le parachèvement du système institutionnel.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni n’ont cure du désastre humain à Ghaza où plus de 2 millions d’habitants sont menacés d’extermination, alors que près de 18 000 Palestiniens, majoritairement des femmes et des enfants, ont été tués et autant portés disparus ou blessés.
La situation humanitaire dans la Bande de Ghaza est «apocalyptique», ont encore alerté hier bon nombre d’ONG. En l’espace de 24 heures, 71 morts et 160 blessés sont arrivés à l’hôpital Al Aqsa de la ville de Deir Al Balah, à la suite d’intenses bombardements sur le centre de Ghaza, a indiqué le ministère palestinien de la Santé. Il a publié un dernier bilan global faisant état de 17 700 morts et plus de 48 780 blessés, pour la plupart des femmes et des enfants, depuis le début de l’agression israélienne ciblant les populations civiles de Ghaza.
Pour marquer le 75e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, coïncidant avec le 10 décembre de chaque année, le Front des forces socialistes (FFS) a animé hier une conférence au siège de son parti à Alger, dédiée à la cause palestinienne.
La numérisation et l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans le secteur de la santé deviennent désormais une nécessité, non seulement pour le bien-être du malade, mais surtout pour la rationalisation des dépenses. Cette importance du rôle de l’IA a été abordée, hier, lors d’une rencontre organisée à l’hôtel Marriott de Constantine par l’Association nationale des pharmaciens algériens (Anpha), ayant pour thème «Antidiabétiques : médicaments essentiels et innovation», en présence de nombreux médecins.
Les négociations s’annoncent serrées à quelques jours de la fin de la Cop28 à Dubaï. Les experts, qui se sont penchés sur les aspects techniques, ont rendu leur rapport mercredi dernier. Les discussions entre les délégations de différents pays portent désormais sur les sujets qui «fâchent» et qui sont du ressort des ministres.
Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Brahim Merad, a installé, hier à Tindouf, une cellule technique multipartite chargée du suivi des projets suggérés au titre du programme complémentaire décidé par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, au profit de cette wilaya.
Pour la première fois de son mandat et après avoir alerté sans cesse sur la situation qualifiée de «chaotique» et de «désastreuse» par les représentants des institutions humanitaires onusiennes et les ONG de défense des droits de l’homme, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a activé jeudi dernier, l’article 99 de la Charte de l’ONU.
C’est dans un contexte pour le moins tragique que les Palestiniens commémorent, ce samedi 9 décembre, le 36e anniversaire de la Première Intifadha, baptisée «Intifadhate el hidjara» ou «la révolte des pierres». Celle-ci avait éclaté, en effet, le 9 décembre 1987 et durera près de sept ans, soit jusqu’à la signature des accords d’Oslo le 9 septembre 1993.
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) est profondément préoccupée par l’exode massif de civils à Ghaza, ainsi que par les informations faisant état de nouvelles évacuations vers des zones déjà surpeuplées.
La récente visite de la Rapporteuse spéciale des Nations unies, durant laquelle elle a fait part de ses préoccupations (et recommandations) concernant la situation des droits de l’homme en Algérie, a suscité une réponse favorable de la part du gouvernement.
Tous les regards, en France et en Algérie, étaient braqués, jeudi dernier, sur l’Assemblée française. Un événement important s’y est déroulé. Il s’agit du débat et du vote sur la résolution, la première du genre, visant à dénoncer l’accord conclu entre l’Algérie et la France en 1968 sur l’immigration.
Dans sa dernière livraison du mois de décembre, la revue El Djeich assure que rien n’arrêtera la marche de l’Algérie vers le progrès et la prospérité. Sous le titre «Algérie nouvelle, orientation nationale et positions honorables», l’édito de ce magazine mensuel, édité par l’état-major de l’ANP, souligne les avancées enregistrées sur tous les plans au cours des quatre dernières années, marquées par le règne du président Abdelmadjid Tebboune.
Le dossier de l’Entreprise nationale des tracteurs agricoles de Oued Hamimime (ETRAG) dans la wilaya de Constantine, l’un des fleurons de l’industrie mécanique en Algérie durant les années 1970-1980, a été rouvert, jeudi, par le wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda.
Les travaux du Sommet des ministres africains chargés des Start-up ont pris fin, mercredi dernier à Alger, avec l’adoption de la Déclaration d’Alger pour le développement des start-up, a rapporté l’agence APS.
La visite de Karim Khan, procureur de la Cour pénale internationale (CPI), à Tel-Aviv, à l’invitation des représentants des familles de rescapés de l’attaque du 7 octobre, et sa déclaration à l’issue des rencontres avec ces derniers ont suscité de vives réactions de nombreux militants des droits de l’homme palestiniens. Après l’avoir accusé de «partialité» et d’avoir «trahi son serment professionnel de défense des victimes», ils ont boycotté sa visite en Cisjordanie.
Qui arrêtera la folie meurtrière de l’armée israélienne contre les populations palestiniennes de l’enclave de Ghaza soumises, depuis près de deux mois, à un plan diabolique d’extermination et de terre brûlée élargi aux Territoires palestiniens occupés de la Cisjordanie ?
A travers le cas de deux opérations militaires exécutées par l’armée sioniste, en octobre dernier, à Deir El Balah, qui ont fait 43 morts au total, et que l’ONG a minutieusement documentées, Amnesty International accuse ouvertement Israël de «crimes de guerre» à Ghaza. L’organisation basée à Londres évoque également la complicité des Etats-Unis dans ces crimes.
Où aller ? Quoi manger ? Dans quel abri se protéger ? Ce sont les trois interrogations existentielles qui taraudent quotidiennement les esprits des Palestiniens dans la Bande de Ghaza. Sous le déluge de feu de l’occupant israélien qui intensifie ses attaques destructrices depuis la fin de la trêve humanitaire, des centaines de milliers de civils ghazaouis fuient la mort qui a déjà fauché 16 000 personnes, majoritairement des enfants et des femmes.
L’appui de plusieurs grandes puissances aux bombardements intensifs décidés par Israël, visant ostensiblement des populations civiles, ravivent l’accusation qui leur est adressée depuis longtemps, selon laquelle leurs politiques internationales se caractérisent par «deux poids deux mesures» ou «double standard».