Après avoir fait couler beaucoup d’encre sur les dépassements signalés dans l’établissement des listes des bénéficiaires, les logements de fonction de l’université de Constantine sont désormais dans le viseur du chef de l’exécutif de la wilaya, Abdelkhalek Sayouda.
Après la sécheresse qui a causé des dégâts jamais enregistrés dans la wilaya, les dernières intempéries ont apporté un coup de grâce à une production qualifiée de catastrophique.
Le procès de Noureddine Bedoui, Abdelmalek Boudiaf et de Tahar Sekrane, anciens walis de Constantine (de 2002 à 2013), s’est ouvert hier devant le pôle financier de Sidi M’hamed, à Alger. Jugés pour «abus de fonction, octroi d’indus avantages et dilapidation de deniers publics», les trois ont comparu avec plus d’une trentaine d’autres prévenus, pour le projet de réalisation de l’aérogare de Constantine, qui a pris 11 ans et englouti 3,5 milliards de dinars au lieu de 441 millions de dinars.
Quel est l’impact d’une unité industrielle comme la cimenterie de Hamma Bouziane sur l’environnement et la santé des citoyens ? Cette épineuse problématique a fait l’objet d’une communication pertinente animée par le Pr Mohamed-Habib Belmahi, doyen de la faculté de génie des procédés à l’université Salah Boubnider, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement.
L’initiative a été prise par l’association Sirius d’astronomie, qui a voulu célébrer d’une manière scientifique la Journée mondiale de l’environnement coïncidant avec le 5 juin, en partenariat avec l’unité de recherche Cerist de la technopole de l’université Salah Bounider, en collaboration avec l’APW, et ce, en lançant une première expérience de master class avec des élèves des CEM, avec pour credo de former des enfants qui seront les ambassadeurs de l’environnement.
Le phénomène des points noirs, causant de nombreux problèmes, persiste toujours à Constantine où les services de la Société de l’eau et de l’assainissement (Seaco) de la wilaya ont recensé 117 points. Ce chiffre a été annoncé, hier, par Saber Seraoui, directeur exploitation-assainissement de la Seaco, lors d’une rencontre organisée à la faculté Génie des procédés de l’université Salah Boubnider Constantine 3, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’environnement sous le slogan «L’université dans la préservation de l’environnement et la santé».
Les pluies orageuses qui se sont abattues dans la nuit de samedi à dimanche ont été fortement ressenties par les habitants de la wilaya de Constantine.
C’est la plus importante opération de lutte contre le trafic de psychotropes réalisée par la brigade de répression du banditisme (BRB) des services de la police judiciaire de la sûreté de la wilaya de Constantine depuis le début de l’année en cours.
L’Institut français d’Algérie à Constantine ne pouvait contenir le public venu nombreux pour assister au vernissage de l’exposition de l’artiste-peintre et sculpteur, Ahmed Benyahia, organisé jeudi dernier. Une exposition qui a rassemblé une sélection de son œuvre prolifique, car il faudra une immense galerie pour réunir tout ce qu’a réalisé l’artiste durant une carrière qui s’étend sur plus de 60 ans.
Poursuivant ses activités en multipliant les compétitions pour la promotion des jeux d’échecs au sein des jeunes dans la wilaya de Constantine et la région de l’Est, avec des tournois devenus des traditions dans cette discipline, l’Association sportive échecs de Constantine (ASEC) organise le tournoi régional des jeux d’échecs pour les moins de 16 ans à l’occasion de la journée mondiale de l’enfance.
Le wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda, a donné, dans l’après-midi de mardi, le coup d’envoi d’un projet de réhabilitation de l’esplanade située au-dessus du marché Boumezzou, faisant partie de la grande place du 1er Novembre, plus connue chez les Constantinois par la place de la Brèche.
Il n’y a pas meilleure occasion pour célébrer la journée mondiale de l’enfance que d’initier un évènement dédié à la lecture. C’est dans ce but que la bibliothèque principale de la lecture publique Mustapha Nettour, située sur le boulevard des Frères Zaâmouche dans la ville de Constantine organise la 11e édition du festival culturel local « La lecture en fête » qui se tiendra cette année sous le slogan « Colorie ta vie par la lecture », sous le parrainage du ministère de la Culture et la contribution de la wilaya de Constantine.
Un mois après le décapage d’une partie du grand boulevard qui traverse la localité d’Oued El Hdjar, une sorte de nouvelle ville de la commune de Didouche Mourad, les choses ne font qu’empirer.
Par une journée ensoleillée du mois de mai, après une semaine de froid et de pluies, nous avons pris la route vers le lotissement de Sidi Amor, situé entre les communes d’El Khroub et Ibn Badis (El Haria), à environ 25 km au sud-est de Constantine. Un lieu calme, paisible et surtout propre.
Après des mois de démarches administratives, le Collège des médecins hépato gastro-entérologues et endoscopistes de l’Est algérien regroupant des membres de 11 wilayas de cette région, vient de voir le jour au printemps de l’année en cours, avec un bureau siège à Constantine.
Une expérience pédagogique unique pour notre région s’est déroulée durant le présent semestre à Constantine avec les élèves des lycées El Houria et Youghourta. Il s’agissait pour eux d’analyser des expériences réelles à la frontière des connaissances actuelles en physique des hautes énergies et en médecine nucléaire. Ceci s’est fait dans le cadre des Masterclasses internationales du CERN à Genève et trois autres laboratoires aux États unis et en Argentine.
Si sous d’autres cieux, on ne cesse de répéter «on n’arrête pas le progrès», sur le boulevard de Djebel Ouahch à Constantine, c’est plutôt une autre chanson qui est en vogue, ces dernières années, celle qui dit «on n’arrêtera plus l’anarchie». Le constat est amer et la situation semble qu’elle ne connaîtra aucun changement.
La scène des 18es «Andaloussiates El Djazair» a accueilli, vendredi soir à la salle Ibn-Khaldoun, l’association culturelle et musicale «Maqam» de Constantine, un grand ensemble de musique andalouse qui a célébré l’ancestralité de ce patrimoine de la culture algérienne.
Encore une fois, la balustrade du pont Sidi Rached, dans la ville de Constantine, n’a pas échappé aux dommages qui lui sont causés suite aux dérapages des voitures traversant cet ouvrage à vive allure.
Les pluies torrentielles qui se sont abattues sur la wilaya de Constantine dans l’après-midi de mercredi dernier sont venues rappeler les images de la catastrophe survenue à Ali Mendjeli, le 28 août 2015, et celle du 19 septembre 2018 sur la RN27 traversant le quartier de Djebli Ahmed dans la commune de Hamma Bouziane où l’on avait déploré deux morts.