Au moins 55 personnes ont péri au Bangladesh depuis le début du mois d’août, à la suite d’inondations et glissements de terrain causés par des pluies torrentielles qui ont fait d’un million de sinistrés, ont annoncé dimanche les autorités.
Suite aux feux de forêt qui ont touché la région de Béjaïa, de nombreuses opérations de dépollution de l’environnement ont été engagées par les collectivités locales, avons-nous constaté.
Dénoncée par les citoyens, la dégradation générale de l’environnement de la ville de Annaba a poussé, enfin, le wali à décider de sanctionner les responsables à l’origine de cette situation, au lendemain de sa récente sortie en ville. Bilan : quatre élus communaux ont été demis de leurs fonctions dont trois chefs de secteurs urbains et l’adjoint maire, chargé de l’environnement. Les secteurs urbains concernés sont Seybouse, Bouhdid et Ben Badis.
Une décharge sauvage sise à Ighil Gouwri, relevant de la commune d’Aghbalou, au nord-est de la wilaya de Bouira, en pleine région boisée, suscite l’inquiétude des citoyens et des défenseurs de l’environnement.
Selon les experts des questions météo-océaniques, l’oscillation australe El Niño (ENSO) est le principal moteur de la variabilité climatique interannuelle à l’échelle mondiale.
La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Madame Fazia Dahleb, a déclaré, hier samedi, à partir de Guelma, que «les centre d’enfouissement technique (CET) sont appelés à disparaître» et de préciser en substance «que cette façon d’éliminer les ordures ménagères est révolue car ce procédé est non seulement contre productif, mais il génère beaucoup plus d’inconvénients d’ordre écologique et nécessite aussi de grosses enveloppes financières pour la réalisation des cassiers d’enfouissement et de grands espaces réservés à cet effet».
Un grand virage s’opère actuellement au niveau de l’entreprise citoyenne Tiaret-Nadhafa, et cela cinq années à peine après sa naissance. Une naissance, rappelons-le, venue atténuer de lourdes appréhensions dues à l’insalubrité criante qui caractérisait bon nombre de villes, dont son chef-lieu de wilaya, Tiaret, qui ployaient sous les immondices et déchets inertes.
Une nouveauté : des galas musicaux sont désormais organisés au niveau du massif forestier de l’Akfadou. Une démarche qui n’enchante pas les défenseurs de l’environnement. Dans cet entretien, le Dr Mourad Ahmim, spécialiste en biodiversité, explique les raisons d’interdire ces galas à l’Akfadou.
Des murs végétaux, de l’agriculture verticale, où toutes les variétés dites légères, comme le basilic, la menthe, le romarin, la cerise, la coriandre et la tomate cerise peut être cultivées.
C’est dans le cadre des objectifs du programme «Facilité aux priorités du partenariat UE-Algérie», et plus précisément dans le contexte de la priorité commune de partenariat axée sur l'énergie, l'environnement et le développement durable, qu’un projet de jumelage a officiellement été lancé hier à Alger entre l'Algérie et l'Union européenne (UE).
L’initiative a été prise par l’association Sirius d’astronomie, qui a voulu célébrer d’une manière scientifique la Journée mondiale de l’environnement coïncidant avec le 5 juin, en partenariat avec l’unité de recherche Cerist de la technopole de l’université Salah Bounider, en collaboration avec l’APW, et ce, en lançant une première expérience de master class avec des élèves des CEM, avec pour credo de former des enfants qui seront les ambassadeurs de l’environnement.
L’autorité de gestion du Parc national du Djurdjura (PND) appelle les agences de voyage et les guides touristiques au respect des mesures mises en place afin de préserver cet espace naturel. Ce site est, pour rappel, situé dans une région très montagneuse entre la wilaya de Tizi Ouzou et celle de Bouira.
Connue pour sa propreté et le degré de civisme de ses habitants, la cité des 408 logements de Boumerdès a été sacrée meilleur quartier de la wilaya à deux reprises. Ce fut en 2018 puis en 2019 à la faveur de concours visant à faire participer les citoyens dans l’effort de protection de l’environnement.
Les participants à une session de formation au profit des présidents des Assemblées populaires communales (P/APC) d’Oran organisée lundi au Centre national de formation des personnels des collectivités locales et d’amélioration de leur niveau au chef-lieu de wilaya, ont souligné l’importance des structures communales pour préserver la santé dans le cadre de la protection de l’environnement et l’hygiène du milieu au niveau des collectivités locales.
Les villes, qui abritent plus de la moitié de la population mondiale et sont responsables d’environ 70 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, sont au cœur du défi climatique, affirme un nouveau rapport de la Banque mondiale. Le rapport, intitulé en anglais «Thriving: Making Cities Green, Resilient, and Inclusive in a Changing Climate», analyse le rôle fondamental des villes à la fois pour enrayer le changement climatique et protéger les populations de ses conséquences.
Il s’est éteint à l’âge de 73 ans, dans des circonstances douloureuses, l’ami de la nature. Morsli Bouayed, ancien président de l’association de la sauvegarde et de la promotion de l’environnement de la wilaya de Tlemcen (Aspewit), créée en 1979.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a annoncé, vendredi, que l’ONU avait choisi la ville de Belem, en Amazonie, pour accueillir la conférence sur le climat COP30, en 2025.
Vendredi dernier, s’est déroulée à Bouira la première phase d’un rallye organisé par la Ligue de wilaya des sports mécaniques. Et c’est au site naturel de Tikjda qui fait du Parc national du Djurdjura (PND), un site classé par l’Unesco comme réserve de biosphère protégée en 1997, qu’ont eu lieu les épreuves de la première étape.
L’abeille saharienne ou l’abeille jaune, également connue sous le nom scientifique, Apis Mellifica Sahariensis, n’existe que dans la région du Sud-Ouest algérien, principalement à Ain Sefra (wilaya de Naâma) et au nord de Béchar où on l’appelle aussi el ghanmi.
-Quelle est l’importance de l’abeille saharienne dans l’écosystème oasien ? La répartition géographique de cette sous-espèce est définie dans les régions steppique et saharienne du Sud-Ouest algérien, à savoir les montagnes de Aïn Sefra, Béchar et Beni Ounif. Elle est facilement reconnaissable à sa couleur jaune oranger et est caractérisée par sa douceur, comparativement à la tellienne (Apis mellifera intermissa). L’abeille saharienne, au même titre que les autres races d’abeilles, joue un rôle important dans l’écosystème qu’elles occupent. En effet, elle joue un rôle crucial ; d’une part, dans la pollinisation des espèces végétales contribuant ainsi à la sécurité alimentaire, d’autre part, elle assure une diversification des sources de revenus des communautés rurales, soit à travers le miel ou bien les autres produits de la ruche (propolis, pollen, venin, gelée royale, cire).