Selon le dernier rapport annuel de la Banque d’Algérie, cela représente environ 8 273 milliards DA sur un total de 24 330 milliards DA en circulation. Une telle somme, hors du contrôle des institutions bancaires, alimente une économie informelle qui rivalise en ampleur avec l’économie formelle.
Le professeur Nassim Nouri, endocrinologue et spécialiste des maladies métaboliques au CHU de Constantine, estime que «la malbouffe» et la consommation de sucre et de gras sont devenues «un problème sociétal». Pour les médecins, le sucre est un danger public.
Le Fonds lance un avertissement contre la remise en cause de l’indépendance des Banques centrales et prévient contre le risque de son intensification étant donné que «la moitié de la population mondiale se rend aux urnes cette année». «Une étude du FMI portant sur plusieurs dizaines de Banques centrales sur la période comprise entre 2007 et 2021 montre que celles présentant un haut niveau d’indépendance ont mieux réussi à maîtriser les anticipations d’inflation.»
Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef) a appelé cette semaine à un financement d’urgence pour élargir les efforts visant à atteindre des millions de personnes vivant dans 11 pays d’Afrique orientale et australe qui ont été durement touchés par des épidémies de choléra à propagation rapide.