Notre fierté est de constater que notre pays célèbre de manière éclatante les festivités du Nouvel an amazigh, sans tabou et avec un élan populaire remarquable qui couvre l’ensemble du territoire national.
Je sais qu’il y aura à Mostaganem, à Tizi Ouzou. Je vous les donnerai après (sourire). L’essentiel, c’est que le Président a décidé de lancer six projets de construction des stations de dessalement de l’eau de mer (SDEM), pour assurer à notre pays la sécurité hydrique.
Non, il n’y a pas lieu de s’inquiéter pour le moment. L’Organisation mondiale de la santé a confirmé que les maladies respiratoires signalées en Chine, y compris celles causées par le métapneumovirus humain (HMPV), restent dans des niveaux habituels pour la saison hivernale.
Avec un réseau routier très dense, s’étendant sur plus de 2000 km, la wilaya a d’énormes défis à relever, notamment en ce qui concerne la modernisation des routes nationales.
Le PDG d’AEC, filiale de Sonatrach, Lahcène Bada, revient dans cet entretien sur le très ambitieux programme de dessalement lancé par l’Algérie. «Ce programme permet de passer de 18 à 42% de la participation du dessalement de l’eau de mer dans l’alimentation en eau potable à partir de fin février 2025, ce qui aura comme impact positif de réduire le stress hydrique persistant dans le pays», soutient-il.
Othmani Marabout Abdelmouneim occupe le poste de DG depuis le 2 janvier 2025. Il a rejoint alBaraka Bank il y a 4 mois après avoir été dans une autre banque où il a acquis une certaine expérience. Il a vu d’autres méthodes de gestion et de management.
La wilaya de Blida figure toujours à la première place pour ce qui est de la production agrumicole. Elle produit environ le tiers des agrumes en Algérie. A travers cet entretien, le président du Conseil interprofessionnel de la filière agrumes de la wilaya de Blida donne les détails.
Dr Salah Eldeen Saleh Emhemed, membre de l’équipe de formation et conseiller juridique de l’Agence libyenne de la recherche scientifique au sein du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique libyen, revient dans cet entretien accordé à El Watan sur les enjeux de la diplomatie numérique et de la gestion des crises dans les pays arabes.
L’organisation de cette caravane de tourisme solidaire à travers Ghardaïa et Timimoun a constitué un moment enrichissant.
Dans cet entretien, Ali Daoudi, agroéconomiste, enseignant chercheur à l’Ecole nationale supérieure d’agronomie d’Alger (ENSA), estime que les niveaux actuels d’inflation restent bien au-dessus de ceux d’avant le cycle inflationniste. Il faudra, selon notre chercheur, encore du temps pour déterminer si cette période de forte inflation est terminée et si une stabilisation durable peut être atteinte.
Durant la fin des années 1970 et début 1980, l’Etat avait lancé un vaste chantier d’électrification rurale à travers le territoire national. Des supports électriques ont été implantés dans des milliers de propriétés privées.
Il y a un demi-siècle, j’ai vécu de telles scènes. A proximité de chaque gare, entre Alger et Tizi Ouzou, les enfants jetaient déjà des cailloux sur les trains.
Un phénomène préoccupant, souvent invisible : les conduites addictives chez les jeunes en milieu scolaire. La Pre Hocine aborde de manière détaillée les différents types de conduites addictives, qu’elles soient liées à l’usage de substances psychoactives ou à des comportements compulsifs, allant jusqu’à l’addiction aux écrans. Elle met également en lumière les facteurs de risque, les conséquences physiques, psychologiques et sociales de ces addictions, ainsi que les défis auxquels les parents, enseignants et professionnels de santé sont confrontés. A travers cet entretien, elle souligne l’absence de données actualisées et de dépistage structuré dans le milieu scolaire, un enjeu majeur pour la prévention et la prise en charge de ces troubles.
Dans cet entretien, le Dr Nadira Benabdallah, coordinatrice en santé scolaire et universitaire, partage son expertise sur un enjeu crucial : la lutte contre la propagation de la drogue en milieu scolaire. Elle aborde l’ampleur du phénomène, les facteurs de risque, les substances les plus répandues, ainsi que les impacts psychologiques, physiques et sociaux sur les enfants. Le Dr Benabdallah qui œuvre en étroite collaboration avec l’association «Ettahadi de lutte contre les fléaux sociaux et la prévention contre les drogues en milieu des jeunes» met également en lumière les efforts déployés par les institutions de l’Etat et les associations, tout en proposant des mesures préventives pour protéger les élèves à risque et garantir un environnement éducatif sûr et sain.
C’est une problématique, car nous n’avons pas d’experts et de spécialistes pour réaliser ces études.
Dans cet entretien, Hocine Sam, docteur en économie et maître de conférences (HDR) à l’Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, estime que la décision d’augmenter la location touristique est une offensive aussi contre les transactions parallèles en devises. Pour le même chercheur, l’ouverture de bureaux de change évitera la fuite des capitaux à l’étranger, d’un côté, et le blanchiment d’argent, de l’autre. Le Dr Sam préconise également la prudence pour mieux anticiper le scénario de retournement de situation en cas de chute des recettes fiscales pétrolières pouvant entraîner, a-t-il précisé, le risque de la détérioration des réserves de change.
En effet, Air Algérie a toujours entrepris des initiatives significatives dans la perspective de développer le tourisme saharien, un atout incontournable du patrimoine algérien.
Dans cet entretien accordé à El Watan, Dr Nouria Benghabrit-Remaoun, ancienne ministre de l’Education nationale (2014-2019), livre des éclairages autour de l’ouvrage intitulé Devenir et être enseignant en Algérie, qu’elle a coécrit avec l’enseignante chercheuse, Dr Zoubida Rabahi-Senouci et qui vient d’être édité par le CRASC.
Il est vrai que les derniers jours, le pays a connu une activité plus importante que les jours précédents.
L’absence de l’entretien au niveau des immeubles et dans les espaces communs s’est répercutée négativement sur la qualité de vie des locataires, qui accusent «Gest-Immo» de délaissement.