Les États-Unis demeurent les plus proches alliés d’Israël, engagé dans une lutte sans merci contre le mouvement terroriste du Hamas. Dans la nuit, le secrétaire général de l’ONU a dénoncé une «punition collective» infligée aux Palestiniens par Tsahal, et demandé un «cessez-le-feu humanitaire immédiat». Washington y a apposé son veto.
Rencontré à la 28e Conférence des parties sur les changements climatiques (COP-28), qui a bouclé hier sa cinquième journée, Jean-Paul Adam, directeur de la politique du plaidoyer au conseiller spécial de l’Afrique à l’ONU, reconnaît, dans cet entretien, les particularités de la situation dans la région du Maghreb qui subit durement les conséquences du réchauffement climatique mais regrette de ne pouvoir mettre en place un mécanisme d’aide spécifique. Il souhaite que ces pays puissent bénéficier du fonds des «pertes et dommages», mis en œuvre lors de cette conférence.
«Ces bombardements et les pertes insensées de vies humaines doivent cesser maintenant (…)», insiste le responsable de l’OMS dans les Territoires palestiniens occupés, le Dr Richard Peeperkorn.
La rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, Mary Lawlor, a pu rencontrer des détenus d’opinion dans les prisons, assister à un procès de défenseurs des droits de l’homme et rencontrer différents acteurs.
l Les belligérants libyens sont d’accord sur la nécessité de tenir des élections ; ils sont divisés sur les moyens de les réaliser l Fait nouveau, 76 municipalités sur les 120 existantes, de l’Ouest, de l’Est et du Sud, ont également crié leur rejet à l’approche de l’envoyé de l’ONU, Abdoulaye Bathily, ajoutant une couche de plus au magma libyen.
Les pays africains subissent le désastre du changement climatique et la pollution mondiale sans qu’ils soient en contrepartie accompagnés pour développer leurs mesures d’adaptation et assurer un avenir stable. L’avenir risque d’être compromis.
Les habitants de Ghaza vivent une «catastrophe humanitaire monumentale», a dénoncé, hier, Antònio Guterres, secrétaire général de l’ONU.
La rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, Mary Lowlor, entame sa mission en Algérie. Devant préparer son rapport sur la situation dans le pays, l’experte onusienne commence sa visite par des rencontres avec des représentants des organisations officielles.
Alors que des dizaines de malades intransportables étaient toujours à l’hôpital Al Shifa à Ghaza, après l’expulsion de milliers centaines de patients, du personnel médical et des déplacés, samedi dernier, le Croissant- Rouge palestinien (CRP) a annoncé, hier après-midi, l'évacuation de 31 bébés prématurés en situation de souffrance respiratoire.
Ramtane Lamamra fait son come-back. Ce diplomate aux compétences connues et reconnues reprend du service, au sein de l’Organisation des Nations unies (ONU), et ce, huit mois après avoir quitté ses fonctions en tant que chef de la diplomatie algérienne à la faveur d’un remaniement ministériel.
Avec ses comparses d’Abba, ils ont vendu des centaines de millions de disques dans le monde. Aujourd’hui, Björn Ulvaeus s’est associé à l’ONU pour sensibiliser les créateurs au droit d’auteur à l’ère du numérique et de l’intelligence artificielle.
Abdoulaye Bathily, l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU en Libye, s’apprête à lancer une nouvelle initiative pour préparer les élections en Libye, un vœu pieux qui ne parvient pas à se réaliser depuis les accords de Sekhirat, en décembre 2015.
L’Organisation des Nations unies (ONU) est en deuil. L’organisation mondiale a observé hier un hommage en mémoire de plus de 100 de ses collaborateurs tués dans la guerre à Ghaza.
Une première. L’ONU a rendu, hier, un hommage mondial à ses nombreux collaborateurs tués depuis le début de l’expédition meurtrière de l’armée israélienne à Ghaza. Sobre et discrète, l’initiative a consisté en l’observation d’une minute de silence «en privé», hier matin, à l’appel d’Antonio Guterres, dans tous les pays où l’Organisation dispose de représentations.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a réaffirmé lundi, dans une résolution adoptée à une large majorité, le droit du peuple sahraoui à l’auto-détermination.
Le secrétaire général de l’ONU a mis en place un comité d’experts chargé de faire, d’ici la fin de l’année, des recommandations dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), technologie aux «possibilités incroyables» accompagnées de «risques» pour la démocratie et les droits humains.
Les membres de l’Assemblée générale de l’ONU, réunis en session spéciale d’urgence consacrée à la situation en Palestine, ont pu enfin accoucher, avant-hier, d’une résolution demandant «une trêve humanitaire immédiate, durable et soutenue, menant à la cessation des hostilités».
La guerre menée par l'entité sioniste contre la population de Ghaza depuis voilà trois semaines, les moyens disproportionnés mobilisés par l'armée d'occupation israélienne pour se venger de l’humiliation subie sur le terrain, le 7 octobre, suite à l'attaque des combattants du mouvement Hamas, cachent mal les véritables desseins poursuivis par cette énième agression sauvage perpétrée par l'armée de Tsahal contre les populations civiles palestiniennes de Ghaza et de Cisjordanie occupée.
«Le peuple palestinien a vu ses terres régulièrement dévorées par les colonies et en proie à la violence, son économie étouffée, ses habitants déplacés et leurs maisons démolies. Leurs espoirs d’une solution politique à leur situation se sont évanouis», a rappelé le secrétaire général de l’ONU.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a dénoncé hier devant le Conseil de sécurité de l’ONU l’enfermement de la cause palestinienne dans «une illusion extrêmement dangereuse, celle de la quête d’une paix, d’une sécurité et d’une stabilité au Proche-Orient au détriment des droits légitimes du peuple palestinien et sur les décombres de son Etat».