Les habitants de plusieurs quartiers de la commune de Meggarine, dans la wilaya de Touggourt, sont confrontés à un mécontentement et une frustration dus à la coupure continue de l’eau des robinets ces derniers temps.
La wilaya de Boumerdès reçoit un quota supplémentaire de 20 000 m3/j du barrage de Taksebt, ce qui permettra d’améliorer l’alimentation en eau en ce mois de Ramadan dans plusieurs communes de la région.
L’opération connaît de sérieux problèmes, surtout que les risques de casser des conduites d’égout ou endommager des câbles sont omniprésents.
Le renforcement de l’alimentation en eau potable (AEP) en milieu urbain à Guelma, qui devrait également canaliser le projet des eaux dessalées, connaît depuis quelques semaines un ralentissement dans la cadence des travaux de pose de conduites d’adduction, non pas faute de moyens matériels, mais en l’absence de plans des divers réseaux souterrains.
A l’approche du Ramadhan, les autorités ont dévoilé un plan détaillé pour assurer «une distribution équitable de l’eau potable», tout en renforçant les infrastructures face aux défis climatiques.
L’Algérienne des eaux (ADE) vient de lancer une vaste campagne de réparation du réseau d’eau potable à travers les différentes communes de la wilaya de Ouargla où différents points noirs sont recensés.
Plus de 40% de l’eau produite à travers la wilaya n’est pas facturée à cause des pertes et des branchements anarchiques et illicites, qui causent d’énormes préjudices à l’ADE.
L’approvisionnement en eau potable dans toute la partie ouest de la wilaya d’Oran connaîtra des perturbations à partir du samedi 21 décembre, en raison de travaux de maintenance sur la conduite «Tafna», a indiqué, hier, un communiqué de la Société de l’eau et de l’assainissement d’Oran (SEOR).
l Utilisées dans de nombreux pays pour traiter l’eau potable, les chloramines interagissent avec d’autres substances pour former des «sous-produits». L’un d’eux, découvert il y a plus de 40 ans, n’avait jamais pu être identifié. Une nouvelle étude révèle aujourd’hui sa nature exacte, sans toutefois pouvoir conclure à ce stade à une éventuelle toxicité.
Chaque année, des quantités importantes d’eau potable sont gaspillées à cause des fuites et la détérioration des réseaux de distribution, notamment dans les zones urbaines.
Le wali a veillé, en présence du directeur central des réseaux d’alimentation, sur le lancement des travaux d’un ambitieux projet portant sur la rénovation du réseau d’approvisionnement en eau potable au chef-lieu de wilaya.
Les habitants du village de Selloum, relevant de la commune d’Aghbalou, au nord-est de Bouira, endurent une pénurie d’eau potable depuis plus d’une dizaine de jours.
Un avis d’appel pour le lancement d’une étude portant sur le raccordement de Tiaret et des communes du nord de la wilaya par l’eau de mer dessalée a été lancé la semaine dernière sur des journaux nationaux», a déclaré Ali Bouguerra, wali de Tiaret, jeudi, dans son cabinet, alors qu’il venait d’inviter les représentants des médias et de la presse nationale accréditée pour une annonce à la population jugée «importante».
La reconstitution des réserves hydriques n’est pas un fait anodin dans un contexte de réchauffement climatique qui tourmente le monde depuis plusieurs années. Ce n’est pas une période de rémission que la nature offre aux humains, mais cela y ressemble lorsqu’on se remémore les épisodes caniculaires passés et ceux qui ne manqueront pas de survenir à brève ou moyenne échéance.
Après les dernières pluies, les barrages de la wilaya d’El Tarf affichent des taux de remplissage satisfaisants. En effet, selon la directrice des ressources en eau, Mme Nawel Adjal, les barrages de Mexa et Bougous sont remplis à 100% et celui d’Echeffia est à 31%. Parallèlement, la distribution dans la ville d’Annaba, dont l’alimentation en eau potable dépend majoritairement des barrages de la wilaya d’El Tarf, n’est pas appropriée.
La problématique de l’eau potable qui a connu une embellie indéniable pendant quelques années à Oran commence à montrer des signes d’essoufflement, en attendant la réalisation du nouveau projet de la station de dessalement de Cap Blanc (300 000 m3/j) dont la mise en service est prévue avant la fin de cette année 2024.
Pour éviter des situations difficiles à gérer, comme celle de l’été dernier, les autorités locales ont décidé de réaliser des forages dans certaines localités.
La wilaya de Souk Ahras vient de bénéficier d’une enveloppe financière de 10 milliards de dinars pour la réalisation d’un projet structurant dont le but est d’améliorer l’approvisionnement en eau potable pour plusieurs communes.
La ville de Tiaret et quatre localités environnantes (Rahouia, Djillali Benamar et Mechraa-sfa) vivent une situation critique en matière d’alimentation en eau potable.
Jeté aux oubliettes depuis de longues années, le lotissement Ben Naâmoune situé dans le secteur de Zouaghi Slimane dans la ville de Constantine a été enfin pris en considération par les autorités locales de la wilaya.