Dans cet entretien, Nassima Khouader revient sur l’introduction de l’intelligence artificielle dans le domaine de la pharmacie, ses avantages mais aussi ses inconvénients.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Johann Lounis Soufi, avocat spécialisé en droit international, revient sur la plainte déposée par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice (CIJ). «L’initiative sud-africaine permet (…) de mettre en exergue l’hypocrisie généralisée qui existe depuis des décennies vis-à-vis de la Palestine et qui est encore plus flagrante depuis quelques semaines», note cet ancien responsable du bureau des affaires juridiques de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) à Ghaza. «La violation du droit international et du verdict de la CIJ doit entraîner des mesures fortes, telles que des sanctions économiques et politiques sévères, pour contraindre Israël à respecter le droit international», estime-t-il.
Dans cet entretien à El Watan, Salam Kawakibi, chercheur syrien établi à Paris, note que les signataires des accords d’Oslo en 1993 comme ceux qui se félicitent aujourd’hui de la mort des dizaines de milliers de civils palestiniens ont en commun le «refus catégorique» du droit du peuple palestinien à l’autodétermination et à l’établissement d’un Etat viable. Il souligne également que la tâche des démocrates arabes sera désormais rude pour essayer de convaincre les jeunes de la région d’assimiler les «valeurs universelles» et de ne pas développer un sentiment de haine à l’égard de ceux qui les considèrent comme des sous-humains.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le SG du HCA revient sur les activités célébrant le Nouvel An amazigh. Il évoque aussi l’évolution de l’enseignement de tamazight qui, regrette-t-il, «reste précaire moins dans la pertinence des textes officiels régissant la politique de l’Etat en la matière que (…) dans la gestion scolaire institutionnelle de ce fondement et attribut de la nation».
Pour Arezki Rabah, ancien économiste en chef de la Banque mondiale pour la région Mena (Afrique du Nord/Moyen-Orient) et ancien vice-président de la Banque africaine de développement (BAD), la réussite de l’Afrique passe par la réforme de la gouvernance. Il estime, en effet, dans cet entretien, que l’Afrique ne réussira pas si on ne remet pas la gouvernance au cœur de la réforme et si on ne redonne pas confiance aux investisseurs. Il s’agit aussi pour notre économiste de dépasser la levée des barrières tarifaires dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine et de prendre en compte les véritables entraves qui bloquent le monde africain des affaires.
Le phénomène est indécent moralement et toxique sur le plan pédagogique.
Dans cet entretien, le gynécologue Farid Benaibouche revient sur l’endométriose, une maladie gynécologique fréquente, qui concerne en moyenne une femme sur dix dans le monde. Il expose ses symptômes, ses facteurs de risque et explique la façon de la diagnostiquer.
En dehors des deux années de Covid, nous avons organisé plusieurs journées portes-ouvertes relatives aux risques de maladies professionnelles qui sont les accidents du travail et les maladies professionnelles.
Mohktar Didouche, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, revient dans cet entretien exclusif accordé à El Watan, sur les grands axes de développement de son secteur. Selon le représentant du gouvernement, en abordant les défis de manière proactive, l’Algérie pourrait ouvrir de nouvelles perspectives pour son secteur touristique, attirer davantage de visiteurs et contribuer ainsi à son développement économique et social du pays. Alors que l’Algérie cherche à diversifier son économie et à réduire sa dépendance des revenus des hydrocarbures, le secteur apparaît comme une alternative prometteuse et porteuse d’opportunités.
En tant qu’agence de développement de l’Union africaine Auda-Nepad, nous avons eu des discussions sur les systèmes alimentaires, le plan directeur d’électrification de l’Afrique, les énergies renouvelables et également l’accès à l’eau.
L’entreprise génocidaire menée par l’occupant israélien dans la Bande de Ghaza a ahuri le monde par l’ampleur du drame qu’elle a provoqué. Malgré cette violence, le peuple palestinien résiste. Dans cet entretien, Bertrand Badie, spécialiste reconnu des relations internationales, rappelle une règle que les puissances ne semblent pas vouloir retenir : «L’action armée ne peut rien, tant contre des organisations combattantes non-étatiques plus ou moins confondues avec leur propre société, que contre des acteurs sociaux rongés par l’humiliation et le désespoir.» Par ailleurs, l’auteur de L’impuissance de la puissance est convaincu que seuls les Etats-Unis «peuvent bloquer une offensive israélienne et surtout convaincre l’Etat hébreu d’accepter une solution à deux Etats».
