La société chaouie a suscité peu d’écrits. Les rares textes connus sont ceux de chercheurs étrangers, particulièrement français, à l’instar de l’ethnologue Germaine Tillon dont les travaux menés dans les années 1930 à El Ménéa et chez les Ouled Abderrahmane sont devenus une référence incontournable pour les chercheurs en sciences sociales.
Vous avez certainement entendu parler des célèbres toiles de maîtres «Femmes d’Alger dans leur appartement», d’Eugène Delacroix (1834), et «Les Femmes d’Alger», de Pablo Picasso (1955). Mais connaissez-vous les autres «Femmes d’Alger», celles du peintre et graphiste algérien Mustapha Boutadjine ?
Les Championnats du monde de semi-marathon 2022, prévus à Yangzhou (Chine) le 22 novembre prochain, ont été annulés par le Conseil de World Athletics. L’instance internationale d’athlétisme a motivé sa décision par la pandémie de Covid-19.
A quelques jours du début des Championnats du monde d’athlétisme qui se dérouleront à Eugene (Etats- Unis) du 15 au 24 juillet courant, c’est l’inquiétude chez athlètes et entraîneurs algériens.
L’association Ouled El Houma, chargée des activités sportives dans les quartiers et au sein des établissements pénitenciers, a annoncé, par le biais de son président Abderrahmane Bergui, que le coup d’envoi de la coupe d’Algérie de football au profit des détenus a été reporté.
Le Président Tebboune annonce la réouverture des frontières terrestres avec la Tunisie à partir du 15 juillet
Dans l’entretien accordé à El Watan, le jeune essayiste Ali Chibani évoque le long combat du poète Jean El Mouhoub Amrouche (1906-1962) pour la dignité de son peuple. «Ses écrits prouvent aussi que Jean Amrouche s’est, dès son adolescence, assigné la mission d’être «la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche, comme l’écrit Aimé Césaire», souligne-t-il. S’agissant de la nécessaire réhabilitation de cette figure majeure de la littérature et du combat politique, l’auteur est sans appel : «Ceux qui connaissent le parcours politique, journalistique et littéraire de Jean Amrouche sont admiratifs et reconnaissants. Ceux qui l’ignorent parce qu’ils n’ont pas eu l’opportunité d’entendre parler de lui peuvent le faire en découvrant son œuvre, et c’est là le seul hommage valable que l’on puisse rendre à un écrivain. Quant à ceux qui veulent le faire oublier, je suis certain qu’ils ne reconnaîtront jamais l’importance qu’a eue cet homme d’exception dans l’histoire de la première moitié du XXe siècle.»
Sitôt l’indépendance acquise, l’Algérie se lance dans un vaste chantier de développement national pour asseoir sa souveraineté de l’indépendance économique, alors que l’Algérie était à l’époque très loin de connaître l’aisance financière, dont allait bénéficier le pays de l’augmentation des prix du baril de pétrole sur les marchés mondiaux en 1982, 1984 et depuis 2000.
Tant attendue, l’historienne Malika Rahal a rencontré, pour la première fois, depuis la sortie de son livre Algérie 1962, une histoire populaire, son public algérois, au niveau de la librairie L’Arbre à dires de Sidi Yahia à Alger.
L’une des séquelles du colonialisme en Algérie est cette aliénation culturelle qui perdure six décennies après la restauration de l’Etat Algérien savamment mise en place par «l’Ecole d’Alger» (1879), dont les représentants attitrés ont instauré une grille de lecture de la société algérienne axée sur l’exacerbation des différences communautaires servie par un matériau conceptuel qui résiste encore aux multiples efforts de «décolonisation».
Entre fermeture de certains axes routiers en prévision du défilé militaire de ce 5 juillet, scènes érigées sur les places publiques et forêts de drapeaux pavoisant les grandes artères et les bâtiments officiels, Alger se prépare à célébrer le 60e anniversaire de l’indépendance. Pendant ce temps, les Algérois vaquent à leur quotidien en ayant une pensée émue pour ce chiffre, «60», et en pestant contre les bouchons infernaux du défilé. Reportage.
La thèse des «bienfaits» de la colonisation a fait son temps, s’effiloche. Le présent document met à nu le mensonge, remet à la surface une infime partie de la «mission civilisatrice» de la France coloniale en Algérie.
Dans son dernier numéro, la revue El Djeich a évoqué l’«organisation du plus grand défilé militaire jamais vu dans notre pays, auquel seront conviés des invités d’honneur des pays amis et frères».
A l’occasion du 60e anniversaire de l’indépendance, un colloque international de grande envergure a eu lieu à l’Université de la Sorbonne, du 23 au 25 juin, intitulé «Algérie 1962-2022 : trajectoires d’une nation et d’une société». Organisé par l’Institut français de géopolitique (IFG), rattaché à l’Université Paris 8, ce rendez-vous académique de haut niveau a été initié par Ali Bensaad, professeur des universités spécialiste du Monde arabe et du Moyen-Orient. En attendant la publication des actes du colloque, il a accepté de répondre à nos questions sur le contexte du colloque et les thématiques qui y étaient abordées.
Le Front des forces socialistes (FFS) a appelé à l’ouverture d’un «dialogue inclusif» en vue d’engager un «véritable processus politique et démocratique de changement».
Ce projet, qui sera présenté devant le Conseil des ministres pour adoption, compte des changements importants, dont la possibilité de dresser une liste locale et d’intégrer des produits dangereux faisant l’objet d’un large trafic, tels que la prégabaline et le tramadol, dans la liste officielle des psychotropes.
Le procureur de la République près le pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M’hamed (Alger) a requis, hier, une peine de 15 ans de prison ferme contre l’ex-président-directeur général de la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires d’Alger (SGSIA), Tahar Allache, poursuivi dans des affaires de corruption.
Les médicaments psychotropes font partie d’une classe très réglementée à cause des abus enregistrés. Mais l’exercice pharmaceutique doit concilier la connaissance pharmaceutique et thérapeutique de ce médicament avec son statut réglementaire.
L’immunothérapie sera pratiquée, à partir de 2023, à l’EHU 1er Novembre d’Oran, dans le traitement de certains cancers, a-t-on appris, hier, de la cheffe de service de l’oncologie médicale de cet établissement, le Pr Breksi Reguig Faïza.
L’escrimeuse Saoussen Boudiaf a offert à l’Algérie la première médaille d’or dans l’histoire de la discipline aux Jeux méditerranéens. Une performance de taille, d’autant plus qu’elle a été acquise haut la main face à l’Italienne Rebecca Gargano (15-7), dimanche en finale de l’épreuve du sabre, disputée au centre des conférences de l’hôtel Meridien.