Plusieurs opérations de renforcement de l’alimentation en eau potable de plusieurs communes de la wilaya de Bouira ont été lancées afin d’éviter les tensions sur ce liquide vitale enregistrées l’année passée.
Une enveloppe de 40 milliards de centimes sera dégagée pour la démolition des habitations menacées par le glissement de terrain que connaît, depuis 2006, le chef-lieu de la commune de Aïn El Hammam, à 45 km au sud-est de Tizi Ouzou.
Des citoyens de Béni Amrane, au niveau du chemin menant vers le nouveau lycée, signalent l’existence de regards béants présentant un risque certain pour les passants, notamment la population juvénile et les handicapés qui ont des problèmes d’optique. Ces regards auraient dû être fermés pour éviter tout accident.
Adossée à un flanc de montagne boisé face à l’immensité de la mer, une jolie ferme avec des vaches, des poules, des canards et surtout des chevaux. Une dizaine de magnifiques chevaux et pouliches de toute beauté. L’une des juments d’ailleurs vient tout juste de mettre bas.
La première édition de l’événement Forêt-ever, baptisée Rando-propre, initiée par l’association Afus-Afud d’Adekar, a eu lieu le week-end dernier pour marquer la Journée mondiale de l’arbre par des actions concrètes.
La nature a offert à la wilaya de Bouira des sites touristiques de très haute valeur. Cette région du pays qui, au lieu d’amorcer une dynamique de développement en s’appuyant sur l’activité écotouristique est, malheureusement, confinée dans la léthargie. Les raisons sont multiples. Pourtant, les potentialités que recèlent les localités, pouvant générer des emplois et fixer les populations, sont restées depuis des années non exploitées. Malgré ses immenses étendues, la wilaya de Bouira n’arrive toujours pas à développer son tourisme local. Pourquoi ?
Plus de 700 participants ont pris part à la 3e édition du semi-marathon national qui a eu lieu vendredi dernier dans la commune d’Aghribs, en hommage au commandant de la wilaya II historique, le héros et chahid Didouche Mourad, tombé au champ d’honneur en 1955.
La construction navale algérienne vient de faire un bond qualitatif certain avec la mise à l’eau du premier thonier. Ce navire de 35 mètres est à mettre à l’actif de l’entreprise Econav de Zemmouri El Bahri, dans la wilaya de Boumerdès.
La circulaire interministérielle de juin 2012 visant à organiser la formule relative au logement chez l’habitant est restée jusqu’à ce jour sans application réelle sur le terrain. Pourtant, les demandes formulées par des citoyens habitant des zones de montagne réclamant la création de gîtes touristiques sont importantes.
Une formation sur la taille de l’olivier assurée par des conseillers formés par le Programme d’appui au secteur de l’agriculture, y compris dans la gestion de l’eau, l’agro-industrie et la pollution agricole (PASA), a été organisé au profit des oléiculteurs, à Toudja, une zone touchée par les incendies de l’été dernier.
Le collectif des associations de la commune d’Aghbalou, à l’est de la wilaya de Bouira, a rendu hommage, avant-hier, à la mémoire du défunt artiste, Nacer Toudiat, connu sous le nom de scène Djamel Rawaâ. La festivité s’est déroulée au niveau de l’école primaire Terrad Hocine avec la participation des responsables de la culture de la wilaya et des dizaines de citoyens.
La commune d’Ighram a été créditée d’une dotation budgétaire d’un montant de 2,5 milliards de centimes, dans le cadre de l’exercice 2022.
Lovée en zone montagneuse sur la rive droite de la Soummam, Tamokra est l’une des rares communes de la wilaya de Béjaïa à ne pas disposer d’un lycée. «Nous sommes considérés comme des citoyens de seconde zone. Nous n’avons même pas droit d’accès à un système éducatif digne de ce nom, comme toutes les circonscriptions», vitupère un parent d’élèves, dont deux enfants sont scolarisés à Akbou. «Nos enfants suivent leur cursus secondaire dans des conditions intenables, coupés de leurs familles.
Elles cumulent les distinctions dans les concours internationaux. A Paris, Athènes, Londres et cette fois-ci Dubaï, les huiles El Asslia de Keddara et Baghlia de Kiared raflent les médailles.
Des entreprises en pleine expansion se heurtent au problème de l’indisponibilité d’assiettes foncières.
Les bonnes vieilles traditions d’entraide entre les différentes populations, notamment par la prise en charge des personnes âgées, s’essoufflent. Certes, il n’y a pas encore de structures spécialisées. On préfère, plus discrètement, parler de Maison de vieillesse ou d’Errahma.
Plusieurs projets relevant du secteur de la santé dans la wilaya de Bouira sont en souffrance. Des retards dans la réalisation ont atteint près d’une dizaine d’années, et même plus pour certains projets.
A l’occasion de la Journée mondiale de l’arbre, qui coïncide chaque année avec la date du 21 mars, l’association culturelle Afus-Afud d’Adekar, nouvellement créée, lance un programme ambitieux s’étalant du 18 au 21 mars.
L’infrastructure sera implantée au niveau du périmètre urbain du chef-lieu de la commune, où une assiette de terrain a été réservée pour recevoir le projet», a fait savoir, Madjid Hamidouche, président de l’APC d’Ighrem.
Idir Amara vient de signer son premier livre, Le rescapé du cimetière, dans lequel il fait transporter ses lectrices et lecteurs dans un voyage kaléidoscopique visant à «restituer de vieux souvenirs, d’anciennes traditions, des mots et expressions kabyles menacés d’oubli et de disparition».