Baisser de rideau, tard dans la journée de mardi dernier, sur les débats du procès en appel de Sonatrach devant la chambre pénale près la cour d’Alger et le sort des 37 prévenus, dont quatre sociétés pétrolières internationales, l’italienne Saipem, le canadien SLC-Lavalin, le britannique Petrofac INC et le japonais JGC, sera tranché dimanche prochain.
Le procès en appel de Sonatrach a repris hier à la cour d’Alger avec le réquisitoire et les plaidoiries des parties civiles mais aussi de la défense. Lors de son réquisitoire, le représentant du ministère public n’y a pas été par le dos de la cuillère.
Jusqu’en fin de journée, le procès de Sonatrach n’était toujours pas ouvert. Ne voyant pas finir l’examen d’une autre affaire prévue le même jour, la présidente a décidé de faire l’appel des prévenus et de leur demander de revenir aujourd’hui avant de les libérer.
Plusieurs dossiers de corruption impliquant trois chefs de gouvernement, Ahmed Ouyahia, Abdelmalek Sellal et Noureddine Bedoui, de nombreux ministres, des hommes d’affaires liés aux cercle présidentiel, incarné par Saïd Bouteflika, le frère-conseiller du défunt Président déchu, ainsi que de hauts fonctionnaires de l’Etat, et ouverts entre 2019 et 2020, sont pour la plupart clôturés avec des décisions définitives et quelques-uns restent pendants au niveau de la Cour suprême.
La cour d’Alger a confirmé, hier, les jugements de première instance prononcés contre les accusés poursuivis dans l’affaire Sonatrach et du groupe italien Saipem, à leur tête l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil.
L’ancien PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane, et son vice-président chargé des activités aval, Abdelhafid Feghouli, se sont renvoyés, hier, la responsabilité et les accusations dans l’élimination de l’émirati Petrofac du marché de réalisation du complexe gazier d’Arzew GNL3 au profit de Saipem, dont les représentants ont nié toute «surfacturation». Le procureur général a, cependant, requis une peine de 20 ans de prison contre l’ex-ministre de l’Energie, Chakib Khelil, avec confiscation de ses biens et ceux des membres de sa famille, mais aussi contre Mohamed Meziane, Abdelhafid Feghouli et les représentants de Saipem, en fuite à l’étranger.
Jugée en première instance au mois de février dernier, la première affaire impliquant l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, devait être examinée hier par la chambre pénale près la cour d’Alger, mais la présidente a décidé de la renvoyer au 10 mai prochain.
Une peine maximale de 20 ans de prison ferme, assortie d’une amende de 2 millions de dinars et d’un mandat d’arrêt international, a été prononcée hier par le pôle financier de Sidi M’hamed, à Alger, contre l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, réfugié aux Etats-Unis.
Présent en Algérie depuis le début des années 2000, le fournisseur de services pétroliers Petrofac a fait l’objet, il y a près de deux mois, d’une ordonnance de confiscation d’importantes sommes d’argent après sa condamnation, par la justice britannique, et celle de deux de ses cadres dirigeants.
Cité, accusé, blanchi et honoré avant d’être à nouveau éclaboussé et poursuivi… Un véritable feuilleton politico-judiciaire, dont se souviendront pour longtemps les Algériens.
Une peine maximale de 20 ans de prison ferme assortie d’une amende de 2 millions de dinars a été requise hier par défaut, contre l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil, en fuite aux Etats-Unis, avec confiscation de tous ses biens immobiliers et financiers et ceux des membres de sa famille, et confirmation du mandat d’arrêt international.
Une peine de 20 ans de prison ferme, assortie d'une amende de 2 millions de dinars et confiscation de tous ses biens et ceux des membres de sa famille, en Algérie et ceux ayant été évoqués dans les commissions rogstoires et situés à l'etranger, a été requise contre l'ancien ministre de l'énergie, Chakib Khellil, dans le cadre du procès GNL3 qui se tient devant le pole financier d'Alger, avec confirmation du mandat d'arrêt international.
Le procès de l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil et de l’ancien P-dg du groupe Sonatrach, Mohamed Meziane, a débuté lundi 31 janvier au Pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M'hamed à Alger.
Le pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) a reporté, lundi 24 janvier, au 31 janvier le procès de l’ancien ministre de l’Energie, Chakib Khelil et de l’ancien P-dg du groupe Sonatrach, Mohamed Meziane, en raison de la grève des avocats.
Le procès de l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khelil, de l'ancien P-dg du groupe Sonatrach, Mohamed Meziane et de son adjoint, Abdelhafidh Feghouli, prévu, lundi 17 janvier, au pôle pénal économique et financier près le tribunal de Sidi M'hamed (Alger), a été reporté au 24 janvier prochain, en raison de la grève des avocats.
Le pôle pénal spécialisé dans la lutte contre les crimes financiers et économiques au tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté, lundi, au 17 janvier le procès de l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khelil, de l'ancien P-dg du groupe Sonatrach, Mohamed Meziane et de son adjoint, Abdelhafidh Feghouli.