Qui se souvient de cet homme à l’attitude débonnaire, arpentant les sentiers escarpés de la Médina de Constantine, entouré des bonnes grâces de Sidi Rached, là où il naquit un beau jour du mois de septembre de l’année 1921.
Après tant d’années de blocage, le premier tour de manivelle du film sur le colonel-martyr Zighoud Youcef a été enfin donné ce vendredi dans la wilaya de Constantine, à l’occasion de la double commémoration des événements du 20 août 1955 et la tenue du Congrès de la Soummam. Cette production cinématographique se veut comme un véritable exploit pour le scénariste Ahcène Tlilani, qui est également le président de la fondation Zighoud Youcef.
Il est des pensées artistiques qui s’obstinent jusqu’à ce que vienne une reconnaissance internationale ; c’est ce qui arrive à celles d’Ammar Bouras, chef de file de la scène artistique algérienne engagée.
Détrompez-vous, ce n’est ni le car-ferry Tarek Ibn- Ziad ni le Corsica qui ont attiré les foules en cette soirée du mardi 20 juillet, celui qui déclencha les mille et une rafales des caméras et smartphones n’est autre que le chef-d’œuvre de la marine militaire italienne. Le navire école, le voilier Amerigo Vespucci, une pièce rarissime sortie directement des annales de la gloire des expéditions maritimes. Du square au plus beau voilier du monde.
Considéré comme l’un des fondateurs de l’art contemporain en Algérie, Bachir Yelles Chaouche était un personnage hors du commun. Il incarnait à la fois la sagesse, l’humilité, l’intelligence, la philosophie et la clairvoyance.
Après six jours de soirées bien pleines, les portes de la 11e édition du Festival national de la chanson châabie se sont refermées avec une note de satisfaction aussi bien du côté des organisateurs que du côté des mélomanes.
Mohamed Benziane, cet écrivain arabophone dont le talent n’a d’égal que sa légendaire modestie, a reçu la reconnaissance de ses pairs, mercredi dernier au Théâtre régional d’Oran, par le biais d’un hommage que lui a rendu l’association oranaise Atar El Aribine.
Pour les habitués de la librairie La Renaissance, les férus de lecture, les auteurs seront inévitablement tristes de savoir qu’encore une fois un lieu de savoir, de culture, pourrait fermer et pénaliser les grands et petits lecteurs, les Algériens. La librairie La Renaissance de Riadh El Feth à Alger risque de fermer définitivement si rien n’est fait pour la sauver.
Le journaliste Larbi Ramdani raconte sa traversée de la Méditerranée. Son récit se termine sur une note d’espoir : «L’arbre de mes rêves a dépéri, mais ne s’est pas asséché. Les senteurs de Samos l’ont maintenu vivant.»
Le célèbre auteur algérien Yasmina Khadra publie un nouveau roman intitulé Les Vertueux» chez Casbah Editions, il sort en librairie le 24 août 2022. Entretien.
Ils sont à peine âgés d’une vingtaine d’années et ils sont déjà talentueux. Ils sont tous les trois, des potes et de surcroît des étudiants au niveau de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts d’Alger. Intitulée «Aie ! Ça pique», c’est de l’art, l’exposition en question est axée sur la thématique des pointes, des épines et des oursins. Un thème qui a été consciencieusement appliqué à la lettre par ces jeunes artistes, et ce, avec un style picturale bien personnalisé.
Il n’est pas aisé de rendre compte du dense, bien qu’aéré, Les oasis au fil de l’eau d’Abderrahmane Moussaoui. Leurré en général par une fascination condescendante du Sahara, le lecteur est expertement soustrait de cette perception «exotisante» des oasis rouges du Touat-Gourara-Tidikelt.
Himeur Djamel, 58 ans, administrateur principal de l’urbanisme et des équipements au niveau de la mairie de Sidi M’hamed, à Alger, a poussé de nouveau la porte de la rédaction d’El Watan pour nous révéler un secret et dévoiler un trésor.
La troisième édition de la manifestation culturelle «Les nuits Andalouses de Miliana» a été lancée en fin d’après-midi de ce jeudi, en présence des acteurs du mouvement associatif et des artistes de la ville de Miliana.
La 13e édition du festival culturel local du théâtre professionnel de Guelma aura lieu du 24 au 29 juillet avec pour «slogan» l’apport de l’action culturelle pour la préservation de la mémoire nationale.
Date : samedi 23 juillet à 20h. Installé en France depuis près de 2 ans, Djamil suit des études en musicologie à l’université de Paris VIII. Il met un terme à sa participation à l’aventure Djmawi Africa pour se consacrer pleinement à son projet solo : Djam.
Les touristes qui s’aventurent à se rendre au site archéologique du Mausolée Royal de Maurétanie de Tipasa sont surpris d’apprendre que les responsables qui gèrent ce merveilleux espace culturel inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco n’ont pas daigné installer les toilettes.
La présidente de l’association El Hachemi Guerouabi revient sur les grandes lignes de la commémoration du 16e anniversaire de la disparition de son époux, le chantre de la musique chaâbi.
En commémoration du 16e anniversaire de la disparition de l’artiste El Hachemi Guerouabi, une rencontre-débat s’est tenue, samedi dernier, au niveau de la bibliothèque du palais de la Culture Moufdi Zakaria à Alger.
Le professeur d’économie à l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, Mohamed Dahmani, actuellement en retraite active, vient de publier un nouvel ouvrage intitulé Tazeqqa. Des origines à son extinction, sorti aux éditions Achab.