Le secrétaire général de l’UGTA, Amar Takjout, qui a été l’invité, jeudi, de la Chaîne 3 de la Radio nationale, affirme que pour son organisation, «le dialogue social reste une valeur sûre». Il a souligné l’importance de mettre sur la table toutes les questions en lien avec la vie des entreprises et la situation des travailleurs.
Pas moins de 260 journalistes de médias publics et privés suivent depuis hier une formation de trois jours dans le domaine des hydrocarbures.
Les recettes des hydrocarbures s’établissent à 4 365,29 milliards de dinars contre 3 797,37 milliards de dinars à fin septembre 2022, et représentent une part de 55,8% des recettes budgétaires totales de l’ordre durant les neufs premiers mois de l’année 2023 contre 54,50 % pour la même période de l’année 2022.
Les attaques des voies navigables en mer Rouge par les Houthis entraînent des changements majeurs dans les flux d’énergie, les acheteurs mondiaux de pétrole se tournant de plus en plus vers «un négoce local» et des cargaisons moins risquées et plus faciles sur le plan logistique.
Les prix du pétrole ont entamé la semaine de cotation en nette hausse, le Brent dépassant largement les 83 dollars le baril, dans le sillage des tensions géopolitiques au Moyen-Orient.
La production primaire des hydrocarbures «connaîtra une hausse moyenne de 1,3% pour s’établir à 207 Mtep en 2028». Un nouveau PDG a été installé à la tête de Sonatrach en octobre dernier, en la personne de Rachid Hachichi, avec pour mission directive «l’augmentation de la production nationale».
Moscou a répondu aux sanctions économiques occidentales en détournant, cette année, tous ses approvisionnements hors d’Europe, dont la quasi-totalité vers la Chine et l’Inde, selon les déclarations faites hier par le vice-Premier ministre, Alexander Novak.
Les prix du pétrole restaient stables, hier, en cours de cotation, dans un marché marqué par un faible volume des échanges, en raison de la fermeture de certains marchés et des vacances de fin d’année.
La Russie a annoncé qu’elle accentuerait la réduction de ses exportations de pétrole en décembre, potentiellement de 50 000 barils par jour ou plus, dans le sillage de la stratégie de l’Opep+ de soutenir les prix de l’or noir et de stabiliser le marché.
Les prix du pétrole ont nettement augmenté hier, bénéficiant des prévisions haussières de l’OPEP et de l’AIE, ainsi que de la montée du risque géopolitique.
Les cours du pétrole ont entamé la semaine de cotation en forte instabilité. Après avoir augmenté à l’ouverture de la première séance de la semaine, les prix ont nettement chuté hier, en dépit des réductions volontaires équivalentes à plus de 2 millions de barils jour, annoncées par plusieurs pays membres de l’alliance Opep+, dans le sillage de la réunion tenue en mode virtuel jeudi.
Les marchés mondiaux du gaz et du GNL demeurent vulnérables face aux facteurs géopolitiques, notamment après la saisie d’un cargo israélien, et ce, en dépit d’une offre actuellement suffisante et de niveaux de stockages jusqu’à présent préservés par un climat plutôt clément pour la saison, notamment en Europe.
Après une forte volatilité observée depuis un mois environ, les prix du pétrole se sont stabilisés en ce début de semaine dans le sillage d’informations faisant état de probables nouvelles réductions de la production de l’OPEP et ses alliés, lors de leur réunion prévue dimanche prochain.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a relevé ses prévisions de croissance de la demande de pétrole pour cette année et l’année prochaine, dans son rapport mensuel consacré à l’évolution du marché de l’or noir. L’AIE rejoint ainsi le point de vue de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui a, dans son rapport mensuel, publié lundi ses prévisions de croissance de la demande de pétrole pour l’année en cours.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a encore une fois fait fi du pessimisme exprimé notamment par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) – qui défend les intérêts des pays de l’OCDE –, en tablant sur une demande robuste en 2023- 2024 et un marché pétrolier solide, tout en imputant la baisse actuelle des prix du brut à la spéculation.
L'OPEP est prête à accueillir le Brésil, devenu un exportateur important de pétrole, s’il souhaite rejoindre l’Organisation, selon les déclarations du secrétaire général de l'Opep. «Aujourd'hui, le Brésil est devenu l'un des plus grands exportateurs. Le pays a arrêté d'acheter du brut sur le marché international.
Le Comité ministériel conjoint de suivi (JMMC) de l’OPEP+, qui s’est réuni hier, par visioconférence, pour examiner l’évolution du marché pétrolier, a opté pour le statu quo. Les membres du comité, dont l’Algérie, n’ont ainsi recommandé aucun changement à la politique actuelle de production pétrolière de l’Alliance.
Le Comité ministériel de suivi OPEP et non OPEP (JMMC), dont l’Algérie est membre, se réunira le 4 octobre, par visioconférence, pour examiner le respect des engagements de réduction de la production des pays OPEP+ et évaluer la situation du marché pétrolier mondial.
Le vend chaud qui a soufflé sur les cours du pétrole n’a pas manqué de toucher les prix du gaz naturel. Hier, sur le marché européen, les prix du gaz grimpaient en réagissant à un mouvement de grève déclenché sur des installations gazières en Australie. Haithem Al Ghais, le secrétaire général de l’OPEP, a assuré cette semaine, dans un article d’opinion, que la demande de pétrole continuerait d’augmenter même dans un contexte de transitions énergétiques mondiales. «Aucune forme d’énergie ne peut actuellement répondre à la demande énergétique future prévue», notant que si le pétrole disparaissait, «de nombreux produits et services vitaux utilisant le pétrole ou ses services disparaîtraient également».
La demande sur les hydrocarbures demeure en constante hausse en raison de la reprise des activités économiques post-pandémie ainsi que des bouleversements géopolitiques.