Les locataires du vieux bâti, sis au chef-lieu de la wilaya de Relizane et datant de l’ère coloniale, tout comme ceux des constructions en préfabriqué, ne cessent d’alerter les responsables sur les risques qu’ils encourent.
Ce sont, entre autres, 137 immeubles dans le centre-ville d’Oran qui sont concernés par des opérations de réhabilitation, sans compter des édifices patrimoniaux, à l’image de l’hôtel de ville ou du Grand hôtel, et ce, dans le but de donner une belle image de la ville pour elle-même et pour ses visiteurs.
Les travaux de réhabilitation du vieux bâti situé à l’avenue Didouche Mourad au cœur de la ville de Skikda se poursuivent à une cadence appréciable, sous la supervision de l’OPGI. L’objectif principal est de concrétiser les consignes du wali, Houria Meddahi, à travers la mobilisation de tous les moyens nécessaires avec un rythme de travail de 2x8h afin d’achever l’opération dans les délais fixés.
Le projet de réhabilitation du vieux bâti à l’avenue Didouche Mourad au cœur de la ville de Skikda reste au centre des préoccupations des autorités de la wilaya, en raison de l’importance historique de ce pan de l’antique Russicade d’où la nécessité d’œuvrer à sa sauvegarde après les sérieuses dégradations qui l’ont affecté.
Un immeuble vétuste au 6 de la rue Douar Ghoualem, dans le quartier populaire de Saint-Pierre (Oran), plus précisément dans une ruelle en pente qui jouxte la place Hoche et le centre commercial El Anik, est actuellement occupé par 11 familles.
Le projet de réhabilitation du vieux bâti à l’avenue Didouche Mourad, plus connue par les Arcades, en plein centre-ville de Skikda, semble tourner au fiasco. Le constat de la wali, Houria Meddahi, révélé lors d’une journée d’études sur le vieux bâti, organisée par l’OPGI au palais de la culture Malek Chebel, est sans appel.
Le nouveau chef d’exécutif a décidé de lancer une grande opération de réhabilitation de cette cité, qu’on continue de qualifier de capitale des Hauts-Plateaux de l’Ouest et de perle du Sersou.
Une opération de contrôle du CTC (contrôle technique de la construction) à Skikda est diligentée depuis le 30 mars dernier, par les pouvoirs publics.
Rien n’a été fait depuis le séisme de mai 2013 pour la réhabilitation du vieux bâti de l’ancienne ville de Béjaïa.