Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, l'une des deux variétés de référence du marché, a frôlé dimanche 140 dollars, proche de son record absolu, dopé par le conflit en Ukraine et l'arrêt quasi-total des exportations de pétrole russe.
Le prix du gaz naturel a atteint un nouveau record historique sur le marché européen, alors que des sanctions sur l'énergie russe sont discutées par les États-Unis et l'Union européenne.
Akli Moussouni est directeur des programmes du cabinet de Conseil en ingénierie Expert (CIExpert). Pour cet expert agronome, autant les débats sur la baguette «du pauvre» ne font que cacher des pratiques frauduleuses à grande échelle, autant l’inflation mondiale des prix alimentaires est le nouveau le bouc émissaire du mal qui ronge l’économie nationale. Si des crises récurrentes dans certaines filières alimentaires arrivent tout de même à être surmontées, certains prédisent des lendemains sombres avec l’envolée de l’inflation mondiale, liée à la hausse de plusieurs matières premières, suite au conflit armé en Ukraine.
Le nombre de femmes diplômées est supérieur à celui des hommes, mais dans la sphère du travail, le nombre de femmes à accéder à des postes d’emploi est bien plus inférieur. Un tel paradoxe ne peut être expliqué que par des freins socioculturels donnant aux femmes, même diplômées, un rôle social bien déterminé et l’empêchant, parfois avec leur consentement, de faire émerger leurs compétences dans le monde du travail.
De plus en plus de pays ont décidé la réouverture totale des frontières pour permettre de voyager sans restriction. Cette décision a été prise après avoir constaté un net recul du nombre des cas Covid-19 et ayant pris conscience que le transport aérien sera un élément vital de la reprise économique mondiale après la crise sanitaire.
La parité hommes-femmes au travail reste virtuelle. Elle se limite aux textes de lois. Ce qui freine l’inclusion économique des femmes dont le chômage est en évolution ces dernières années.
Les prix alimentaires mondiaux ont atteint un record et les indices des prix à la consommation dans les principales économies sont en hausse. «C’est une mauvaise nouvelle pour les ménages du monde entier, car la croissance des salaires est largement inférieure à l’inflation», signale un analyste cité par Bloomberg.
Le ministère de l’Industrie pharmaceutique a annoncé, hier, que 70 mises en demeure ont été adressées à des établissements pharmaceutiques de distribution pour non-respect des dispositions des réquisitions visant à garantir l’approvisionnement continu en médicaments anti-Covid-19.
Le Salon international de l’industrie agroalimentaire (SIAG) revient avec sa huitième édition, du 23 au 26 mars 2022. Selon un communiqué des organisateurs, «sans la crise sanitaire qui a touché toute la planète et les restrictions de circulation du fait de la Covid-19, il aurait atteint une décennie d’existence cette année». «Le SIAG est un événement incontournable qui accompagne les professionnels et industriels de l’agroalimentaire, de l'emballage, des procédés de fabrication et de transformation».
La situation financière des filiales du groupe Transtev montre la continuité de l’endettement pour les sociétés de transport par bus, d’autant plus que leurs dettes se sont élevées, fin 2020, à quelque 7,284 milliards de dinars.
L’exportation fait désormais partie des mœurs de nombreux opérateurs économiques de la wilaya de Sétif, l’une des plus importantes et dynamiques bases de l’économie nationale. Même s’ils n’ont pas dépassé le résultat de 2020 bouclé sur la bonne note de 204,87 millions d’euros, les exportateurs de la deuxième wilaya du pays en nombre d’habitants ont, le moins que l’on puisse dire, gardé le rythme et franchi la barre des 184 millions d’euros d’exportations en 2021.
Dans cet entretien, l’expert pétrolier revient sur la situation du marché pétrolier et considère que la tendance haussière des prix du brut va se poursuivre encore pour au moins deux trimestres. «C’est une fenêtre d’opportunités qui peut durer, mais aussi se fermer très vite. Le niveau des prix pétroliers agit mécaniquement sur nos équilibres externes et donc sur la santé de notre économie et ses perspectives de relance.
a Confédération algérienne du patronat et du citoyen (CAPC) a organisé hier une rencontre à Alger pour présenter le «Livre blanc sur l’entreprise et le développement» qu’elle a conçu pour, dit-elle, œuvrer dans le sens d’«une nouvelle politique de l’entreprise et de l’investissement». Le président de la CAPC, Mohamed Sami Agli, a souligné que ce livre blanc, rendu public à cette occasion, «est destiné à faire partager nos idées, nos réflexions, nos préoccupations et notre vision de l’avenir de notre économie».
Une délégation de quatre petites et moyennes entreprises américaines opérant dans les domaines des ressources en eau, des énergies renouvelables et des hydrocarbures a séjourné en Algérie du 1er au 4 mars 2022.
Le commerce, la réparation automobile et les transports sont les activités les plus pratiquées par les opérateurs économiques inscrits en tant que personnes physiques dotées par l’ONS d’un Numéro d’identification statistiques (NIS), a appris l’APS, hier, auprès de cet organisme.
Le Fonds de financement des start-up (Algerian Start-up Fund) a accordé des financements aux porteurs de projets innovants pour un montant global de 510 millions de DA depuis sa mise en place début 2021, a indiqué, hier à Alger, le directeur des participations du fonds, Hachani Okba. Intervenant lors de la 2e édition de la Conférence nationale des start-up, organisée au Centre international des conférences (CIC) d’Alger, M. Hachani a précisé que les projets innovants financés par le fonds concernent 18 secteurs d’activités, notamment les services, les technologies de l’information et de communication, la santé, les transports et le tourisme, a ajouté l’intervenant.
Le panier de l’OPEP, constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, dont le Sahara Blend algérien, s'est établi à plus de 117 dollars à la fin de la semaine en cours, son plus haut niveau depuis mai 2008.
L a courbe des prix du pétrole continuait hier sa progression, lors de la séance de clôture de la semaine qui a connu la plus forte hausse en une décennie dans le sillage de la crise ukrainienne.
Déjà lourdement affectés par des récoltes réduites en raison des perturbations climatiques et par une forte demande en Chine et au Moyen-Orient, les prix du blé subissent de plein fouet les conséquences de la crise actuelle entre la Russie et l’Ukraine.
Pour réduire la tension sur le marché des viandes blanches après la crise traversée durant le dernier trimestre de 2021, résultat de la propagation de la grippe aviaire en avril de la même année qui avait provoqué la mortalité de près de 2 millions de poules reproductrices d’œufs à couver, l’Office national des aliments du bétail (ONAB) tente de redresser la filière.