Sur les fronts libanais, syrien, irakien et yéménite, les organisations «mandataires» de l’Iran, comme les nomme Washington, se révèlent une sérieuse préoccupation militaire pour les Occidentaux, rangés derrière les plans de guerre israéliens, et un outil de pression redoutable pour Téhéran.
Neuf pays occidentaux ont annoncé leur décision de geler leur contribution au financement de l’UNRWA. L’agence onusienne est accusée d’employer des personnes pro-Hamas. Les pertes financières causées par le retrait de gros donateurs comme les Etats-Unis et l’Allemagne ne feront qu’aggraver la détresse des deux millions de Palestiniens qui dépendent de l’Unrwa.
Le président Abdelmadjid Tebboune a réaffirmé, hier, le soutien de l’Algérie au Soudan pour «surmonter la conjoncture difficile et faire face aux forces du mal qui le ciblent», tout en saluant «les relations séculaires qui unissent les deux pays frères».
Les députés débattront à partir d’aujourd’hui du projet d’amendement du code pénal. Un texte qui a connu plusieurs reports en raison de divergences sur certains articles.
Le recteur de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou (UMMTO), le professeur Ahmed Bouda, estime, dans cet entretien accordé à El Watan, que si la situation qui prévaut au sein de l’UMMTO est stable, il n’en demeure pas moins que la rénovation des équipements enregistre beaucoup de retard. Ainsi, plusieurs infrastructures vétustes n’ont pas été réhabilitées en raison d’abord de la longue crise qu’a traversée, par le passé, l’université et ensuite des restrictions budgétaires qu’a connues notre pays, a-t-il confié. Le même responsable a précisé également, dans le même sillage, que «les autres universités du pays avaient profité de l’acquisition de plusieurs équipements pédagogiques et de recherche au moment où l’UMMTO avait évolué dans un contexte particulier. Aujourd’hui, la sérénité est revenue et nous souhaitons voir l’Etat accorder une attention particulière à notre université en la dotant de projets susceptibles de lui permettre de rattraper des années de retard», a-t-il souligné. Le professeur Ahmed Bouda est revenu également sur le projet de modernisation de l’université Mouloud Mammeri à travers la généralisation de la numérisation au sein de l’UMMTO.
Il y a de cela 27 ans, le triste destin frappait le syndicaliste Abdelhak Benhamouda, figure de proue de la lutte pour les droits des travailleurs en Algérie. Hier, et pour commémorer ce triste anniversaire, l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) a organisé une cérémonie de recueillement à son siège au 1er Mai, l’endroit même où il a été assassiné.
L’Agence nationale d’amélioration et de développement du logement (AADL) a annoncé aujourd’hui dans un communiqué le début official de la vente de ses locaux à usage commercial et professionnel . Les citoyens intéressés et remplissant les conditions requises trouveront, dès aujourd’hui, toutes les annonces de vente exclusivement sur son site web.
Ce matin un bus s’est renversé dans la banlieue ouest d’Alger faisant 28 blessés. Plus tôt, ce sont trois décès et trois blessés déplorés à Tiaret. Les accidents de la route continuent de récolter des vies.
Le verdict de la Cour internationale de justice (CIJ) n’a pas empêché Israël de poursuivre ses actes génocidaires à Ghaza,qui ont fait, depuis le prononcé de la sentence à La Haye, plus de 170 morts et contraint à la déportation de milliers de rescapés.
Les réactions internationales continuaient d’affluer hier après les mesures provisoires ordonnées la veille par la Cour internationale de justice (CIJ) à l’occupant sioniste pour prévenir les actes de génocide à Ghaza et permettre l’accès de l’aide humanitaire, appelant notamment à une mise en œuvre effective du verdict.
Les Nations unies, par le biais de son secrétaire général, António Guterres, ont exprimé leur «choc» face aux allégations et ont appelé à une enquête approfondie, soulignant l’importance de maintenir l’assistance humanitaire dans la région.
L’Algérie a convoqué une réunion d’urgence du Conseil de sécurité pour mercredi prochain, afin de conférer un caractère obligatoire à la décision de la Cour internationale de justice (CIJ), concernant les mesures conservatoires imposées à l’occupation sioniste pour ses attaques contre le peuple palestinien dans la Bande de Ghaza, et ce, dans le cadre de la mise en œuvre des hautes instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Le Cadre stratégique permanent pour la paix, la sécurité et le développement (CSP PSD) – qui représente l’ensemble des groupes politico-militaires du Nord – dénonce la décision de Bamako de mettre fin unilatéralement à l’Accord de paix, signé sous l’égide des Nations unies en 2015.
La présidente de la Haute Autorité de transparence, de prévention et de lutte contre la corruption, Salima Mesrati, a affirmé, hier à Tamanrasset, que «la transparence constitue l’un des défis à relever pour atteindre la bonne gouvernance».
Nadjem Regani, président de la Chambre régionale des notaires de la région Centre, soutient que l’étape actuelle est celle de «la révolution numérique, qui sera un facteur déterminant pour améliorer les services publics».
Des syndicats du secteur de l’éducation nationale montent au créneau pour dénoncer ce qu’ils appellent «l’opacité» dans l’élaboration du projet de statut particulier des enseignants.
Les magistrats de la Cour internationale de justice (CIJ) ont majoritairement (une à deux voix contre sur 18), voté, hier en milieu d’après-midi, sept mesures conservatoires urgentes, «à effet immédiat» qu’Israël doit exécuter. Avant de lire les six mesures conservatoires d’urgence, la Cour s’est déclarée «compétente» pour examiner la requête de l’Afrique du Sud, accusant Israël de violer, à Ghaza, la Convention contre le génocide, dont ils sont tous deux signataires.
L’Algérie a pris connaissance avec intérêt du prononcé de la Cour internationale de justice (CIJ) quant à la requête déposée par l’Afrique de Sud contre le génocide commis par l’entité sioniste à Ghaza.
Au 112e jour de la campagne punitive israélienne contre la population de Ghaza, et tandis que la Cour internationale de justice statuait sur la plainte sud-africaine contre Israël pour «génocide», l’effroyable machine de guerre de Benyamin Netanyahu a commis de nouvelles boucheries qui ne font que conforter les accusations portées contre l’occupant sioniste. Dix-neuf massacres ont été perpétrés par l’armée israélienne en vingt-quatre heures, entre jeudi et vendredi, a indiqué hier le ministère de la Santé dans la Bande de Ghaza. Ces nouvelles tueries ont fait au moins 183 morts et 377 blessés, précise la même source. Ce cortège de victimes porte à 26 083 morts et 64 487 blessés le bilan de la guerre contre Ghaza.
L’Algérie réagit à la dénonciation par les autorités de Bamako, issues du coup d’Etat de 2021, de l’Accord de paix et de réconciliation au Mali. Dans un communiqué rendu public hier, le ministère algérien des Affaires étrangères (MAE) remet les pendules à l’heure en sériant les faits ayant conduit à cette décision attendue.