Le Conseil exécutif de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) a adopté, vendredi lors de sa 219e session tenue à Paris, une troisième résolution intitulée: «Impact et conséquences de la situation actuelle dans la bande de Ghaza dans les différents volets du mandat de l’UNESCO», après adoption à l’unanimité de deux résolutions relatives à l’Etat de Palestine, a rapporté l’agence de presse Wafa.
L’étude nationale sur l’enseignement des mathématiques relève l’urgence de la formation continue pour permettre aux enseignants de bien assimiler le concept de «l’approche par compétence».
Si Télé-Liban a été lancée en 1959, elle dispose de «bandes-vidéo datant de la Seconde Guerre mondiale et des années 1940».
Les techniques traditionnelles de gravure sur métaux, telles que le tracé-matis, l'ajourage et le sertissage, récemment inscrites au patrimoine immatériel de l'UNESCO, peinent à être pleinement valorisées au Maghreb.
La gravure manuelle - sur cuivre, argent ou or - de motifs géométriques, végétaux, astrologiques… a obtenu le prestigieux label onusien début décembre. La candidature de cet artisanat ornant bijoux, ustensiles de cuisine ou objets décoratifs, était portée par dix pays arabes dont Tunisie, Algérie et Maroc. «Cette inscription nous engage à préserver ce savoir-faire exceptionnel», se félicite auprès de l’AFP le Tunisien Imed Soula, l’un des trois experts ayant présenté le dossier.
Lundi, une délégation israélienne a participé à une réunion de l'UNESCO à Ryad, marquant ainsi la première visite publique israélienne annoncée en Arabie saoudite, un pays qui n'a pas de relations officielles avec Israël.
Il y a six ans, il a émigré aux Etats-Unis pour de hautes études, notamment pour un doctorat en anglais, Wassini Souarit, enfant de Maghnia, grâce à ses compétences et sa persévérance, a pu s’attirer les mérites dans le monde de l’éducation et le système éducatif américain.
Menacée de disparition par la montée des eaux, l’île de Tuvalu, dans le Pacifique, a lancé jeudi un appel à l’aide à l’Unesco pour sauver, avant qu’il ne soit trop tard, son patrimoine culturel et naturel. Le dérèglement climatique est une des plus grandes menaces auxquelles sont confrontés les sites du patrimoine culturel et naturel dans le monde.
C’est sous le thème de «Musées, durabilité et bien-être» que le monde a célébré, cette année (18 mai), la Journée internationale des musées (JIM). Qu’il s’agisse de soutenir l’action en faveur du climat, de favoriser l’inclusivité, de lutter contre l’isolement social ou d’améliorer la santé mentale, les musées ont un rôle crucial à jouer dans la réalisation des 17 objectifs de développement durable de l’agenda 2030, insiste le Conseil international des musées (ICOM).
C’est un travail de recherche minutieux et de longue haleine qui a pris une année et qui vient d’aboutir au niveau du ministère de la Culture qui active depuis des années dans le but de préserver et revaloriser le patrimoine matériel et immatériel algérien.
En ce mois allant du 18 avril au 18 mai, consacré à la célébration du Mois du patrimoine, nous avons saisi l’opportunité d’une escale de notre compatriote, le Pr Bouchenaki Mounir, haut cadre au sein de l’Unesco, afin de nous informer sur ce qui se prépare et les actions menées par l’Unesco, pour mieux protéger les sites et monuments culturels à travers le monde, sans pour autant éviter de lui poser la question relative à la situation du patrimoine culturel dans notre pays. Des informations enrichissantes. Pr Mounir Bouchenaki : «2022, nous célébrons le cinquantenaire de la convention de 1972».
L’Algérie a déposé officiellement le dossier de candidature «Gravure sur métaux : arts, savoir-faire et pratiques» pour inscription sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité auprès de l’Unesco, conjointement avec neuf pays arabes, a-t-on appris auprès du Centre national de recherche préhistorique, anthropologique et historique (Cnrpah).
Des experts de l’Unesco, réunis en 2018 lors d’une rencontre internationale sur la conservation et la revitalisation de La Casbah d’Alger, ont préconisé la création d’une agence unique chargée de la gestion du dossier de La Casbah d’Alger en vue d’améliorer ses performances à travers une vision basée sur le développement durable.
Au paradis des ambianceurs des deux rives du fleuve Congo, les Papa Wemba, Grand Kallé, Wendo, Tabu Ley Rochereau, Franklin Boukaka et autres Pamelo Mounka sont heureux : la rumba congolaise fait officiellement partie du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
Récemment, une polémique avait enflé dans les réseaux sociaux à propos d’une «paternité» ou encore une certaine «exclusivité» de la fantasia, cette pratique traditionnelle et ancestrale équestre. Une manipulation malsaine et malveillante, et ce, pour créer une bipolarisation gratuite entre l’Algérie et le Maroc portant sur l’inscription de la «fantasia» comme patrimoine mondial à l’Unesco