La direction de la Protection civile est déjà prête pour faire face aux exigences de la saison estivale le long du littoral de la wilaya de Tipasa, allant de Douaouda jusqu’à Damous. L’année écoulée, le bilan faisait état de 21 morts dans les différentes plages, qu’elles soient surveillées ou non surveillées.
Une semaine après les inondations qui ont affecté la commune de Khemisti (Tipasa), les familles, dont les habitations se sont totalement effondrées, ont été toutes relogées, ont annoncé, avant-hier, les services de la wilaya de Tipasa dans un communiqué.
Ces familles relèvent de cinq communes touchées par les inondations, à savoir Fouka (56 familles), Khemisti (37 familles), Bou Ismail (24 familles), Koléa (4 familles) et Bouharoun (une famille).
Les pouvoirs publics ont engagé la course contre la montre pour reloger les sinistrés des dernières intempéries. Le relogement de 122 familles, dont les habitations se sont totalement effondrées à la suite des inondations ayant affecté les communes de la partie est de la wilaya de Tipasa, a été lancé mardi par les autorités locales, tandis que l’indemnisation des propriétaires des habitations partiellement endommagées se poursuivra durant la semaine en cours, selon le wali, Aboubakr Seddik Boucetta.
Le chef de l’Etat a ordonné, dimanche, l’affectation de 10 milliards de dinars du Fonds des catastrophes naturelles pour indemniser les sinistrés des récentes intempéries et reloger, dans un délai de 48 heures, toutes les personnes ayant perdu intégralement leurs logements.
Brahim Merad, et Krikou Kaoutar, respectivement ministre de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’Aménagement du territoire et ministre de la Solidarité nationale, de la famille et de la Condition de la femme se sont rendus hier dans la wilaya de Tipasa pour rencontrer les parents du jeune garçon Mohamed Abderraouf Bouaza décédé à la suite des dernières intempéries à Khemisti afin de leur transmettre les condoléances du président de la République.
A l’instar de l’année écoulée, l’Enscrbc (école nationale supérieure de conservation et restauration des biens culturels) de Tipasa s’est illustrée par une intense activité, en dépit des moyens dérisoires mis à sa disposition, contrairement au CNRA (centre national de recherches archéologiques) qui se caractérise par un incroyable immobilisme, malgré les moyens financiers et matériels que l’Etat avait mis à sa disposition
A l’issue de l’annonce du communiqué du Conseil des ministres de dimanche dernier, le directeur des travaux publics a déclaré, que «nous avons engagé des travaux immédiatement pour libérer les axes routiers, nous allons procéder au nettoyage du port de Khemisti et naturellement le dragage du port pour remettre en activité l’infrastructure portuaire dans les plus brefs délais.
Les habitations endommagées par la furie des eaux et les véhicules charriés par les «oueds» au niveau des quartiers, illustrent la violence des pluies diluviennes qui se sont abattues mercredi en fin d'après-midi et jeudi en début de matinée.
Les communes les plus gravement touchées par la furie des eaux de pluie sont Bou Ismail, Koléa, Fouka et Khemisti. Il n’en demeure pas moins que les autres localités, telles que Douaouda, Aïn Tagouraït, Bouharoun, Chaiba et le chef-lieu de Tipasa n’ont pas échappé à la colère de la nature.
Les différents services, poursuivaient, vendredi, pour la deuxième journée consécutive, leurs efforts face aux dégâts occasionnés par les intempéries qui ont touché, jeudi, plusieurs communes de l’est de la wilaya de Tipasa, et permettre ainsi un retour progressif à la vie normale, a-t-on appris des services de la wilaya.
En 2024, le secteur de la pêche devrait enregistrer une production nationale de 1300 tonnes, soit une progression de 13% par rapport à 2023.
Cet ouvrage hydraulique dispose d’une capacité théorique estimée à 125 millions de mètres cubes d’eau.
L’annexe de l’ONCIC (Office national pour le commerce et l’industrie cinématographique) de Chenoua (Tipasa) est sur tous les fronts du secteur de la culture, afin de susciter l’intérêt des jeunes écoliers pour la connaissance du secteur de la culture algérienne au pluriel.
La problématique du traitement des eaux usées a été au centre des débats lors d’une journée d’étude organisée, cette semaine, à l’Unité de développement des équipements solaires (UDES) de Bousmail, wilaya de Tipasa.
La mobilisation des ressources en eau en cette période de stress hydrique est au centre des préoccupations des citoyens, agriculteurs et opérateurs économiques de la wilaya de Tipasa. La faible pluviométrie enregistrée ces derniers mois inquiète, d’autant plus que le niveau du barrage de Boukourdane a considérablement chuté.
L’édition 2023 du Tour cycliste de la ville de Tipasa se déroulera en trois étapes, du 18 au 20 mai, a-t-on appris des organisateurs. Une compétition sur route, ouverte uniquement aux messieurs (juniors et seniors), et dont la première étape est programmée le 18 mai, sur une distance de 120 kilomètres, entre Ahmer El Aïn et Aghbal.
Le Sahara, à travers les civilisations et les cultures préhistoriques, du plus ancien outil à la période antique», tel est le thème de l’intervention de l’universitaire Farid Ighilahriz. Nombreux étudiants avaient assisté à la conférence riche et instructive.
Les quatre complexes touristiques de l’EGTT (Entreprise de gestion touristique de Tipasa) sont déjà à pied d’œuvre pour accueillir déjà les estivants. Le mois de ramadan avait été mouvementé pour cette station balnéaire qui avait crée des conditions pour permettre aux nombreuses familles en compagnie de leur progéniture d’effectuer des visites, notamment au complexe Tipasa-Village (ex-CET), pour y rompre le jeûne au bord de la mer, profiter des espaces verts et assister à des soirées musicales.
Directrice de recherche émérite, la notoriété de l’archéologue Ferdi Sabah a dépassé les frontières algériennes. Elle a écrit des ouvrages inhérents au patrimoine archéologique national. Son intérêt s’est accentué sur l’importance des parcs culturels en Algérie, depuis qu’elle avait travaillé avec le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), à la suite d’une mission de recherches consacrée depuis des années aux parcs culturels algériens.