Avant la 10e conférence d’examen du Traité sur la non-prolifération (TNP), prévue en janvier mais reportée à une date ultérieure pour cause de pandémie de Covid-19, les cinq puissances – Etats-Unis, Chine, Russie, Royaume-Uni et France – ont tenté de rassurer l’opinion publique mondiale sur les risques d’un affrontement à l’évidence cataclysmique.
L’ex-ministre de la Justice de Tunisie, Noureddine Bhiri, homme fort du parti d’inspiration islamiste Ennahdha, hospitalisé après son arrestation vendredi, refuse de s’alimenter et de prendre des médicaments, a indiqué hier à l’AFP une source informée qui lui a rendu visite dimanche soir.
Au Yémen, les rebelles houthis ont saisi un bateau émirati en mer Rouge. Ils affirment qu’il contenait des armes, alors que la coalition se battant contre ces rebelles parle d’équipement pour un hôpital de campagne.
Deux militaires tunisiens sont morts lundi 3 janvier lors du crash d'un hélicoptère de l'armée au cours d'une mission de routine dans la région de Bizerte, dans le nord de la Tunisie, rapportent des médias locaux, citant des sources auprès du ministère de la Défense.
Comme à chaque manifestation, devenues régulières depuis le coup d’Etat du général Abdel Fattah Al Burhane le 25 octobre, les autorités ont une nouvelle fois tenté, en vain, de laminer la mobilisation : coupure de téléphone et de l’internet, isolement de la capitale de ses banlieues et répression des manifestants.
L’armée israélienne a bombardé des positions du Hamas dans le sud de la bande de Ghaza après des tirs de roquettes depuis l’enclave palestinienne, ont indiqué hier des sources sécuritaires et l’armée israélienne, citées par l’AFP. Dans un message à la presse, l’armée israélienne a d’abord indiqué «mener des frappes contre des cibles terroristes dans la bande de Ghaza», sous contrôle du mouvement islamiste Hamas depuis 2007 et objet depuis d’un blocus israélien.
La Russie et la Turquie entretiennent des relations de partenariat en dépit d’intérêts divergents ou concurrents sur différents terrains, comme la Syrie ou la Libye où ils sont des acteurs majeurs.
Vingt-et-un élèves kidnappés vendredi par des hommes armés ont été libérés par la police de l’Etat de Zamfara, dans le nord-ouest du Nigeria, a annoncé, samedi soir, l’un de ses porte-parole, cité hier par l’AFP.
Neuf personnes ont été tuées, dont trois membres des forces iraniennes, lors d’un nouvel accrochage avec des «malfaiteurs armés» dans la province du Sistan-Baloutchistan dans le sud-est du pays, a rapporté hier l’AFP citant les Gardiens de la révolution, armée idéologique de la République islamique.
Aucune nouvelle date après le report des élections libyennes. Discussions demain entre le Parlement et la Haute Commission nationale des élections (HNEC) concernant un nouveau calendrier. Les Libyens s’interrogent sur la possibilité du retour d’un régime politique stable chez eux.
L’administration de Joe Biden a annoncé samedi avoir exclu l’Ethiopie, le Mali et la Guinée d’un accord commercial liant les Etats-Unis à l’Afrique, jugeant que les actions prises par ces trois gouvernements en violent les principes, a rapporté hier l’AFP. «Les Etats-Unis ont exclu aujourd’hui l’Ethiopie, le Mali et la Guinée du programme de préférences commerciales de l’Agoa en raison d’actions prises par chacun de leurs gouvernements en violation des statuts» de cet accord, a indiqué la représentation américaine au Commerce (USTR) dans un communiqué.
La messe de requiem pour l'archevêque Desmond Tutu a commencé ce matin dans la cathédrale anglicane du Cap, une cérémonie dont il avait lui-même réglé le moindre détail et qu'il voulait sobre et simple.
Israël a annoncé hier une série de «mesures de confiance» avec l’Autorité palestinienne, rapporte l’AFP. Mesures qui font suite à la visite officielle en Israël, mardi soir, du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, pour un entretien au domicile du ministre israélien de la Défense, Benny Gantz, sur des questions économique et de sécuritaire. Cette rencontre est la deuxième depuis que Mahmoud Abbas a reçu Benny Gantz, en août dernier, à Ramallah, en Cisjordanie occupée. Mahmoud Abbas n’a plus effectué un tel déplacement dans l’Etat hébreu depuis plus de dix ans.
L’année 2021 ressemble aux décennies sombres post-indépendance marquées de pronunciamientos. Des dérives autoritaires ciblant des régimes fragiles et souvent contestés dans la rue par les populations.