France 5 a récemment déprogrammé le documentaire inédit Algérie, sections armes spéciales, de Claire Billet, initialement prévu pour le 16 mars 2025, invoquant des impératifs liés à l’actualité internationale.
L’installation de la commission ad hoc chargée d’élaborer une proposition de loi criminalisant le colonialisme a suscité la réaction de partis politiques, de parlementaires et de spécialistes en la matière. Tous pensent que le travail de cette commission, installée dimanche dernier, doit prendre son temps pour aboutir à un document «irréprochable».
Les médias français proches de l’extrême droite, notoirement addicts aux papilles mammaires du groupe Bolloré, se sont constitués en véritables bataillons de guerre médiatique à force que s’exacerbaient les tensions entre Alger et Paris.
Quarante-huit heures, montre en main, après la sortie du wali d’Oran où il a accusé la direction d’Oran de l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL) d’être «défaillante», celle-ci, via une vidéo postée sur les réseaux sociaux, n’a pas manqué de réagir. «Après la controverse suscitée par les déclarations du wali d’Oran concernant l’AADL, nous dévoilons à l’opinion publique la vérité complète, appuyée par des documents officiels», dira, dans une note introductive, la vidéo en question, postée hier aux alentours de midi, avant de laisser la parole à Riadh Kadmani, directeur général de l’AADL.
C'est officiel, la commission parlementaire ad hoc chargée d'élaborer une proposition de loi criminalisant le colonialisme français en Algérie a été installée hier par Brahim Boughali, président de la Chambre basse du Parlement.
Le président Tebboune a réaffirmé, samedi, son engagement à ouvrir un dialogue national fin 2025 ou début 2026, souhaitant que ce dialogue profite au pays.
Dans un contexte de crispations entre Paris et Alger, le président Abdelmadjid Tebboune a choisi, samedi 22 mars, de jouer la carte de l’apaisement.
Depuis sa prise de fonction en tant que ministre de l’Intérieur, le 21 septembre 2024, dans le gouvernement de Michel Barnier puis dans le gouvernement de François Bayrou, Bruno Retailleau a suscité de vives réactions au sein de la communauté musulmane en France.
Le président de la République a affirmé, lors de son entrevue avec des médias, que l’Algérie atteindra l’autosuffisance dans plusieurs produits, notamment «l’autosuffisance totale en blé dur en 2025».
Afin de consolider sa politique de sécurité hydrique, le pays ne compte pas se contenter du premier lot des stations de dessalement de l’eau de mer, réalisées dans le cadre d’un plan d’urgence visant à porter la capacité nationale de dessalement à 3,8 millions de mètres cubes/jour en 2025.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, hier, une réunion du Conseil des ministre au cours de laquelle il a approuvé l’importation d'un million de têtes de bétail en prévision de l'Aïd El Adha, ainsi que l'intégration de 82 147 enseignants contractuels dans tous les cycles de l'enseignement, a indiqué un communiqué de la présidence de la République.
Dans le cadre de ses efforts constants pour assurer la sécurité du territoire national et lutter contre le terrorisme, l’Armée nationale populaire (ANP) a mené, jeudi 21 mars courant, une opération de grande envergure à In Guezzam, en 6e Région militaire.
Lors d’une sortie d’inspection et de travail, qui l’a notamment conduit au nouveau pôle urbain Ahmed Zabana de Misserghine, le wali d’Oran, Samir Chibani, a tiré à boulets rouges sur la direction d’Oran de l’entreprise AADL, la qualifiant de «société défaillante», tant sa gestion est «chaotique».
Le ministère de la Justice a annoncé, hier dans un communiqué, le lancement, à l'occasion de l'Aïd El Fitr, d'un nouveau système de visites par vidéoconférence en faveur des détenus.
Feu vert pour l’élaboration du projet de loi criminalisant le colonialisme français. Aujourd’hui à midi sera installée, au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN), la commission chargée de se pencher sur la rédaction de ce texte de loi. Elle sera composée d’un représentant de chaque groupe parlementaire.
L’historien Benjamin Stora met en garde, dans un entretien accordé au journal l’Humanité, contre les instrumentalisations par la droite et l’extrême droite de la crise diplomatique en cours entre Alger et Paris. «(…) La litanie des reproches adressées par Bruno Retailleau (ministre français de l’Intérieur, ndlr) à l’Algérie, entre autres sur le refus des OQTF, signale une instrumentalisation à des fins de politique intérieure qui avait rarement atteint un tel degré», a-t-il dit.
Le wali d’Alger, Mohamed Abdennour Rabhi, et l’ambassadeur de Chine en Algérie, Dong Guangli, ont supervisé hier une campagne de plantation de 500 oliviers au parc Dounia (Alger), à l’occasion de la Journée mondiale de l’arbre.
Après deux auditions dans le fond durant la semaine écoulée, le juge d’instruction près le tribunal de Dar El Beida a clôturé l’affaire de l’écrivain Boualem Sansal, détenu depuis quatre mois, et l’a renvoyée pour examen, après l’avoir expurgée de toutes les charges criminelles, dont celles liées à l’article 87 bis et ses alinéas.
L’Algérie n'a pas tardé à réagir à la décision de la justice française d'opposer un avis défavorable aux demandes d'extradition de l’ancien ministre de l'Industrie et des Mines Abdessalem Bouchouareb.
Le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, appartient à une partie de la droite française qui n'a jamais accepté que l'Algérie ait arraché son indépendance et que cette dernière ne lui a pas été octroyée par la France, a soutenu l'éditorialiste et spécialiste français des questions internationales, Anthony Bellanger. «Bruno Retailleau appartient à une tradition de la droite française qui n'a jamais pu admettre que l'Algérie (ait arraché) son indépendance et qu'on ne la lui a pas donnée.