La priorité a été donnée lors du Conseil des ministres tenu dimanche au «parachèvement des programmes de développement dans les wilayas de Khenchela, Tissemsilt, Djelfa et Tindouf».
Les débats actuels sur la révision du code communal et de wilaya dans le but d’élargir leurs attributions et d’améliorer les performances de la gestion locale nous incitent à prendre en considération les résultats et les principes produits par les démarches appliquées avec succès dans beaucoup de pays.
L’opinion publique locale au niveau du chef-lieu de wilaya de Tiaret ne sait plus à quelle source se fier. Il y a un déluge d’assertions sur les réseaux sociaux évoquant «un blocage de l’Assemblée populaire communale qui n’a plus délibéré depuis des mois sur fonds d’approches contradictoires».
Le plan national de réhabilitation des routes dégradées dans les zones reculées, annoncé au début du mois par le ministre des Travaux publics, figure parmi les requêtes les plus urgentes des populations locales.
Satal Benouda, d’obédience FLN, est désormais maire de Relizane en remplacement de Hadj Boukeffousa, dont les activités ont été suspendues, rappelons-le, le 25 mars dernier par le wali.
La récente installation des nouveaux walis a été l’occasion de remettre à l’ordre du jour le dossier de la gestion des collectivités locales et la nécessité de leur insuffler une nouvelle dynamique de développement à même de répondre aux attentes des citoyens.
Brahim Merad a souligné hier, depuis Tlemcen, la nécessité de «créer un climat sain pour assurer une bonne scolarité aux élèves et d'accorder de l'importance aux cantines scolaires dans les zones reculées, notamment».
Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Brahim Merad, a rappelé, jeudi, le souci des pouvoirs publics de procéder à une révision du cadre juridique des collectivités locales, lequel a été enrichi par une commission d’experts.
Finalement le wali a gelé, dimanche dernier, les activités de l’Assemblée populaire communale de Relizane et celle d’El Matemar, longtemps rongées par les clivages et les guéguerres intestines.
Un remaniement partiel dans les collectivités locales a été opéré, avant-hier, au niveau du siège de la wilaya.
21 sur les 33 élus que compte l’APC de Chlef ont désapprouvé totalement, dimanche dernier, l’ordre du jour de la première session ordinaire, qui comprenait huit points liés à la gestion et au fonctionnement de cette municipalité de plus de 400 000 habitants.
La première réunion de travail de la nouvelle équipe à la tête de l’APC d’Oran a eu lieu avant-hier lundi 3 janvier 2022, même si ce n’est qu’une réunion de préparation de celle devant, dit-on, se tenir aujourd’hui mercredi et devant concerner le dossier des Jeux méditerranéens.