Amar Takdjout, secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), revient, dans cet entretien, sur les grands chantiers ouverts au sein de la Centrale syndicale. Outre le processus de mise en conformité avec la nouvelle loi relative à l’exercice du droit syndical et aux nouveaux statuts de l’organisation, il aborde les questions socioprofessionnelles en insistant sur l’importance du dialogue social. Il avertit, par ailleurs, sur le danger du non-respect des décisions de justice prononcées en faveur des travailleurs.
Dans cet entretien, Mohamed Laiche, docteur (HDR) en économie et doyen de la faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, souligne que l’insuffisance opérationnelle des plans d’aménagement et d’urbanisme, en l’occurrence les PDAU et POS, est l’une des raisons principales des problèmes et du dysfonctionnement dans lesquels se trouvent les villes algériennes et particulièrement celle de Tizi Ouzou.
Peintre exposé partout dans le monde, écrivain et cinéaste, plasticien, dessinateur et poète, il aura tout fait, jusqu’à chef décorateur parmi les plus recherchés par les cinéastes algériens, après avoir été scénographe au théâtre. Machaho de Belkacem Hadjadj, La montagne de Baya de Azzedine Meddour, Morituri de Okacha Touita ou Exectution de Youcef Mahsas, c’est lui, en plus de deux courts métrages de fiction qu’il a réalisés en adaptant ses propres textes, Winna en 2019 et Le chant de la sirène en 2022, largement basés sur le décor.
Dans cet entretien, Ibrahim Thiaw, secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD), revient sur la lancinante problématique de lutte contre la désertification. Rencontré en marge des travaux de la COP28 à Dubaï, il estime que les questions liées à la sécheresse ne sont pas assez débattues lors des différentes conférences des parties des Nations unies pour le changement climatique. Selon lui, les pays affectés ont plus que jamais besoin aujourd’hui de mettre tous les moyens nécessaires pour une lutte efficace contre ce phénomène naturel. Des efforts sont à faire pour répondre aux besoins de 1,8 milliard de personnes souffrant de la sécheresse à travers le monde.
Ces appréciations nous vont droit au cœur. Ça ne peut que nous encourager à aller toujours de l’avant. Je dois dire que notre équipe n’a rien de si original. Notre particularité, si on peut dire, est que nous sommes déjà une équipe unie, soudée et très consciente de ses responsabilités, quelles qu'en soient les difficultés.
Le mois de décembre est dédié à la lutte contre le Sida dans le monde. En cette occasion, M. Othmane Bourouba, président de Aids Algérie, revient sur les missions de son association, la pertinence des campagnes de sensibilisation élaborées en direction des jeunes, les contraintes de la stigmatisation et l’importance du dépistage précose.
Rencontré à la 28e Conférence des parties sur les changements climatiques (COP-28), qui a bouclé hier sa cinquième journée, Jean-Paul Adam, directeur de la politique du plaidoyer au conseiller spécial de l’Afrique à l’ONU, reconnaît, dans cet entretien, les particularités de la situation dans la région du Maghreb qui subit durement les conséquences du réchauffement climatique mais regrette de ne pouvoir mettre en place un mécanisme d’aide spécifique. Il souhaite que ces pays puissent bénéficier du fonds des «pertes et dommages», mis en œuvre lors de cette conférence.
Dans cet entretien, Ahmed Benfares expose les dangers de l’automédication, une pratique devenue courante, et revient sur le cheminement qui a permis à cette pratique de se généraliser.
En marge de l’événement Afrika Food Dakar (30 nov- 2 décembre), organisé par le Siagro et auquel l’Algérie est invitée, à travers Sipsa Afrika food, nous avons rencontré le vice-président du GRFI (Groupe de réflexion de Filaha Innove) et agroéconomiste, M. Brahim Zitouni, qui a bien daigné répondre à nos questions autour des débats liés à la souveraineté alimentaire et un fort partenariat sous-régional.