Le Conseil de sécurité de l’ONU a ouvert, hier, à la demande de l’Algérie, du Guyana, de la Slovénie et de la Suisse, un débat sur la famine au nord de Ghaza. La réunion se tient alors que le délai d’un mois imposé par les Etats-Unis à Israël, pour autoriser l’accès de l’aide humanitaire à l’enclave sous peine de blocus sur les armes, tire à sa fin sans que l’Etat hébreu n’apporte les réponses exigées.
Le risque de liquidation de la cause palestinienne plane encore, et ce, «en vidant méthodiquement et systématiquement le projet national palestinien de sa substance», a prévenu le président Tebboune dans un message lu en son nom par le ministre des Affaires étrangères
Le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies à New York, l’ambassadeur Amar Bendjama, a présidé, lundi, les travaux d’une réunion de l’Assemblée générale (AG) des Nations unies, pour débattre de la représentation équitable au Conseil de sécurité et d’autres questions liées au Conseil.
Le changement climatique exacerbe les conditions déjà «infernales» des réfugiés et des déplacés, a averti l'ONU lors de la COP29 à Bakou.
Le président-élu a annoncé avoir proposé à la représentante républicaine Elise Stefanik de devenir ambassadrice des États-Unis auprès de l’ONU. Tandis que l’ancien directeur de l’agence de contrôle des frontières retrouve son poste.
L'Iran a récemment demandé l'instauration d'un embargo sur les armes à destination d'Israël et a exigé son exclusion des Nations Unies, en réaction à une frappe israélienne survenue près de Damas, en Syrie.
La plus jeune victime recensée est un nourrisson âgé d’à peine un jour, et la plus âgée, une femme de 97 ans.
Le rapporteur spécial des Nations unies (ONU) sur le droit au logement, Balakrishnan Rajagopal, a affirmé n'avoir jamais vu une brutalité «aussi choquante» concernant les récents déplacements forcés ordonnés par l'entité sioniste dans la ville de Rafah, au sud de la bande de Ghaza.
Au nord-ouest de Rafah, ville assiégée depuis plusieurs jours, au moins neuf Palestiniens, en majorité des enfants, sont tombés en martyrs, à la suite d’une attaque aérienne israélienne contre une maison.
Les membres du Conseil de sécurité ont adopté vendredi, à l’unanimité, un communiqué proposé par l’Algérie, appelant à des enquêtes pour déterminer les circonstances derrière les charniers découverts à Ghaza.
L’économie est en ruine dans la bande de Ghaza, souligne un nouveau rapport de l’organisation onusienne. Une étude conjointe effectuée par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et de la Commission économique et sociale pour l’Asie occidentale (Cesao), fait état de la hausse du niveau de pauvreté dans cette zone qui a atteint 58,4% depuis le 7 octobre dernier.
Le secrétaire général de l’ONU a souligné l’impact paralysant de la dette sur les économies en développement. Et d’ajouter qu’«au lieu d’un filet de sécurité, les pays en développement sont confrontés à un système obsolète, dysfonctionnel et injuste qui ne répond pas à leurs besoins».
Les réunions du Conseil de sécurité de l’ONU se suivent et se ressemblent, coincées structurellement dans un paramétrage inégalitaire des pouvoirs d’arbitrage et de décision. L’entrain de certains de ses membres non permanents arrive cependant à faire bouger les lignes.
L’agression militaire israélienne contre la bande de Ghaza a transformé l’enclave palestinienne en «enfer humanitaire», a dénoncé jeudi le secrétaire générale de l’ONU, Antonio Guterres, devant le Conseil de sécurité des Nations unies. M. Guterres a prévenu que «le Moyen-Orient est au bord du précipice», selon des propos rapportés par l’APS.
Même si la majorité des membres du Conseil de sécurité de l’Onu savait que Washington, fervent défenseur d’Israël, allait s’opposer à la pleine adhésion de la Palestine à l’Onu, il restait une toute petite lueur d’espoir chez quelques-uns, qui ont tenté, vainement, durant les débats, de convaincre de la justesse de cette demande émanant de la Palestine et présentée par l’Algérie au Conseil de sécurité.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a mis en garde, jeudi dernier à New York, contre le danger menaçant la paix au Moyen-Orient et la solution à deux Etats. Dans son allocution prononcée à l’occasion de la réunion du Conseil de sécurité sur la situation au Moyen-Orient, le chef de la diplomatie algérienne défend, en usant un argumentaire fort, la nécessité d’accepter l’adhésion à part entière de la Palestine à l’ONU.
Abdoulaye Bathily a jeté l’éponge mardi 16 avril, lors de la réunion du Conseil de sécurité sur la Libye. Il n’est pas parvenu à créer les mécanismes pouvant pallier les déformations de comportement des belligérants libyens afin d’aboutir à une solution satisfaisante pour tous. L’envoyé sénégalais accuse les dirigeants libyens de «placer leurs intérêts personnels au-dessus des besoins du pays». Il trouve que «les Nations unies ne pouvaient assurer pareil processus politique».
Aune heure avancée de la nuit de mardi à mercredi derniers, l’Algérie a introduit et mis en bleu son projet de résolution auprès du Conseil de sécurité de l’Onu, dans lequel elle réclame l’admission de la Palestine, en tant qu’Etat membre des Nations unies à part entière.Aune heure avancée de la nuit de mardi à mercredi derniers, l’Algérie a introduit et mis en bleu son projet de résolution auprès du Conseil de sécurité de l’Onu, dans lequel elle réclame l’admission de la Palestine, en tant qu’Etat membre des Nations unies à part entière.
Les attaques meurtrières se poursuivent dans la bande de Ghaza, avec de nouvelles victimes palestiniennes et des blessés signalés hier, dans des bombardements perpétrés par l’armée d’occupation sioniste.
L’Algérie connaît un rebond diplomatique au cours de ces dernières années qui s’est davantage consolidé depuis qu’elle siège en tant que membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Entamant en janvier son mandat de deux ans au sein de cette haute instance décisionnelle, l’Algérie a réussi en peu de temps à faire bouger les lignes, à remettre sur la table des dossiers longtemps délaissés et à mettre tout le monde devant ses responsabilités face à des situations de conflits d’une extrême gravité et injustice.