l Une année après la sortie du premier tome (I-Les chemins de traverse) de son roman Le passé ressuscité relatant les pérégrinations d'un jeune cadre algérien (Ferhat) face aux pesanteurs administratives et socio-culturelles qui minent la société ultra conservatrice dans laquelle il évolue avec son épouse (Hassina), l'essayiste Abdelkader Hammouche vient tout récemment de livrer, comme promis, son second opus qui s'inscrit dans la même lignée chronologique aussi bien littéraire que romanesque.
Nulle Terre Ailleurs » ou « Al ardh fi maken akhar », c’est le titre du dernier roman de la journaliste écrivaine Nadia Agsous et auquel la librairie « Gouraya » a organisé sa vente dédicace à Béjaïa.
L’auteur Hamza Kouidri a présenté et dédicacé, samedi après-midi, son premier roman en langue anglaise «Sand Roses», au niveau e la librairie l’Arbre à dires de Sidi Yahia à Alger.
La maison d'édition Robert Laffont, à l'initiative d'un concours littéraire sur la plateforme TikTok, a sélectionné le roman fantastique "Supernova: L'Académie des constellationnistes" d'Axelle Ménéglier, une auteure française de 27 ans.
Native de Meskiana, dans le nord du vaste pays chaoui, Yamina Mechakra est l’auteure de deux romans, le premier préfacé par Kateb Yacine, reste le plus connu. Le second, qui présente formidablement son expérience de psychiatre, l’est malheureusement moins.
l Les éléments de ce récit, réels ou possiblement existants, comportent des personnages marquants, qui tiennent tous à la probité et aux vertus de la vie.
Pour la relater, elle s’offre les services d’une aventurière qui s’y rend afin d’entamer une nouvelle vie en cet alléchant Eldorado que décrivaient les marins faisant escale en sa déshéritée Sicile. Plébéienne réduite contre son gré à l’état d’esclave sexuelle, elle vient de s’en extraire par une manigance vengeresse, gagnant une fortune et s’adjugeant, grâce à de vrais-faux papiers, un titre de noblesse et un nom kilométrique afin de mieux mystifier ses protagonistes à venir.
Dans l’entretien à El Watan, Mustapha Hadj Ali parle de son roman L’Evadé de Cayenne consacré à un bagnard algérien installé au Venezuela. «L’histoire fabuleuse de Salhi Amar m’avait tellement subjugué, que l’occasion qui m’était offerte de l’écrire était un privilège. Je l’ai fait donc avec un grand plaisir, d’autant que l’histoire des Algériens au bagne de Guyane ne m’est pas étrangère», affirme l’auteur. Le roman paru aux éditions El Amel est retenu pour le concours du meilleur roman par l’instance organisatrice de la Journée du manuscrit francophones (JDMF), édition 2023.
Le titre annonce déjà un texte, avec pour ainsi dire, quelques particularités. Du moins cet «esprit insulaire», c’est-à-dire de la solitude et des personnages au caractère bien trempé ; un caractère forgé par une existence recluse à l’instar de tous les habitants des îles. L’auteur, architecte de formation, ne nous offre pourtant pas à lire un roman avec une ossature classique.
En dépit de la grisaille ambiante en matière de production littéraire et le manque d’engouement pour la lecture qui expliquerait en grande partie cette infécondité littéraire des auteurs de la région qui se prolonge, l’écrivain Abdelkader Tiouti, natif de la région de la Saoura, récidive en publiant son deuxième ouvrage intitulé Abus de patience, après celui qu’il avait publié dernièrement répondant au titre El Maktoub à la destinée.
Dans son dernier roman, intitulé Les gens du peuplier, l’écrivain, cinéaste et journaliste Arezki Metref continue de triturer la chronologie des souvenirs et de livrer, avec un regard d’enfant, des lieux communs d’une mémoire collective algérienne très contemporaine, prolongés par une success-story improbable, sortie de l’imaginaire d’un cinéphile assidu.
Connu dans le milieu médical et littéraire, Mahmoud Aroua a toujours partagé son temps entre l’écriture et son métier de docteur. Constitué de 285 pages, «Staten Island» est un texte de fiction profond et magnifique à la fois, édité par la maison d’édition privée El Fairouz culturelle et production.
Tezgertirga ou Au-delà des rêves est le titre du premier roman en tamazight de la jeune romancière Tilelli Bellal, paru il y a quelques jours, aux éditions Imtidad.
Auteur de plus de 80 romans, essais et monographies, directeur de revues, Philippe Sollers, décédé à l’âge de 86 ans, était une figure de la scène littéraire française et du Tout-Paris depuis plus d’un demi-siècle.
Une belle pierre qui amasse mousse. Un talent avéré qui fait boule de neige. C’est bien la posture et l’allure d’un souffle palpitant de grande littérature.
Ce sera la dernière apparition de Benaïssa dans ce qui constituera le premier film de fiction de Malek Bensmaïl. Cela ne nous changera pas de sa thématique habituelle, à savoir l’actualité et le passé, toujours présent, de son pays, l’Algérie.
Invité aujourd’hui à un séminaire sur le lien entre littérature et journalisme dans des ateliers de recherche organisés par le master-doctorat Littératures francophones de Cergy Paris Université, notre ami et confrère d’El Watan Mustapha Benfodil explique son parcours dans une interview publiée par l’université qui l’accueille : «Je peux l’affirmer d’emblée : le journalisme traverse mon écriture littéraire de part en part.
L e jury du Grand Prix Assia Djebar du roman, dans sa sixième édition, a distingué, jeudi à Alger, les romanciers Abdallah Kerroum, Muhend Akli Salhi et Mohamed Abdallah pour leurs œuvres littéraires, respectivement en arabe, en tamazight et en français.
Le nouveau roman de Yasmina Khadra, intitulé Les Vertueux, paraîtra chez les éditions Mialet-Barrault ayant déjà édité son dernier livre Pour L’Amour d’Elena, en France et bien sûr, paraîtra chez Casbah Editions, en Algérie. D’après la couverture du roman Les Vertueux et la légende de l’auteur, Yasmina Khadra, c’est un roman se déroulant à Oran durant la colonisation française. Yasmina Khadra, de son vrai nom, Mohammed Moulessehoul, est consacré à deux reprises par l’Académie française, salué par des prix Nobel (Gabriel Garcia Marquez, J. M. Coetze, Orhan Pamuk).
Le «Grand Prix Assia Djebar du Roman» est créé pour promouvoir la littérature algérienne, il vise à donner à celle-ci une audience internationale. Il récompense une œuvre de fiction en prose, qui se distingue par son originalité ou par son style.