L’association Thazmurt de la commune d’Aghbalou, à l’est de la wilaya de Bouira, en collaboration avec le Parc national de Djurdjura (PND), ont lancé une opération de plantation de plus de 700 plants de l’espèce du caroubier sauvage.
Une prospection est en cours, à l’effet de trouver une assiette de terrain pour la réalisation d’une décharge publique contrôlée dans la commune de Barbacha, avons-nous appris auprès d’un responsable de la municipalité. «Ce problème d’ordures est une préoccupation majeure de l’APC. Nous ferons tout pour le régler dans les plus brefs délais, avec le concours de tous», informe un élu à l’APC, qui en appelle à «la compréhension et à l’adhésion de la population».
La direction de la culture de la wilaya de Béjaïa a lancé du 16 février au 4 mars la 1er édition du grand Concours virtuel de chant populaire féminin sous le slogan : «Tafsut n’cna n’lxalat» (Primtemps du chant populaire féminin).
Des volontaires promoteurs d’actions citoyennes actives et globales se mobilisent, chaque week-end, pour engager des travaux d’intérêt général. Vendredi et samedi, comme chaque semaine, le village Tizi Tamlelt, dans la commune d’Iflissen, à 45 km au nord de Tizi Ouzou, connaît un climat de mobilisation qui ne laisse indifférent aucun citoyen de cette bourgade.
Le démarrage du projet de l’usine de dessalement de l’eau de mer (SDEM) de Béjaïa devrait intervenir dans un délai très bref, selon Mezerket Belaïd, directeur des ressources en eau de la wilaya de Béjaïa.
La soif étreint les citoyens de la commune d’Aït Rzine. Le volume d’eau potable mobilisé par la régie des eaux de la collectivité n’arrive pas à satisfaire les besoins d’une population en perpétuelle croissance.
Les services de la commune d’Amizour ont recensé, au début de l’année 2022, 325 dossiers de souscription en rapport avec le logement rural financé par le fond national du logement (FONAL).
Enfin ! Les élèves du nouveau lycée d’Adekar, à 26 km à l’ouest de Béjaïa, auront leur salle de sport.
Le projet de réalisation du nouveau CHU de Béjaïa à Boukhlifa, à une trentaine de kilomètres à l’est du chef-lieu de wilaya, est définitivement abandonné.
Désormais, la collecte d’argent dans la rue et dans les autres espaces publics n’est plus autorisée dans la wilaya de Tizi Ouzou.
Désormais, les autorités locales sont appelées à trouver d’autres ressources financières pouvant relancer les projets d’investissement. C’est ce qu’a laissé entendre, hier, le médiateur de la République, Brahim Merad, à l’occasion d’une rencontre avec des porteurs de projets dans la wilaya de Bouira.
Les travaux de réalisation d’un jardin public au quartier des 80 Logements du centre-ville de Bouira ont été lancés en début de semaine. Confiés à l’entreprise publique Cosider, le projet sera implanté sur un terrain de 7000 m2, précédemment attribué à un «faux promoteur» et récupéré par les autorités locales.
L’important marché de gros de Khemis El Khechna revient régulièrement au-devant de la scène médiatique sous un angle ou un autre.
Avec une production de 165 000 quintaux d’olives, la wilaya de Boumerdès connaît cette année une production record des produits oléicoles.
La wilaya de Boumerdès n’en a pas fini avec les séquelles du séisme de 2003. En sus des sites chalets en attente d’être complètement éradiqués, il y a également des constructions classées orange dont la situation tarde encore à être réglée.
Quatre vingt cinq cyclistes ont participé samedi dernier à une course de vélo à Tizi Ouzou. Cette activité s’inscrit dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la radio.
L’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou (UMMTO) vient de renforcer ses structures pédagogiques avec la création de neuf nouveaux départements. Il s’agit de ceux des sciences financières et comptabilité, sciences alimentaire, écologie et environnement, télécommunication, électronique, travaux publics, hydraulique, sciences de l’éducation et orthophonie.
Réalisé dans les années 1980, le bureau de poste de la région d’Ath Atallah, sur les hauteurs d’Aït Yahia Moussa, est fermé depuis plus de vingt ans. Malgré les réclamations des villageois, cette structure tarde toujours à rouvrir ses portes à nouveau.
L’élevage de lapins est un créneau qui s’avère porteur. L’expérience engagée par Oukrid Mohamed qui s’est lancé, lui et sa femme, dans cet élevage depuis 2011, au village Idamoussene de la commune d’Aït Melikechet, daïra de Tazmalt, nous le confirme.
La Direction des services agricoles (DSA) de la wilaya de Bouira a lancé un programme d’amplification du cheptel caprin. Quelque 432 caprins sont en cours de distribution à 36 postulants.